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EMC Anesthésie Réanimation . Tome 3Mention de date : Mise à jour régulièreParu le : 07/10/2015 |
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Prise en charge pour chirurgie d'anévrisme de l'aorte abdominale / Françoise Gaillat in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-587-A-10
Titre : Prise en charge pour chirurgie d'anévrisme de l'aorte abdominale Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Gaillat, Auteur ; Gabrielle Quintana, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-587-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : AAA (Anévrisme de l'aorte abdominale) ; EVALUATION ; RISQUE CHIRURGICAL ; TRAITEMENT CHIRURGICAL ; TRAITEMENT ENDOVASCULAIRE Résumé : L'anévrisme de l'aorte abdominale est fréquent chez les sujets de plus de 65 ans. Le plus souvent de découverte fortuite et asymptomatique, il peut se révéler de façon aiguë à l'occasion d'une rupture. L'anesthésiste-réanimateur peut être confronté à deux types de prises en charge différentes : l'urgence avec choc hémorragique potentiel ou constitué, ou l'intervention à froid. L'évaluation préopératoire de ces patients à haut risque coronarien, en procédure élective, a été formalisée par des recommandations récemment mises à jour. La prise en charge chirurgicale a évolué avec les techniques endovasculaires, dont la mise en place est mieux tolérée que la chirurgie classique chez les patients fragiles, mais qui nécessite un suivi au long cours et des réinterventions liées au problème des endofuites. Ces techniques sont cependant associées à une réduction importante de la morbi-mortalité périopératoire en situation d'urgence. Les techniques d'anesthésie locorégionale périphérique ont toute leur place lors de la prise en charge anesthésique des procédures endoprothétiques et dans l'analgésie en chirurgie conventionnelle. Enfin, la réanimation postopératoire reste émaillée d'une forte probabilité de complications coronariennes, respiratoires, rénales ou par ischémie mésentérique, qui justifie une prise en charge adaptée au « haut risque » chirurgical. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75806 [article] Prise en charge pour chirurgie d'anévrisme de l'aorte abdominale [texte imprimé] / Françoise Gaillat, Auteur ; Gabrielle Quintana, Auteur . - 2015 . - 36-587-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-587-A-10
Catégories : AAA (Anévrisme de l'aorte abdominale) ; EVALUATION ; RISQUE CHIRURGICAL ; TRAITEMENT CHIRURGICAL ; TRAITEMENT ENDOVASCULAIRE Résumé : L'anévrisme de l'aorte abdominale est fréquent chez les sujets de plus de 65 ans. Le plus souvent de découverte fortuite et asymptomatique, il peut se révéler de façon aiguë à l'occasion d'une rupture. L'anesthésiste-réanimateur peut être confronté à deux types de prises en charge différentes : l'urgence avec choc hémorragique potentiel ou constitué, ou l'intervention à froid. L'évaluation préopératoire de ces patients à haut risque coronarien, en procédure élective, a été formalisée par des recommandations récemment mises à jour. La prise en charge chirurgicale a évolué avec les techniques endovasculaires, dont la mise en place est mieux tolérée que la chirurgie classique chez les patients fragiles, mais qui nécessite un suivi au long cours et des réinterventions liées au problème des endofuites. Ces techniques sont cependant associées à une réduction importante de la morbi-mortalité périopératoire en situation d'urgence. Les techniques d'anesthésie locorégionale périphérique ont toute leur place lors de la prise en charge anesthésique des procédures endoprothétiques et dans l'analgésie en chirurgie conventionnelle. Enfin, la réanimation postopératoire reste émaillée d'une forte probabilité de complications coronariennes, respiratoires, rénales ou par ischémie mésentérique, qui justifie une prise en charge adaptée au « haut risque » chirurgical. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75806 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie en chirurgie urologique chez l'enfant (hors chirurgie carcinologique rénale et pararénale) / CERCUEIL.E in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-592-B-10
Titre : Anesthésie en chirurgie urologique chez l'enfant (hors chirurgie carcinologique rénale et pararénale) Type de document : texte imprimé Auteurs : CERCUEIL.E, Auteur ; BOURDAUD.N, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-592-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; ANESTHESIE LOCOREGIONALE ; CHIRURGIE UROLOGIQUE ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE Résumé : Après la chirurgie oto-rhino-laryngologique, la chirurgie urologique est une des chirurgies les plus fréquentes en pédiatrie, surtout chez le nourrisson et le jeune enfant. Elle s'adresse à des pathologies diverses et variées, le plus souvent secondaires à des malformations congénitales isolées ou pouvant s'inscrire dans des tableaux polymalformatifs sévères. Ainsi, les actes chirurgicaux envisageables vont de l'acte endoscopique, à visée diagnostique, à une chirurgie invasive par laparotomie, en passant par la chirurgie des organes génitaux externes. La prise en charge périopératoire de ces enfants, par l'anesthésiste-réanimateur, possède des caractéristiques propres, à chaque étape de la prise en charge (évaluation préopératoire, gestion de l'anesthésie, anesthésie locorégionale, complications postopératoires, analgésie postopératoire). Dans cet article, les spécificités anesthésiques pré-, per- et postopératoires, dont les particularités liées à la chirurgie ambulatoire, sont envisagées. Puis les différents types d'interventions chirurgicales sont détaillés. Enfin, une dernière partie du texte est consacrée à l'anesthésie locorégionale utilisée pour la chirurgie urologique pédiatrique.La chirurgie urologique est un type de chirurgie fréquent en pédiatrie, surtout chez le nourrisson et le jeune enfant, et s'adresse à des pathologies diverses et variées, le plus souvent secondaires à des malformations congénitales isolées ou pouvant s'inscrire dans des tableaux polymalformatifs sévères. Ainsi, les actes chirurgicaux envisageables vont de l'acte endoscopique, à visée diagnostique, à une chirurgie invasive par laparotomie, en passant par la chirurgie des organes génitaux externes. La prise en charge périopératoire de ces enfants, par l'anesthésiste-réanimateur, possède des caractéristiques propres, à chaque étape de la prise en charge (évaluation préopératoire, gestion de l'anesthésie, anesthésie locorégionale, complications postopératoires, analgésie postopératoire). Dans cet article, les spécificités anesthésiques pré-, per- et postopératoires, dont les particularités liées à la chirurgie ambulatoire, sont envisagées. Puis les différents types d'interventions chirurgicales sont détaillés. Enfin, une dernière partie du texte est consacrée à l'anesthésie locorégionale utilisée pour la chirurgie urologique pédiatrique. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75818 [article] Anesthésie en chirurgie urologique chez l'enfant (hors chirurgie carcinologique rénale et pararénale) [texte imprimé] / CERCUEIL.E, Auteur ; BOURDAUD.N, Auteur . - 2015 . - 36-592-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-592-B-10
Catégories : ANESTHESIE ; ANESTHESIE LOCOREGIONALE ; CHIRURGIE UROLOGIQUE ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE Résumé : Après la chirurgie oto-rhino-laryngologique, la chirurgie urologique est une des chirurgies les plus fréquentes en pédiatrie, surtout chez le nourrisson et le jeune enfant. Elle s'adresse à des pathologies diverses et variées, le plus souvent secondaires à des malformations congénitales isolées ou pouvant s'inscrire dans des tableaux polymalformatifs sévères. Ainsi, les actes chirurgicaux envisageables vont de l'acte endoscopique, à visée diagnostique, à une chirurgie invasive par laparotomie, en passant par la chirurgie des organes génitaux externes. La prise en charge périopératoire de ces enfants, par l'anesthésiste-réanimateur, possède des caractéristiques propres, à chaque étape de la prise en charge (évaluation préopératoire, gestion de l'anesthésie, anesthésie locorégionale, complications postopératoires, analgésie postopératoire). Dans cet article, les spécificités anesthésiques pré-, per- et postopératoires, dont les particularités liées à la chirurgie ambulatoire, sont envisagées. Puis les différents types d'interventions chirurgicales sont détaillés. Enfin, une dernière partie du texte est consacrée à l'anesthésie locorégionale utilisée pour la chirurgie urologique pédiatrique.La chirurgie urologique est un type de chirurgie fréquent en pédiatrie, surtout chez le nourrisson et le jeune enfant, et s'adresse à des pathologies diverses et variées, le plus souvent secondaires à des malformations congénitales isolées ou pouvant s'inscrire dans des tableaux polymalformatifs sévères. Ainsi, les actes chirurgicaux envisageables vont de l'acte endoscopique, à visée diagnostique, à une chirurgie invasive par laparotomie, en passant par la chirurgie des organes génitaux externes. La prise en charge périopératoire de ces enfants, par l'anesthésiste-réanimateur, possède des caractéristiques propres, à chaque étape de la prise en charge (évaluation préopératoire, gestion de l'anesthésie, anesthésie locorégionale, complications postopératoires, analgésie postopératoire). Dans cet article, les spécificités anesthésiques pré-, per- et postopératoires, dont les particularités liées à la chirurgie ambulatoire, sont envisagées. Puis les différents types d'interventions chirurgicales sont détaillés. Enfin, une dernière partie du texte est consacrée à l'anesthésie locorégionale utilisée pour la chirurgie urologique pédiatrique. