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L'activité physique chez les patients atteints de diabète de type 2 / Martine Duclos in Soins, Supplément n°774 (Avril 2013)
[article]
in Soins > Supplément n°774 (Avril 2013) . - pp11-14
Titre : L'activité physique chez les patients atteints de diabète de type 2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Duclos, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp11-14 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; DIABETOLOGIE:DIABETE ; GLYCEMIE ; PARTENARIAT ; SEDENTARITE Résumé :
L’activité physique joue un rôle majeur dans la prise en charge des patients atteints de diabète de type 2. Mais les effets favorables de l’exercice sont de durée limitée dans le temps, soulignant l’importance de la régularité de l‘activité et de son maintien à long terme. La pérennisation d’un mode de vie actif, chez ce type de patient, nécessite une coopération entre différents professionnels de santé et la mise en place de partenariats avec les acteurs de l’activité physique et sportive dans la cité.Note de contenu : Tableau Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59508 [article] L'activité physique chez les patients atteints de diabète de type 2 [texte imprimé] / Martine Duclos, Auteur . - 2013 . - pp11-14.
Langues : Français (fre)
in Soins > Supplément n°774 (Avril 2013) . - pp11-14
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; DIABETOLOGIE:DIABETE ; GLYCEMIE ; PARTENARIAT ; SEDENTARITE Résumé :
L’activité physique joue un rôle majeur dans la prise en charge des patients atteints de diabète de type 2. Mais les effets favorables de l’exercice sont de durée limitée dans le temps, soulignant l’importance de la régularité de l‘activité et de son maintien à long terme. La pérennisation d’un mode de vie actif, chez ce type de patient, nécessite une coopération entre différents professionnels de santé et la mise en place de partenariats avec les acteurs de l’activité physique et sportive dans la cité.Note de contenu : Tableau Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59508 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité SOI Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Prêts express
DisponibleActivité physique et grossesse / Romain MORGANT in Vocation sage-femme, 132 (Mai-Juin 2018)
[article]
in Vocation sage-femme > 132 (Mai-Juin 2018) . - P 40-44
Titre : Activité physique et grossesse Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain MORGANT, Auteur ; Matthieu MULLER, Auteur ; Yannick GUILLODO, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : P 40-44 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; GYNECOLOGIE:GROSSESSE ; PREVENTION ; RECOMMANDATION ; SEDENTARITE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95688 [article] Activité physique et grossesse [texte imprimé] / Romain MORGANT, Auteur ; Matthieu MULLER, Auteur ; Yannick GUILLODO, Auteur . - 2018 . - P 40-44.
Langues : Français (fre)
in Vocation sage-femme > 132 (Mai-Juin 2018) . - P 40-44
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; GYNECOLOGIE:GROSSESSE ; PREVENTION ; RECOMMANDATION ; SEDENTARITE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95688 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité aucun exemplaire Activité physique et sédentarité : une synthèse vulgarisée des nouvelles recommandations / Hélène ESCALON in La santé en action, 441 (Septembre 2017)
[article]
in La santé en action > 441 (Septembre 2017) . - 46-48
Titre : Activité physique et sédentarité : une synthèse vulgarisée des nouvelles recommandations Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène ESCALON, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : 46-48 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; ADULTE ; ENFANT ; RECOMMANDATION ; SEDENTARITE Résumé :
Recommandations pour la pratique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91148 [article] Activité physique et sédentarité : une synthèse vulgarisée des nouvelles recommandations [texte imprimé] / Hélène ESCALON, Auteur . - 2017 . - 46-48.
Langues : Français (fre)
in La santé en action > 441 (Septembre 2017) . - 46-48
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; ADULTE ; ENFANT ; RECOMMANDATION ; SEDENTARITE Résumé :
Recommandations pour la pratique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91148 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité SAN Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Prêts express
DisponibleActivités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Titre : Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-104-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 [article] Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2015 . - 4-104-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleActivités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in Journal de pédiatrie et puériculture, Vol.29 - N°2 (Avril 2016)
[article]
in Journal de pédiatrie et puériculture > Vol.29 - N°2 (Avril 2016) . - pp57-68
Titre : Activités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp57-68 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé : Pour préserver la santé des jeunes de la classe d’âge 5–17 ans, l’Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d’activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d’âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d’activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L’éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l’activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose–réponse » entre le niveau d’activité physique et l’impact sur la santé n’est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l’inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d’obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n’y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d’épuisement au cours d’efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L’enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu’il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d’équipe, l’enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n’advient généralement qu’entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d’être vigilant et réactif dès l’apparition des prodromes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80796 [article] Activités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2016 . - pp57-68.
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et puériculture > Vol.29 - N°2 (Avril 2016) . - pp57-68
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé : Pour préserver la santé des jeunes de la classe d’âge 5–17 ans, l’Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d’activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d’âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d’activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L’éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l’activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose–réponse » entre le niveau d’activité physique et l’impact sur la santé n’est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l’inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d’obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n’y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d’épuisement au cours d’efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L’enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu’il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d’équipe, l’enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n’advient généralement qu’entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d’être vigilant et réactif dès l’apparition des prodromes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80796 Une approche socio-écologique pour la promotion de l’activité physique et la réduction de la sédentarité chez les adolescents / Julie-Anne NAZARE in La santé en action, 437 (Septembre 2016)PermalinkLes bénéfices de la pratique d’une activité physique pour la santé / Martine Duclos in La revue de l'infirmière, 275 (Novembre 2021)PermalinkLes bienfaits de l’exercice sur le corps / Marie FUKS in L'infirmière magazine, 371 (Mai 2016)PermalinkCaractéristiques psychosociales des adolescents non pratiquants sportifs / Julie BOICHE in Journal de pédiatrie et puériculture, 2 VOL 22 (Avril 2009)PermalinkContre la sédentarité, tous debout ! / Sylvie Riou-Milliot in Sciences et avenir, 835 (Septembre 2016)Permalink"Créer un environnement plus adapté à la pratique de l'activité physique" / Jean - François TOUSSAINT in La santé en action, 429 (Septembre 2014)PermalinkEffets de deux interventions innovantes visant à réduire et/ou prévenir les détériorations de santé des étudiants à l’université / Elodie Charbonnier in La revue de santé scolaire et universitaire, 83 (Septembre - Octobre 2023)PermalinkLe fléau de la sédentarité chez les jeunes : état des lieux et perspectives / Gilles Ferréol in La revue de santé scolaire et universitaire, 75 (Mai - Juin 2022)PermalinkGénération écran total / Véronique Radier in Le Nouvel Obs - L'Obs, 3104 ([28/03/2024])PermalinkGens du voyage : « Un racisme environnemental » / William Acker in ASH - Actualités Sociales Hebdomadaires, 3265 ([24/06/2022])Permalink