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Les accidents de la vie courante touchant la main / Christine LOUTTERBACH in L'aide-soignante, 209 (Août - Septembre 2019)
[article]
in L'aide-soignante > 209 (Août - Septembre 2019) . - 16-17
Titre : Les accidents de la vie courante touchant la main Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine LOUTTERBACH, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : 16-17 Langues : Français (fre) Catégories : BLESSURE ; CHIRURGIE ; HANDICAP ; MAIN ; SITUATION D'URGENCE Résumé :
Les traumatismes de la main requièrent une prise en charge particulière de par la complexité de l’anatomie de cet organe. Les aides-soignants et infirmiers sont les premiers interlocuteurs du patient souvent anxieux. En effet, lorsqu’un accident survient, toutes les fonctions de la main peuvent être remises en question.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101976 [article] Les accidents de la vie courante touchant la main [texte imprimé] / Christine LOUTTERBACH, Auteur . - 2019 . - 16-17.
Langues : Français (fre)
in L'aide-soignante > 209 (Août - Septembre 2019) . - 16-17
Catégories : BLESSURE ; CHIRURGIE ; HANDICAP ; MAIN ; SITUATION D'URGENCE Résumé :
Les traumatismes de la main requièrent une prise en charge particulière de par la complexité de l’anatomie de cet organe. Les aides-soignants et infirmiers sont les premiers interlocuteurs du patient souvent anxieux. En effet, lorsqu’un accident survient, toutes les fonctions de la main peuvent être remises en question.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101976 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité AS 209 Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Prêts express
DisponibleAccompagner l'enfant atteint de maladie chronique et sa famille / GRASSET (C) in Soins pédiatrie-puériculture, 243 (Août 2008)
[article]
in Soins pédiatrie-puériculture > 243 (Août 2008) . - 33-35
Titre : Accompagner l'enfant atteint de maladie chronique et sa famille Type de document : texte imprimé Auteurs : GRASSET (C) Année de publication : 2008 Article en page(s) : 33-35 Langues : Français (fre) Catégories : ACCOMPAGNEMENT ; BLESSURE ; CONFLIT ; CORPS ; DIFFERENCIATION ; ENFANCE ; ENFANT ; FAMILLE ; INDIVIDUATION ; LIEN FUSIONNEL ; LIEN MERE-ENFANT ; MALADIE:MALADIE CHRONIQUE ; NARCISSISME Résumé : Grandir avec une maladie chronique, c’est évoluer dans une temporalité ponctuée par la pathologie. L’ensemble de la famille se trouve confronté aux contraintes qu’elle induit et doit s’adapter à un mode de vie différent. La maladie chronique lourde oblige à des aménagements défensifs vis-à-vis de celle-ci, de la part de l’enfant et de sa famille. L’accompagnement doit prendre en compte les effets somatiques et psychiques de la maladie, et considérer l’enfant dans son environnement familial et social. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=12249 [article] Accompagner l'enfant atteint de maladie chronique et sa famille [texte imprimé] / GRASSET (C) . - 2008 . - 33-35.
Langues : Français (fre)
in Soins pédiatrie-puériculture > 243 (Août 2008) . - 33-35
Catégories : ACCOMPAGNEMENT ; BLESSURE ; CONFLIT ; CORPS ; DIFFERENCIATION ; ENFANCE ; ENFANT ; FAMILLE ; INDIVIDUATION ; LIEN FUSIONNEL ; LIEN MERE-ENFANT ; MALADIE:MALADIE CHRONIQUE ; NARCISSISME Résumé : Grandir avec une maladie chronique, c’est évoluer dans une temporalité ponctuée par la pathologie. L’ensemble de la famille se trouve confronté aux contraintes qu’elle induit et doit s’adapter à un mode de vie différent. La maladie chronique lourde oblige à des aménagements défensifs vis-à-vis de celle-ci, de la part de l’enfant et de sa famille. L’accompagnement doit prendre en compte les effets somatiques et psychiques de la maladie, et considérer l’enfant dans son environnement familial et social. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=12249 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité Soins pédiatrie/puériculture N°243 Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Prêts express
DisponibleSoins pédiatrie/puériculture N°243 Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Prêts express
DisponibleActivités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Titre : Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-104-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 [article] Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2015 . - 4-104-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleActivités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in Journal de pédiatrie et puériculture, Vol.29 - N°2 (Avril 2016)
[article]
in Journal de pédiatrie et puériculture > Vol.29 - N°2 (Avril 2016) . - pp57-68
Titre : Activités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp57-68 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé : Pour préserver la santé des jeunes de la classe d’âge 5–17 ans, l’Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d’activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d’âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d’activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L’éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l’activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose–réponse » entre le niveau d’activité physique et l’impact sur la santé n’est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l’inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d’obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n’y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d’épuisement au cours d’efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L’enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu’il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d’équipe, l’enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n’advient généralement qu’entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d’être vigilant et réactif dès l’apparition des prodromes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80796 [article] Activités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2016 . - pp57-68.