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75818 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnalgésie obstétricale / H KEITA in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-595-A-10
Titre : Analgésie obstétricale Type de document : texte imprimé Auteurs : H KEITA, Auteur ; F ALOUSSI, Auteur ; D HIJAZI, Auteur ; Lionel Bouvet, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-595-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACCOUCHEMENT ; ANALGESIE PERIDURALE ; ANESTHESIE OBSTETRICALE ; DOULEUR ; TRAITEMENT NON PHARMACOLOGIQUE Résumé : Les différentes approches classiquement identifiées pour l'analgésie obstétricale sont les méthodes pharmacologiques et non pharmacologiques. Les approches pharmacologiques incluent l'inhalation de protoxyde d'azote, l'administration parentérale d'opioïdes, les blocs nerveux ou l'analgésie périmédullaire sous la forme d'une analgésie péridurale, d'une péri-rachi combinée ou d'une rachianalgésie. L'analgésie péridurale est la méthode qui à ce jour répond le mieux et avec un haut niveau de preuves aux impératifs d'efficacité et de sécurité pour la mère et l'enfant. Elle est aujourd'hui une approche maîtrisée et mature tant au niveau technique que des protocoles utilisés (agents, modalités d'administration, prévention des événements indésirables, etc.). Les méthodes d'entretien de l'analgésie, comme la patient controlled epidural analgesia (PCEA), et le mode programmed intermittent epidural bolus (PIEB), continuent de faire l'objet de recherches approfondies, tout comme les techniques neuraxiales plus récentes comme la rachianalgésie continue ou la deep puncture epidural (DPE). L'optimisation de ces méthodes est essentielle pour adapter au mieux la prise en charge de la douleur aux besoins de chaque parturiente. L'analgésie intraveineuse par opioïdes peut être une alternative à l'analgésie périmédullaire lorsque celle-ci est contre-indiquée ou impossible à réaliser. Dans cette indication, le rémifentanil en patient controlled analgesia (PCA) induit une analgésie inférieure à celle de la péridurale, même si cette analgésie est cliniquement significative et satisfaisante surtout à la première phase du travail. Cette méthode s'accompagne essentiellement d'effets indésirables maternels et le protocole optimal reste à établir. Les méthodes non pharmacologiques sont principalement des méthodes psychocorporelles et comportementales. Ces approches sont non invasives et sans effet délétère pour la mère et son enfant mais leur efficacité est incertaine en raison d'une absence d'étude de haut niveau de preuve. Les méthodes pharmacologiques et non pharmacologiques ne sont pas antinomiques mais au contraire complémentaires. Dans la mesure où on assiste à une évolution des souhaits des patientes sur leur prise en charge : demande d'un accouchement plus physiologique, plus personnalisé et de méthodes non pharmacologiques pour calmer les douleurs du travail, il est important d'adapter ces différentes méthodes aux demandes des femmes en exposant pour chacune d'elles leurs avantages et limites respectives ainsi que leur complémentarité. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75819 [article] Analgésie obstétricale [texte imprimé] / H KEITA, Auteur ; F ALOUSSI, Auteur ; D HIJAZI, Auteur ; Lionel Bouvet, Auteur . - 2015 . - 36-595-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-595-A-10
Catégories : ACCOUCHEMENT ; ANALGESIE PERIDURALE ; ANESTHESIE OBSTETRICALE ; DOULEUR ; TRAITEMENT NON PHARMACOLOGIQUE Résumé : Les différentes approches classiquement identifiées pour l'analgésie obstétricale sont les méthodes pharmacologiques et non pharmacologiques. Les approches pharmacologiques incluent l'inhalation de protoxyde d'azote, l'administration parentérale d'opioïdes, les blocs nerveux ou l'analgésie périmédullaire sous la forme d'une analgésie péridurale, d'une péri-rachi combinée ou d'une rachianalgésie. L'analgésie péridurale est la méthode qui à ce jour répond le mieux et avec un haut niveau de preuves aux impératifs d'efficacité et de sécurité pour la mère et l'enfant. Elle est aujourd'hui une approche maîtrisée et mature tant au niveau technique que des protocoles utilisés (agents, modalités d'administration, prévention des événements indésirables, etc.). Les méthodes d'entretien de l'analgésie, comme la patient controlled epidural analgesia (PCEA), et le mode programmed intermittent epidural bolus (PIEB), continuent de faire l'objet de recherches approfondies, tout comme les techniques neuraxiales plus récentes comme la rachianalgésie continue ou la deep puncture epidural (DPE). L'optimisation de ces méthodes est essentielle pour adapter au mieux la prise en charge de la douleur aux besoins de chaque parturiente. L'analgésie intraveineuse par opioïdes peut être une alternative à l'analgésie périmédullaire lorsque celle-ci est contre-indiquée ou impossible à réaliser. Dans cette indication, le rémifentanil en patient controlled analgesia (PCA) induit une analgésie inférieure à celle de la péridurale, même si cette analgésie est cliniquement significative et satisfaisante surtout à la première phase du travail. Cette méthode s'accompagne essentiellement d'effets indésirables maternels et le protocole optimal reste à établir. Les méthodes non pharmacologiques sont principalement des méthodes psychocorporelles et comportementales. Ces approches sont non invasives et sans effet délétère pour la mère et son enfant mais leur efficacité est incertaine en raison d'une absence d'étude de haut niveau de preuve. Les méthodes pharmacologiques et non pharmacologiques ne sont pas antinomiques mais au contraire complémentaires. Dans la mesure où on assiste à une évolution des souhaits des patientes sur leur prise en charge : demande d'un accouchement plus physiologique, plus personnalisé et de méthodes non pharmacologiques pour calmer les douleurs du travail, il est important d'adapter ces différentes méthodes aux demandes des femmes en exposant pour chacune d'elles leurs avantages et limites respectives ainsi que leur complémentarité. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75819 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie en chirurgie orthopédique / Laurent ROUSSEAU in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-605-A-10
Titre : Anesthésie en chirurgie orthopédique Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent ROUSSEAU, Auteur ; Marc Raucoules - Aime, Auteur ; R ROZIER, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-605-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE LOCOREGIONALE ; CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ; COMPLICATION ; DOULEUR ; REHABILITATION AMELIOREE ; TRAUMATOLOGIE Résumé : Les spécificités de l'anesthésie en chirurgie orthopédique/traumatologique sont : avant l'intervention, l'évaluation des risques infectieux, hémorragiques et thrombotiques et l'information du patient sur la prise en charge analgésique ; pendant l'intervention, l'installation du patient, la gestion des risques spécifiques liés à l'utilisation du garrot de membre, du ciment chirurgical ; la gestion des risques liés aux ostéotomies et aux fractures (embolie graisseuse, risque hémorragique, risque infectieux) ; après l'intervention, l'analgésie postopératoire (PO) et la réhabilitation améliorée, le risque thrombotique PO ; enfin la prise en compte de terrains spécifiques (spondylarthropathies et scoliose). La chirurgie du membre inférieur est de plus en plus fréquente (arthrose invalidante) et concerne des patients souvent âgés aux scores ASA plus élevés et donc plus à même de présenter des complications. Pour la chirurgie prothétique programmée de hanche ou de genou, plusieurs travaux (dont plusieurs méta-analyses) sont en faveur de la rachianesthésie (RA). Pour la chirurgie pour prothèse totale de hanche (PTH), le choix de la voie d'abord doit être guidé par l'expérience du chirurgien et les particularités anatomiques du patient. La prothèse de genou (PTG) est, avec la PTH, la plus fréquente des prothèses orthopédiques. Après PTG, une analgésie PO inefficace est un frein à la réhabilitation et à la récupération fonctionnelle. Elle aussi est source de douleurs chroniques PO (DCPO). Les blocs nerveux périphériques ont montré tous leurs intérêts. La fracture de l'extrémité supérieure du fémur (FESF) est une des urgences orthopédiques les plus fréquentes et est associée à un risque élevé de décompensation de tares, de syndrome de glissement, de handicap et de mortalité. Une prise en charge multidisciplinaire par une équipe référente (anesthésistes-réanimateurs, chirurgiens, gériatres) permet de réduire la morbi-mortalité. La position semi-assise dite du « beach chair » est indiquée pour l'installation en chirurgie de l'épaule, arthroscopie comprise. Cette position expose à des complications neurologiques secondaires à un bas débit cérébral ou à un étirement du plexus brachial, voire de la XIIe paire crânienne et à la compression des nerfs sciatiques. Le recours à un cathéter périnerveux (BIS) est indiqué pour toutes les chirurgies présentant un seuil douloureux élevé (arthroplastie, chirurgie de la coiffe des rotateurs, arthrolyse). Pour les chirurgies périphériques, main et pied, l'anesthésie locorégionale (ALR) occupe une place majeure. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75822 [article] Anesthésie en chirurgie orthopédique [texte imprimé] / Laurent ROUSSEAU, Auteur ; Marc Raucoules - Aime, Auteur ; R ROZIER, Auteur . - 2015 . - 36-605-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-605-A-10
Catégories : ANESTHESIE LOCOREGIONALE ; CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ; COMPLICATION ; DOULEUR ; REHABILITATION AMELIOREE ; TRAUMATOLOGIE Résumé : Les spécificités de l'anesthésie en chirurgie orthopédique/traumatologique sont : avant l'intervention, l'évaluation des risques infectieux, hémorragiques et thrombotiques et l'information du patient sur la prise en charge analgésique ; pendant l'intervention, l'installation du patient, la gestion des risques spécifiques liés à l'utilisation du garrot de membre, du ciment chirurgical ; la gestion des risques liés aux ostéotomies et aux fractures (embolie graisseuse, risque hémorragique, risque infectieux) ; après l'intervention, l'analgésie postopératoire (PO) et la réhabilitation améliorée, le risque thrombotique PO ; enfin la prise en compte de terrains spécifiques (spondylarthropathies et scoliose). La chirurgie du membre inférieur est de plus en plus fréquente (arthrose invalidante) et concerne des patients souvent âgés aux scores ASA plus élevés et donc plus à même de présenter des complications. Pour la chirurgie prothétique programmée de hanche ou de genou, plusieurs travaux (dont plusieurs méta-analyses) sont en faveur de la rachianesthésie (RA). Pour la chirurgie pour prothèse totale de hanche (PTH), le choix de la voie d'abord doit être guidé par l'expérience du chirurgien et les particularités anatomiques du patient. La prothèse de genou (PTG) est, avec la PTH, la plus fréquente des prothèses orthopédiques. Après PTG, une analgésie PO inefficace est un frein à la réhabilitation et à la récupération fonctionnelle. Elle aussi est source de douleurs chroniques PO (DCPO). Les blocs nerveux périphériques ont montré tous leurs intérêts. La fracture de l'extrémité supérieure du fémur (FESF) est une des urgences orthopédiques les plus fréquentes et est associée à un risque élevé de décompensation de tares, de syndrome de glissement, de handicap et de mortalité. Une prise en charge multidisciplinaire par une équipe référente (anesthésistes-réanimateurs, chirurgiens, gériatres) permet de réduire la morbi-mortalité. La position semi-assise dite du « beach chair » est indiquée pour l'installation en chirurgie de l'épaule, arthroscopie comprise. Cette position expose à des complications neurologiques secondaires à un bas débit cérébral ou à un étirement du plexus brachial, voire de la XIIe paire crânienne et à la compression des nerfs sciatiques. Le recours à un cathéter périnerveux (BIS) est indiqué pour toutes les chirurgies présentant un seuil douloureux élevé (arthroplastie, chirurgie de la coiffe des rotateurs, arthrolyse). Pour les chirurgies périphériques, main et pied, l'anesthésie locorégionale (ALR) occupe une place majeure. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75822 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePrise en charge du rachis traumatique / Olivier LANGERON in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-605-A-20
Titre : Prise en charge du rachis traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier LANGERON, Auteur ; Bruno Riou, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-605-A-20 Langues : Français (fre) Catégories : MOELLE EPINIERE ; RACHIS ; TETRAPLEGIE ; TRAUMATISME Résumé :
La prise en charge d'un traumatisme du rachis est difficile en raison des lésions traumatiques associées, en particulier médullaires, et de la nécessité fréquente d'une chirurgie urgente. Tout traumatisé doit bénéficier d'une immobilisation préhospitalière du rachis cervical. L'examen radiologique complet du rachis est systématique et au mieux effectué par un scanner, par ailleurs nécessaire dans le cadre d'un polytraumatisme car il permet de faire le bilan des lésions associées. L'imagerie par résonance magnétique est indiquée devant des lésions médullaires cliniques en l'absence de cause osseuse au scanner. La réanimation vise à maintenir une pression de perfusion médullaire satisfaisante, à éviter une hyperglycémie, à maintenir une oxygénation correcte, et à permettre une décompression médullaire urgente. L'administration de corticoïdes n'est pas recommandée. La chirurgie urgente est particulièrement indiquée dans les six premières heures, dans les lésions médullaires incomplètes ou celles qui s'aggravent progressivement.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75826 [article] Prise en charge du rachis traumatique [texte imprimé] / Olivier LANGERON, Auteur ; Bruno Riou, Auteur . - 2015 . - 36-605-A-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-605-A-20
Catégories : MOELLE EPINIERE ; RACHIS ; TETRAPLEGIE ; TRAUMATISME Résumé :
La prise en charge d'un traumatisme du rachis est difficile en raison des lésions traumatiques associées, en particulier médullaires, et de la nécessité fréquente d'une chirurgie urgente. Tout traumatisé doit bénéficier d'une immobilisation préhospitalière du rachis cervical. L'examen radiologique complet du rachis est systématique et au mieux effectué par un scanner, par ailleurs nécessaire dans le cadre d'un polytraumatisme car il permet de faire le bilan des lésions associées. L'imagerie par résonance magnétique est indiquée devant des lésions médullaires cliniques en l'absence de cause osseuse au scanner. La réanimation vise à maintenir une pression de perfusion médullaire satisfaisante, à éviter une hyperglycémie, à maintenir une oxygénation correcte, et à permettre une décompression médullaire urgente. L'administration de corticoïdes n'est pas recommandée. La chirurgie urgente est particulièrement indiquée dans les six premières heures, dans les lésions médullaires incomplètes ou celles qui s'aggravent progressivement.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75826 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie en neurochirurgie / N BRUDER in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-613-B-10
Titre : Anesthésie en neurochirurgie Type de document : texte imprimé Auteurs : N BRUDER, Auteur ; P RAVUSSIN, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-613-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; NEUROCHIRURGIE ; REVEIL Résumé :