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et puériculture > Vol.29 - N°2 (Avril 2016) . - pp57-68
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé : Pour préserver la santé des jeunes de la classe d’âge 5–17 ans, l’Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d’activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d’âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d’activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L’éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l’activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose–réponse » entre le niveau d’activité physique et l’impact sur la santé n’est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l’inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d’obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n’y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d’épuisement au cours d’efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L’enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu’il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d’équipe, l’enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n’advient généralement qu’entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d’être vigilant et réactif dès l’apparition des prodromes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80796 Actualités dans la prévention des blessures aux ischio-jambiers chez les joueurs de football professionnel / Clément Sansonnet in Kinésithérapie Scientifique, 634 (Septembre 2021)
[article]
in Kinésithérapie Scientifique > 634 (Septembre 2021) . - 15-24
Titre : Actualités dans la prévention des blessures aux ischio-jambiers chez les joueurs de football professionnel Type de document : texte imprimé Auteurs : Clément Sansonnet, Auteur ; Patrice Marine, Auteur ; Florian Forelli, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 15-24 Langues : Français (fre) Catégories : BLESSURE ; FACTEUR DE RISQUE ; FOOTBALL ; PREVENTION Résumé :
Sujet récurrent, suite à un taux de récidive élevé, et en augmentation au cours des dernières années, les blessures des ischio-jambiers continuent de faire parler dans le milieu du sport amateur et de haut niveau.
Dans cet article, il est question d'aborder les mécanismes lésionnels et les facteurs de risque modifiables responsables des lésions des ischio-jambiers ainsi que les principaux exercices thérapeutiques sollicités dans la littérature scientifique qui font leur preuve dans la prise en charge d'un athlète blessé.
Il est important de mentionner qu'il est nécessaire de tenir compte de l'analyse de l'activité d'un footballeur professionnel afin de se rapprocher au mieux de la spécificité de son poste et des qualités physiques demandées au cours d'un match afin de limiter le risque de récidive. Certains programmes de prévention, comme le programme FIFA 11+ ou le programme ASPETAR demeurent encore sous-exploités par les professionnels du sport et de la santé, remettant en question leur utilité ainsi que leur faisabilité.
De ce fait, la mise à niveau de l'équipe paramédicale et sportive vis-à-vis des données scientifiques actuelles ainsi que la communication reste un point majeur qu'il semble primordial d'aborder afin de sensibiliser les joueurs de football actuels et les futurs jeunes athlètes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112482 [article] Actualités dans la prévention des blessures aux ischio-jambiers chez les joueurs de football professionnel [texte imprimé] / Clément Sansonnet, Auteur ; Patrice Marine, Auteur ; Florian Forelli, Auteur . - 2021 . - 15-24.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie Scientifique > 634 (Septembre 2021) . - 15-24
Catégories : BLESSURE ; FACTEUR DE RISQUE ; FOOTBALL ; PREVENTION Résumé :
Sujet récurrent, suite à un taux de récidive élevé, et en augmentation au cours des dernières années, les blessures des ischio-jambiers continuent de faire parler dans le milieu du sport amateur et de haut niveau.
Dans cet article, il est question d'aborder les mécanismes lésionnels et les facteurs de risque modifiables responsables des lésions des ischio-jambiers ainsi que les principaux exercices thérapeutiques sollicités dans la littérature scientifique qui font leur preuve dans la prise en charge d'un athlète blessé.
Il est important de mentionner qu'il est nécessaire de tenir compte de l'analyse de l'activité d'un footballeur professionnel afin de se rapprocher au mieux de la spécificité de son poste et des qualités physiques demandées au cours d'un match afin de limiter le risque de récidive. Certains programmes de prévention, comme le programme FIFA 11+ ou le programme ASPETAR demeurent encore sous-exploités par les professionnels du sport et de la santé, remettant en question leur utilité ainsi que leur faisabilité.
De ce fait, la mise à niveau de l'équipe paramédicale et sportive vis-à-vis des données scientifiques actuelles ainsi que la communication reste un point majeur qu'il semble primordial d'aborder afin de sensibiliser les joueurs de football actuels et les futurs jeunes athlètes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112482 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité aucun exemplaire De la blessure à la reprise totale du sport : actualités thérapeutiques de la lésion musculaire du sportif / M DAUTY in Journal de traumatologie du sport, Vol.30 - N°1 (Mars 2013)PermalinkBlessures du pied et de la cheville chez les jeunes athlètes : épidémiologie et effets de la fatigue sur la mécanique de la course / François Fourchet in Kinésithérapie Scientifique, 543 (Mai 2013)PermalinkBlessures et prévention en kayak / Frédéric JUILLAGUET in Kinésithérapie Scientifique, 565 (Mai 2015)PermalinkLa délicate prise en charge des victimes d’attentats / P Vasseur in OSM - Objectif soins et management, 246 (Mai 2016)PermalinkÉtat de stress post-traumatique et douleurs psychogènes in Soins, 841 (Décembre 2019)PermalinkÉVALUATION CLINIQUE DU COUREUR BLESSÉ / STUNER Arnaud in Kinésithérapie Scientifique, 622 (Juillet 2020)PermalinkInvestir un corps altéré : témoignage d'une équipe en unité de soins palliatifs / S BEHAGHEL in Ethique & Santé, 2 VOL 7 (Juin 2010)PermalinkKinésithérapie du sport, mieux détecter les blessures chez le sportif / Emmanuel SPIES in Kiné actualité, 1407 ([04/06/2015])PermalinkLes mirsures de chien chez l'enfant : clinique du psychologue dans un service de chirurgie maxillofaciale plastique pédiatrique / P GAVELLE in Journal de pédiatrie et puériculture, 5-6 - VOL 21 (Août 2008)PermalinkMortelles secousses ? / Josephina MAIER in Cerveau & Psycho, 85 (Février 2017)Permalink