Ces dernières années, les connaissances sur l'effet des techniques anesthésiques sur le cerveau ont connu un développement considérable. La meilleure compréhension de l'effet des thérapeutiques et l'apparition de nouveaux agents ont très largement simplifié la prise en charge anesthésique dans la majorité des situations. Cette facilité apparente ne doit pas faire perdre de vue la morbidité élevée associée à la chirurgie intracrânienne. L'anesthésiste a certainement un rôle important à jouer dans la prévention et le traitement de ces complications. Ceci nécessite une bonne connaissance de la physiopathologie de la circulation et du débit sanguin cérébral au cours de l'anesthésie mais aussi des connaissances sur les modifications liées à la posture, les conséquences hémodynamiques cérébrales du réveil, le traitement de la douleur, la prévention des nausées et des vomissements, l'effet résiduel des agents anesthésiques sur les fonctions neurologiques, la prévention et le traitement des crises d'épilepsie, les risques spécifiques liés aux différentes procédures neurochirurgicales, les moyens d'une éventuelle protection cérébrale. L'anesthésie en neurochirurgie ne s'improvise donc pas. C'est la raison pour laquelle une place assez large est réservée à la physiopathologie dans la suite de ce texte. En effet, si une lecture des chapitres V à VIII peut suffire pour l'anesthésiste confronté de manière occasionnelle à la neurochirurgie, la compréhension des objectifs à respecter chez les patients à risque neurologique nécessite une connaissance plus vaste.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75828 [article] Anesthésie en neurochirurgie [texte imprimé] / N BRUDER, Auteur ; P RAVUSSIN, Auteur . - 2015 . - 36-613-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-613-B-10
Catégories : ANESTHESIE ; NEUROCHIRURGIE ; REVEIL Résumé :
Ces dernières années, les connaissances sur l'effet des techniques anesthésiques sur le cerveau ont connu un développement considérable. La meilleure compréhension de l'effet des thérapeutiques et l'apparition de nouveaux agents ont très largement simplifié la prise en charge anesthésique dans la majorité des situations. Cette facilité apparente ne doit pas faire perdre de vue la morbidité élevée associée à la chirurgie intracrânienne. L'anesthésiste a certainement un rôle important à jouer dans la prévention et le traitement de ces complications. Ceci nécessite une bonne connaissance de la physiopathologie de la circulation et du débit sanguin cérébral au cours de l'anesthésie mais aussi des connaissances sur les modifications liées à la posture, les conséquences hémodynamiques cérébrales du réveil, le traitement de la douleur, la prévention des nausées et des vomissements, l'effet résiduel des agents anesthésiques sur les fonctions neurologiques, la prévention et le traitement des crises d'épilepsie, les risques spécifiques liés aux différentes procédures neurochirurgicales, les moyens d'une éventuelle protection cérébrale. L'anesthésie en neurochirurgie ne s'improvise donc pas. C'est la raison pour laquelle une place assez large est réservée à la physiopathologie dans la suite de ce texte. En effet, si une lecture des chapitres V à VIII peut suffire pour l'anesthésiste confronté de manière occasionnelle à la neurochirurgie, la compréhension des objectifs à respecter chez les patients à risque neurologique nécessite une connaissance plus vaste.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75828 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie-réanimation et chirurgie de l'hypophyse in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-614-A-10
Titre : Anesthésie-réanimation et chirurgie de l'hypophyse Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-614-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACROMEGALIE ; CANCEROLOGIE:CANCER:TUMEUR ; DIABETOLOGIE:DIABETE ; HYPOPHYSE ; NEUROCHIRURGIE ; SYNDROME DE CUSHING Résumé :
La chirurgie de l'hypophyse par voie transsphénoïdale est le traitement des adénomes hypophysaires intrasellaires. Cette voie d'abord respecte les voies optiques et permet l'adénomectomie sélective avec préservation d'une fonction antéhypophysaire normale. La technique par voie endoscopique s'est généralisée. Les manifestations cliniques des adénomes hypophysaires dépendent de l'existence ou non d'un syndrome tumoral et/ou d'une hypersécrétion hormonale. La substitution hormonale périopératoire s'est simplifiée, ses modalités diffèrent selon l'état endocrinien. L'intervention est de courte durée et se pratique en position demi-assise. La difficulté de prise en charge des voies aériennes domine la période peropératoire chez le patient acromégale. Les complications sont rares, elles sont principalement d'ordre métabolique (diabète insipide).Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75830 [article] Anesthésie-réanimation et chirurgie de l'hypophyse [texte imprimé] . - 2015 . - 36-614-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-614-A-10
Catégories : ACROMEGALIE ; CANCEROLOGIE:CANCER:TUMEUR ; DIABETOLOGIE:DIABETE ; HYPOPHYSE ; NEUROCHIRURGIE ; SYNDROME DE CUSHING Résumé :
La chirurgie de l'hypophyse par voie transsphénoïdale est le traitement des adénomes hypophysaires intrasellaires. Cette voie d'abord respecte les voies optiques et permet l'adénomectomie sélective avec préservation d'une fonction antéhypophysaire normale. La technique par voie endoscopique s'est généralisée. Les manifestations cliniques des adénomes hypophysaires dépendent de l'existence ou non d'un syndrome tumoral et/ou d'une hypersécrétion hormonale. La substitution hormonale périopératoire s'est simplifiée, ses modalités diffèrent selon l'état endocrinien. L'intervention est de courte durée et se pratique en position demi-assise. La difficulté de prise en charge des voies aériennes domine la période peropératoire chez le patient acromégale. Les complications sont rares, elles sont principalement d'ordre métabolique (diabète insipide).Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75830 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie pour chirurgie carcinologique oto-rhino-laryngologique et maxillo-faciale / C GOURBEIX in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-618-A-40
Titre : Anesthésie pour chirurgie carcinologique oto-rhino-laryngologique et maxillo-faciale Type de document : texte imprimé Auteurs : C GOURBEIX, Auteur ; François Lemoyne de Forges, Auteur ; A Cornet, Auteur ; M BISCH, Auteur ; A DEBELMAS, Auteur ; C BERTOLUS, Auteur ; Vincent Degos, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-618-A-40 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE ; CHIRURGIE MAXILLO-FACIALE ; COMPLICATION ; LAMBEAU ; ORL ; REHABILITATION ; RISQUE CARCINOLOGIQUE Résumé : Les chirurgies carcinologiques oto-rhino-laryngologiques (ORL) et maxillo-faciales concernent principalement les tumeurs des voies aéro-digestives supérieures. Ce sont généralement des procédures majeures, de par leur caractère long et délabrant. Les facteurs de risque de ces tumeurs étant, au premier plan, les intoxications éthylique et tabagique, les patients candidats à ce type de chirurgie sont fréquemment porteurs de pathologies cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que de dénutrition conséquente au processus tumoral. L'évaluation préopératoire de ces malades est de ce fait une étape essentielle de la prise en charge, et doit être multidisciplinaire. Elle s'attache à la mise en place de mesures de préhabilitation afin d'améliorer le pronostic des patients, notamment par la correction d'une éventuelle dénutrition ou anémie. La gestion des voies aériennes est la principale difficulté à laquelle l'anesthésiste peut être confronté au bloc opératoire pour ce type de patients. La vidéo-laryngoscopie se révèle utile dans les situations de difficultés d'abord des voies aériennes. L'intubation vigile sous fibroscopie est une technique alternative qui doit être bien maîtrisée par tout anesthésiste en ORL et chirurgie maxillo-faciale. Les éléments essentiels de la gestion peropératoire consistent en l'antibioprophylaxie, l'optimisation hémodynamique, la gestion du saignement chirurgical et la prévention de l'hypothermie. La prise en charge postopératoire doit généralement être réalisée dans une unité de soins continus, afin de surveiller, d'une part, les complications médicales (infection respiratoire, décompensation de pathologies sous-jacentes, syndrome de sevrage, maladie thromboembolique) et, d'autre part, les complications chirurgicales (infection et saignement du site opératoire, obstruction des voies aériennes, dysfonction vasculaire des lambeaux). Ainsi, les comorbidités fréquentes, les difficultés d'abord des voies aériennes, la multiplicité des procédures et l'importance du taux de complications postopératoires nécessitent dans cette spécialité une collaboration étroite entre les équipes d'anesthésie et de chirurgie. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75838 [article] Anesthésie pour chirurgie carcinologique oto-rhino-laryngologique et maxillo-faciale [texte imprimé] / C GOURBEIX, Auteur ; François Lemoyne de Forges, Auteur ; A Cornet, Auteur ; M BISCH, Auteur ; A DEBELMAS, Auteur ; C BERTOLUS, Auteur ; Vincent Degos, Auteur . - 2015 . - 36-618-A-40.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE ; CHIRURGIE MAXILLO-FACIALE ; COMPLICATION ; LAMBEAU ; ORL ; REHABILITATION ; RISQUE CARCINOLOGIQUE Résumé : Les chirurgies carcinologiques oto-rhino-laryngologiques (ORL) et maxillo-faciales concernent principalement les tumeurs des voies aéro-digestives supérieures. Ce sont généralement des procédures majeures, de par leur caractère long et délabrant. Les facteurs de risque de ces tumeurs étant, au premier plan, les intoxications éthylique et tabagique, les patients candidats à ce type de chirurgie sont fréquemment porteurs de pathologies cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que de dénutrition conséquente au processus tumoral. L'évaluation préopératoire de ces malades est de ce fait une étape essentielle de la prise en charge, et doit être multidisciplinaire. Elle s'attache à la mise en place de mesures de préhabilitation afin d'améliorer le pronostic des patients, notamment par la correction d'une éventuelle dénutrition ou anémie. La gestion des voies aériennes est la principale difficulté à laquelle l'anesthésiste peut être confronté au bloc opératoire pour ce type de patients. La vidéo-laryngoscopie se révèle utile dans les situations de difficultés d'abord des voies aériennes. L'intubation vigile sous fibroscopie est une technique alternative qui doit être bien maîtrisée par tout anesthésiste en ORL et chirurgie maxillo-faciale. Les éléments essentiels de la gestion peropératoire consistent en l'antibioprophylaxie, l'optimisation hémodynamique, la gestion du saignement chirurgical et la prévention de l'hypothermie. La prise en charge postopératoire doit généralement être réalisée dans une unité de soins continus, afin de surveiller, d'une part, les complications médicales (infection respiratoire, décompensation de pathologies sous-jacentes, syndrome de sevrage, maladie thromboembolique) et, d'autre part, les complications chirurgicales (infection et saignement du site opératoire, obstruction des voies aériennes, dysfonction vasculaire des lambeaux). Ainsi, les comorbidités fréquentes, les difficultés d'abord des voies aériennes, la multiplicité des procédures et l'importance du taux de complications postopératoires nécessitent dans cette spécialité une collaboration étroite entre les équipes d'anesthésie et de chirurgie. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75838 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie en ophtalmologie / J-P HABERER in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-620-E-30
Titre : Anesthésie en ophtalmologie Type de document : texte imprimé Auteurs : J-P HABERER, Auteur ; C OBSTLER, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-620-E-30 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE LOCOREGIONALE ; NAUSEES ; OPHTALMOLOGIE ; VOMISSEMENT Résumé :
En chirurgie ophtalmologique de l'adulte, l'anesthésie locorégionale a une place prépondérante. Une connaissance précise de l'anatomie et de la physiologie oculaire est nécessaire pour la réalisation en toute sécurité de l'anesthésie locorégionale. Si presque toute la chirurgie du segment antérieur est réalisée sous anesthésie locorégionale, de plus en plus d'interventions du segment postérieur bénéficient de cette modalité d'anesthésie. L'anesthésie péribulbaire, qui a progressivement remplacé l'anesthésie rétrobulbaire, est la technique de référence. Les complications de l'anesthésie péribulbaire sont rares, les deux plus graves étant la diffusion des anesthésiques locaux vers le système nerveux central et la perforation du globe oculaire. De nombreuses autres techniques ont été développées, dont les plus courantes sont l'anesthésie topique et l'anesthésie sous-ténonienne. Les suites postopératoires sont le plus souvent simples, les complications les plus fréquentes étant les nausées, les vomissements et les douleurs. La chirurgie ambulatoire est la modalité habituelle pour de nombreux actes de chirurgie ophtalmologique. Les spécificités anesthésiques des principales interventions ophtalmologiques sont précisées ainsi que la stratégie anesthésique pour l'anesthésie en urgence des traumatismes oculaires.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75840 [article] Anesthésie en ophtalmologie [texte imprimé] / J-P HABERER, Auteur ; C OBSTLER, Auteur . - 2015 . - 36-620-E-30.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-620-E-30
Catégories : ANESTHESIE LOCOREGIONALE ; NAUSEES ; OPHTALMOLOGIE ; VOMISSEMENT Résumé :
En chirurgie ophtalmologique de l'adulte, l'anesthésie locorégionale a une place prépondérante. Une connaissance précise de l'anatomie et de la physiologie oculaire est nécessaire pour la réalisation en toute sécurité de l'anesthésie locorégionale. Si presque toute la chirurgie du segment antérieur est réalisée sous anesthésie locorégionale, de plus en plus d'interventions du segment postérieur bénéficient de cette modalité d'anesthésie. L'anesthésie péribulbaire, qui a progressivement remplacé l'anesthésie rétrobulbaire, est la technique de référence. Les complications de l'anesthésie péribulbaire sont rares, les deux plus graves étant la diffusion des anesthésiques locaux vers le système nerveux central et la perforation du globe oculaire. De nombreuses autres techniques ont été développées, dont les plus courantes sont l'anesthésie topique et l'anesthésie sous-ténonienne. Les suites postopératoires sont le plus souvent simples, les complications les plus fréquentes étant les nausées, les vomissements et les douleurs. La chirurgie ambulatoire est la modalité habituelle pour de nombreux actes de chirurgie ophtalmologique. Les spécificités anesthésiques des principales interventions ophtalmologiques sont précisées ainsi que la stratégie anesthésique pour l'anesthésie en urgence des traumatismes oculaires.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75840 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie du nourrisson et de l'enfant / V Guellec in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-640-A-20
Titre : Anesthésie du nourrisson et de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : V Guellec, Auteur ; G ORLIAGUET, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-640-A-20 Langues : Français (fre) Catégories : ANALGESIE ; ANESTHESIE ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; ENFANT:NOURRISSON ; INDUCTION ; INTUBATION ; PERFUSION Résumé : La mortalité liée à l'anesthésie a considérablement diminué au cours des 30 dernières années aussi bien chez l'enfant que chez l'adulte [105]. Cette amélioration tient à une meilleure formation des anesthésistes, à une amélioration de l'équipement, du monitorage et à l'effort entrepris dans la pratique de l'anesthésie (développement des consultations d'anesthésie, mise en place de salles de surveillance postinterventionnelle, meilleure organisation de l'activité du bloc opératoire). Cependant la morbidité liée à l'anesthésie reste encore élevée chez l'enfant de moins de 3 ans et plus particulièrement chez le nourrisson de moins de 1 an. Des enquêtes récentes sur la mortalité et la morbidité de l'anesthésie pédiatrique permettent de mieux connaître les facteurs de risque propres à l'enfant et de définir une stratégie adaptée pour les prévenir. Ainsi, l'enquête confidentielle réalisée en Grande-Bretagne en 1989 a clairement indiqué que l'issue de l'anesthésie et de la chirurgie pédiatrique dépendait de l'expérience des médecins impliqués [20]. La plupart sinon la totalité des complications anesthésiques relèvent d'une erreur humaine et sont en fait évitables chez l'enfant comme chez l'adulte [103]. L'effort doit porter sur la généralisation du monitorage de sécurité par la stricte adhésion aux standards recommandés par la Société française d'anesthésie réanimation (SFAR) et sur l'amélioration de la formation des anesthésistes d'enfants. La mortalité liée à l'anesthésie a considérablement diminué au cours des 30 dernières années aussi bien chez l'enfant que chez l'adulte, avec une réduction d'un facteur 10 rien qu'au cours des 10 dernières années. Cette amélioration tient à de nombreux facteurs, dont des facteurs humains, matériels (amélioration de l'équipement et du monitorage), pharmacologiques (par exemple : remplacement de l'halothane par le sévoflurane) et organisationnels (mise en place des schémas régionaux d'organisation des soins [SROS] de troisième génération pour la chirurgie de l'enfant et de l'adolescent). Cependant, la morbidité liée à l'anesthésie reste encore trop élevée et s'observe essentiellement chez les enfants les plus jeunes (moins de 3 ans et surtout nourrisson de moins de 1 an). Des travaux sur la morbimortalité ont permis de mieux connaître les facteurs de risque propres à l'enfant et de définir des stratégies adaptées pour les prévenir. Aux efforts consacrés à améliorer la sécurité périopératoire des patients font désormais suite des efforts visant à améliorer le confort des enfants. Parmi les principaux axes de travail sur ce thème on retrouve la prévention et le traitement de la douleur et des vomissements postopératoires. L'amélioration de l'ensemble du processus de prise en charge des enfants passe notamment par une stricte adhésion aux recommandations des sociétés savantes (Société française d'Anesthésie-Réanimation [SFAR] et Association des anesthésistes-réanimateurs d'expression française [ADARPEF]), concomitamment à la mise en oeuvre d'une évaluation des pratiques professionnelles, pour lesquelles le Collège français des anesthésistes-réanimateurs (CFAR) propose de nombreux référentiels. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75843 [article] Anesthésie du nourrisson et de l'enfant [texte imprimé] / V Guellec, Auteur ; G ORLIAGUET, Auteur . - 2015 . - 36-640-A-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-640-A-20
Catégories : ANALGESIE ; ANESTHESIE ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; ENFANT:NOURRISSON ; INDUCTION ; INTUBATION ; PERFUSION Résumé : La mortalité liée à l'anesthésie a considérablement diminué au cours des 30 dernières années aussi bien chez l'enfant que chez l'adulte [105]. Cette amélioration tient à une meilleure formation des anesthésistes, à une amélioration de l'équipement, du monitorage et à l'effort entrepris dans la pratique de l'anesthésie (développement des consultations d'anesthésie, mise en place de salles de surveillance postinterventionnelle, meilleure organisation de l'activité du bloc opératoire). Cependant la morbidité liée à l'anesthésie reste encore élevée chez l'enfant de moins de 3 ans et plus particulièrement chez le nourrisson de moins de 1 an. Des enquêtes récentes sur la mortalité et la morbidité de l'anesthésie pédiatrique permettent de mieux connaître les facteurs de risque propres à l'enfant et de définir une stratégie adaptée pour les prévenir. Ainsi, l'enquête confidentielle réalisée en Grande-Bretagne en 1989 a clairement indiqué que l'issue de l'anesthésie et de la chirurgie pédiatrique dépendait de l'expérience des médecins impliqués [20]. La plupart sinon la totalité des complications anesthésiques relèvent d'une erreur humaine et sont en fait évitables chez l'enfant comme chez l'adulte [103]. L'effort doit porter sur la généralisation du monitorage de sécurité par la stricte adhésion aux standards recommandés par la Société française d'anesthésie réanimation (SFAR) et sur l'amélioration de la formation des anesthésistes d'enfants. La mortalité liée à l'anesthésie a considérablement diminué au cours des 30 dernières années aussi bien chez l'enfant que chez l'adulte, avec une réduction d'un facteur 10 rien qu'au cours des 10 dernières années. Cette amélioration tient à de nombreux facteurs, dont des facteurs humains, matériels (amélioration de l'équipement et du monitorage), pharmacologiques (par exemple : remplacement de l'halothane par le sévoflurane) et organisationnels (mise en place des schémas régionaux d'organisation des soins [SROS] de troisième génération pour la chirurgie de l'enfant et de l'adolescent). Cependant, la morbidité liée à l'anesthésie reste encore trop élevée et s'observe essentiellement chez les enfants les plus jeunes (moins de 3 ans et surtout nourrisson de moins de 1 an). Des travaux sur la morbimortalité ont permis de mieux connaître les facteurs de risque propres à l'enfant et de définir des stratégies adaptées pour les prévenir. Aux efforts consacrés à améliorer la sécurité périopératoire des patients font désormais suite des efforts visant à améliorer le confort des enfants. Parmi les principaux axes de travail sur ce thème on retrouve la prévention et le traitement de la douleur et des vomissements postopératoires. L'amélioration de l'ensemble du processus de prise en charge des enfants passe notamment par une stricte adhésion aux recommandations des sociétés savantes (Société française d'Anesthésie-Réanimation [SFAR] et Association des anesthésistes-réanimateurs d'expression française [ADARPEF]), concomitamment à la mise en oeuvre d'une évaluation des pratiques professionnelles, pour lesquelles le Collège français des anesthésistes-réanimateurs (CFAR) propose de nombreux référentiels. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75843 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleUrgences chirurgicales néonatales / Corinne LEJUS in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-640-A-50
Titre : Urgences chirurgicales néonatales Type de document : texte imprimé Auteurs : Corinne LEJUS, Auteur ; M BIARD, Auteur ; M-D LECLAIR, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-640-A-50 Langues : Français (fre) Catégories : ANALGESIE ; ANESTHESIE ; ENFANT:NOUVEAU-NE ; URGENCE CHIRURGICALE Résumé : Les urgences chirurgicales néonatales sont peu fréquentes mais leur prise en charge anesthésique doit prendre en compte de multiples particularités physiologiques du nouveau-né et la physiopathologie de la malformation congénitale sous-jacente. Le comportement pharmacocinétique de la plupart des agents anesthésiques est modifié. L'immaturité hépatique est responsable, pour un grand nombre d'entre eux, d'une augmentation de la demi-vie d'élimination. Les capacités d'adaptation du myocarde sont limitées et les désaturations surviennent très rapidement au cours de toute apnée. À l'inverse, les conséquences de l'hyperoxie ne doivent pas être négligées. Certaines pathologies justifient une expansion volémique importante. La place de l'albumine reste controversée en dépit de l'utilisation croissante des cristalloïdes. La problématique de la hernie de coupole diaphragmatique réside dans l'agénésie pulmonaire sous-jacente et le contrôle de l'hypertension artérielle pulmonaire est déterminant. La cure de l'atrésie de l'oesophage type 3 expose surtout aux difficultés ventilatoires jusqu'à la fermeture de la fistule. Le laparoschisis conduit à des tableaux de gravité très variable selon l'atteinte digestive associée. Les cures de hernie de coupole, d'omphalocèle et de laparoschisis peuvent être responsables d'un syndrome du compartiment abdominal à l'origine d'une défaillance multiviscérale. Une analgésie insuffisante modifie le contrôle spinal et supraspinal de la douleur. L'administration de la morphine tient compte des modifications de son métabolisme. L'anesthésie locorégionale exercerait des effets favorables après chirurgie majeure, en particulier sur la durée de ventilation contrôlée. Une immaturité des fonctions immunitaires augmente le risque infectieux. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75846 [article] Urgences chirurgicales néonatales [texte imprimé] / Corinne LEJUS, Auteur ; M BIARD, Auteur ; M-D LECLAIR, Auteur . - 2015 . - 36-640-A-50.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-640-A-50
Catégories : ANALGESIE ; ANESTHESIE ; ENFANT:NOUVEAU-NE ; URGENCE CHIRURGICALE Résumé : Les urgences chirurgicales néonatales sont peu fréquentes mais leur prise en charge anesthésique doit prendre en compte de multiples particularités physiologiques du nouveau-né et la physiopathologie de la malformation congénitale sous-jacente. Le comportement pharmacocinétique de la plupart des agents anesthésiques est modifié. L'immaturité hépatique est responsable, pour un grand nombre d'entre eux, d'une augmentation de la demi-vie d'élimination. Les capacités d'adaptation du myocarde sont limitées et les désaturations surviennent très rapidement au cours de toute apnée. À l'inverse, les conséquences de l'hyperoxie ne doivent pas être négligées. Certaines pathologies justifient une expansion volémique importante. La place de l'albumine reste controversée en dépit de l'utilisation croissante des cristalloïdes. La problématique de la hernie de coupole diaphragmatique réside dans l'agénésie pulmonaire sous-jacente et le contrôle de l'hypertension artérielle pulmonaire est déterminant. La cure de l'atrésie de l'oesophage type 3 expose surtout aux difficultés ventilatoires jusqu'à la fermeture de la fistule. Le laparoschisis conduit à des tableaux de gravité très variable selon l'atteinte digestive associée. Les cures de hernie de coupole, d'omphalocèle et de laparoschisis peuvent être responsables d'un syndrome du compartiment abdominal à l'origine d'une défaillance multiviscérale. Une analgésie insuffisante modifie le contrôle spinal et supraspinal de la douleur. L'administration de la morphine tient compte des modifications de son métabolisme. L'anesthésie locorégionale exercerait des effets favorables après chirurgie majeure, en particulier sur la durée de ventilation contrôlée. Une immaturité des fonctions immunitaires augmente le risque infectieux. Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75846 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleRéanimation et anesthésie du brûlé chez l'adulte in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-645-A-10
Titre : Réanimation et anesthésie du brûlé chez l'adulte Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-645-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : BRULURE ; CHIRURGIE ; PHYSIOPATHOLOGIE ; PREHOSPITALIER Résumé :
Environ 10 000 brûlures conduisent à l'hôpital chaque année. La mortalité et le devenir fonctionnel des plus graves ont été améliorés, probablement par le meilleur contrôle du choc initial et par les progrès chirurgicaux. La physiopathologie du choc initial et de l'oedème, de l'atteinte pulmonaire et des désordres inflammatoires n'est pas parfaitement élucidée. La prise en charge initiale impose une évaluation de la surface brûlée et une réanimation dominée par les apports de solutés cristalloïdes dans les premières heures. Le refroidissement est efficace dans les premières minutes pour limiter la profondeur des lésions. Le risque d'hypothermie est à prendre en compte. Le contrôle des voies aériennes s'impose lorsque l'inhalation fait redouter un oedème obstructif des voies aériennes supérieures, qui peut s'installer dans les 6 heures. La prise en charge hospitalière débute par une évaluation des lésions, en surface et en profondeur, le plus souvent sous anesthésie générale. Le diagnostic des lésions trachéobronchiques par fibroscopie est recommandé. L'utilisation d'albumine diluée après un certain délai est consensuelle. Le suivi de la réanimation hémodynamique peut faire appel à un monitorage invasif, même si aucun gain en termes de mortalité n'est rapporté. La stratégie chirurgicale doit être discutée dès la période initiale, pour réaliser les gestes d'urgence (fasciotomies décompressives) et anticiper les gestes ultérieurs d'excision et de greffe. Les besoins transfusionnels sont importants et ils sont majorés par la chirurgie d'excision-greffe précoce. Le recours aux substituts dermoépidermiques artificiels est prometteur, mais le coût de ces substituts en limite encore l'usage. La réanimation secondaire est dominée par l'hypercatabolisme et la nutrition à réaliser, et par les complications infectieuses. L'infection nosocomiale est plus fréquente chez le brûlé que chez les autres malades de soins intensifs. L'infection de la brûlure elle-même est mieux contrôlée par les topiques modernes et par la chirurgie d'excision-greffe.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75847 [article] Réanimation et anesthésie du brûlé chez l'adulte [texte imprimé] . - 2015 . - 36-645-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-645-A-10
Catégories : BRULURE ; CHIRURGIE ; PHYSIOPATHOLOGIE ; PREHOSPITALIER Résumé :
Environ 10 000 brûlures conduisent à l'hôpital chaque année. La mortalité et le devenir fonctionnel des plus graves ont été améliorés, probablement par le meilleur contrôle du choc initial et par les progrès chirurgicaux. La physiopathologie du choc initial et de l'oedème, de l'atteinte pulmonaire et des désordres inflammatoires n'est pas parfaitement élucidée. La prise en charge initiale impose une évaluation de la surface brûlée et une réanimation dominée par les apports de solutés cristalloïdes dans les premières heures. Le refroidissement est efficace dans les premières minutes pour limiter la profondeur des lésions. Le risque d'hypothermie est à prendre en compte. Le contrôle des voies aériennes s'impose lorsque l'inhalation fait redouter un oedème obstructif des voies aériennes supérieures, qui peut s'installer dans les 6 heures. La prise en charge hospitalière débute par une évaluation des lésions, en surface et en profondeur, le plus souvent sous anesthésie générale. Le diagnostic des lésions trachéobronchiques par fibroscopie est recommandé. L'utilisation d'albumine diluée après un certain délai est consensuelle. Le suivi de la réanimation hémodynamique peut faire appel à un monitorage invasif, même si aucun gain en termes de mortalité n'est rapporté. La stratégie chirurgicale doit être discutée dès la période initiale, pour réaliser les gestes d'urgence (fasciotomies décompressives) et anticiper les gestes ultérieurs d'excision et de greffe. Les besoins transfusionnels sont importants et ils sont majorés par la chirurgie d'excision-greffe précoce. Le recours aux substituts dermoépidermiques artificiels est prometteur, mais le coût de ces substituts en limite encore l'usage. La réanimation secondaire est dominée par l'hypercatabolisme et la nutrition à réaliser, et par les complications infectieuses. L'infection nosocomiale est plus fréquente chez le brûlé que chez les autres malades de soins intensifs. L'infection de la brûlure elle-même est mieux contrôlée par les topiques modernes et par la chirurgie d'excision-greffe.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75847 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePrise en charge de l'enfant brûlé à la phase aiguë / Isabelle Constant in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-645-B-10
Titre : Prise en charge de l'enfant brûlé à la phase aiguë Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Constant, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-645-B-10 Note générale : Màj 2022 Langues : Français (fre) Catégories : ANALGESIE ; BRULURE ; CHLORHEXIDINE ; ENFANT ; HYGIENE:INFECTION ; INTUBATION Résumé :
La brûlure est une atteinte accidentelle fréquente chez le jeune enfant, le plus souvent liée à un liquide chaud. Les critères de prise en charge dans les centres spécialisés dans le traitement de la brûlure sont larges, ce d'autant que la brûlure est étendue et que l'enfant est jeune ou présentant des comorbidités. Les brûlures sont considérées comme sévères au-delà d'une surface de 10 à 20 % (selon l'âge) de la surface corporelle totale. Ce type d'atteinte est associé à un retentissement systémique rapide et proportionnel à la surface brûlée, qui requiert une prise en charge en urgence. En premier lieu, une oxygénation adéquate doit être assurée, les indications d'intubation trachéale sont rares et principalement réservées aux brûlures très étendues (> 40-60 %), et/ou aux inhalations de fumées. Par ailleurs, les déperditions hydroélectrolytiques, induites par l'œdème lésionnel, sont responsables d'une hypovolémie d'installation rapide et doivent être compensées par des débits de perfusion élevés, le plus souvent calculés grâce à la règle de Parkland. Les solutés utilisés à la phase initiale associent du Ringer lactate et du glucosé à 5 % en fonction de l'âge de l'enfant. L'agression tissulaire secondaire à la brûlure induit un syndrome de réponse inflammatoire systémique (SIRS) qui apparaît vers la 48e heure et est responsable d'une altération de la perméabilité capillaire favorisant la surcharge, notamment au niveau pulmonaire. La première cause de mortalité chez le brûlé pédiatrique comme chez l'adulte est l'infection. L'utilisation des antibiotiques doit être limitée aux infections avérées. La prévention des infections systémiques requiert une désinfection locale rigoureuse, par exemple par l'utilisation pluriquotidienne de la chlorhexidine aqueuse. L'analgésie et la sédation sont multimodales et visent à limiter l'hyperalgésie et la chronicisation des douleurs. La morphine, la kétamine, la clonidine et les gabapentinoïdes sont les produits les plus souvent prescrits. La nutrition entérale est précoce, hypercalorique et antioxydante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75848 [article] Prise en charge de l'enfant brûlé à la phase aiguë [texte imprimé] / Isabelle Constant, Auteur . - 2015 . - 36-645-B-10.
Màj 2022
Langues : Français (fre)
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Catégories : ANALGESIE ; BRULURE ; CHLORHEXIDINE ; ENFANT ; HYGIENE:INFECTION ; INTUBATION Résumé :
La brûlure est une atteinte accidentelle fréquente chez le jeune enfant, le plus souvent liée à un liquide chaud. Les critères de prise en charge dans les centres spécialisés dans le traitement de la brûlure sont larges, ce d'autant que la brûlure est étendue et que l'enfant est jeune ou présentant des comorbidités. Les brûlures sont considérées comme sévères au-delà d'une surface de 10 à 20 % (selon l'âge) de la surface corporelle totale. Ce type d'atteinte est associé à un retentissement systémique rapide et proportionnel à la surface brûlée, qui requiert une prise en charge en urgence. En premier lieu, une oxygénation adéquate doit être assurée, les indications d'intubation trachéale sont rares et principalement réservées aux brûlures très étendues (> 40-60 %), et/ou aux inhalations de fumées. Par ailleurs, les déperditions hydroélectrolytiques, induites par l'œdème lésionnel, sont responsables d'une hypovolémie d'installation rapide et doivent être compensées par des débits de perfusion élevés, le plus souvent calculés grâce à la règle de Parkland. Les solutés utilisés à la phase initiale associent du Ringer lactate et du glucosé à 5 % en fonction de l'âge de l'enfant. L'agression tissulaire secondaire à la brûlure induit un syndrome de réponse inflammatoire systémique (SIRS) qui apparaît vers la 48e heure et est responsable d'une altération de la perméabilité capillaire favorisant la surcharge, notamment au niveau pulmonaire. La première cause de mortalité chez le brûlé pédiatrique comme chez l'adulte est l'infection. L'utilisation des antibiotiques doit être limitée aux infections avérées. La prévention des infections systémiques requiert une désinfection locale rigoureuse, par exemple par l'utilisation pluriquotidienne de la chlorhexidine aqueuse. L'analgésie et la sédation sont multimodales et visent à limiter l'hyperalgésie et la chronicisation des douleurs. La morphine, la kétamine, la clonidine et les gabapentinoïdes sont les produits les plus souvent prescrits. La nutrition entérale est précoce, hypercalorique et antioxydante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75848 Exemplaires
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DisponiblePrise en charge du patient diabétique (hors diabète gestationnel et diabète chez l'enfant) / T THIERRY NESSAN OUATTARA in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-650-A-10
Titre : Prise en charge du patient diabétique (hors diabète gestationnel et diabète chez l'enfant) Type de document : texte imprimé Auteurs : T THIERRY NESSAN OUATTARA, Auteur ; Marc Raucoules - Aime, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-650-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; COMPLICATION ; DIABETOLOGIE:DIABETE ; RISQUE OPERATOIRE Résumé :
Le diabète, en particulier de type 2, est un problème de santé publique dont le poids humain, social et économique va croissant. Ses complications en font une maladie dont la morbidité et le recours à la chirurgie sont fortement accrus par rapport à la population générale. Le risque opératoire est essentiellement lié aux complications dégénératives du diabète, en particulier cardiovasculaires ou affectant le système nerveux autonome. Un taux d'hémoglobine glyquée supérieur à 7 % est associé à un risque accru de comorbidités et de complications en postopératoire (infection du site opératoire par exemple ou mauvaise cicatrisation). La consultation d'anesthésie, outre le bilan des lésions dégénératives, permet d'évaluer la qualité de l'équilibre métabolique, d'identifier les patients à risque d'hypoglycémie, d'adapter les traitements et de demander les examens complémentaires nécessaires. En l'absence de signes de gastroparésie, le patient diabétique peut bénéficier, comme tout autre patient, d'un apport de liquides clairs jusqu'à deux heures avant la chirurgie car sa vidange gastrique n'est pas modifiée par rapport au sujet sain. Il n'y a aucun agent anesthésique indiqué ou contre-indiqué chez le diabétique. Les données de la littérature et les pratiques en anesthésie, en particulier dans le cadre de l'ambulatoire, sont en faveur de l'anesthésie locorégionale (ALR). Un soin tout particulier est apporté durant la période opératoire à la protection des points d'appui. Dans le cadre de la chirurgie ambulatoire, la réalisation de l'intervention en début de programme opératoire doit permettre la prise d'une collation à l'heure du déjeuner et la sortie du patient en fin d'après-midi, après un ultime contrôle glycémique. Pour des patients diabétiques, dont les comorbidités sont stabilisées, le maintien d'une glycémie inférieure à 10 mmol l-1 (1,8 g l-1) en périopératoire est un objectif suffisant.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75850 [article] Prise en charge du patient diabétique (hors diabète gestationnel et diabète chez l'enfant) [texte imprimé] / T THIERRY NESSAN OUATTARA, Auteur ; Marc Raucoules - Aime, Auteur . - 2015 . - 36-650-A-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ANESTHESIE ; COMPLICATION ; DIABETOLOGIE:DIABETE ; RISQUE OPERATOIRE Résumé :
Le diabète, en particulier de type 2, est un problème de santé publique dont le poids humain, social et économique va croissant. Ses complications en font une maladie dont la morbidité et le recours à la chirurgie sont fortement accrus par rapport à la population générale. Le risque opératoire est essentiellement lié aux complications dégénératives du diabète, en particulier cardiovasculaires ou affectant le système nerveux autonome. Un taux d'hémoglobine glyquée supérieur à 7 % est associé à un risque accru de comorbidités et de complications en postopératoire (infection du site opératoire par exemple ou mauvaise cicatrisation). La consultation d'anesthésie, outre le bilan des lésions dégénératives, permet d'évaluer la qualité de l'équilibre métabolique, d'identifier les patients à risque d'hypoglycémie, d'adapter les traitements et de demander les examens complémentaires nécessaires. En l'absence de signes de gastroparésie, le patient diabétique peut bénéficier, comme tout autre patient, d'un apport de liquides clairs jusqu'à deux heures avant la chirurgie car sa vidange gastrique n'est pas modifiée par rapport au sujet sain. Il n'y a aucun agent anesthésique indiqué ou contre-indiqué chez le diabétique. Les données de la littérature et les pratiques en anesthésie, en particulier dans le cadre de l'ambulatoire, sont en faveur de l'anesthésie locorégionale (ALR). Un soin tout particulier est apporté durant la période opératoire à la protection des points d'appui. Dans le cadre de la chirurgie ambulatoire, la réalisation de l'intervention en début de programme opératoire doit permettre la prise d'une collation à l'heure du déjeuner et la sortie du patient en fin d'après-midi, après un ultime contrôle glycémique. Pour des patients diabétiques, dont les comorbidités sont stabilisées, le maintien d'une glycémie inférieure à 10 mmol l-1 (1,8 g l-1) en périopératoire est un objectif suffisant.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75850 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie et myasthénie / S LAMMENS in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-657-C-10
Titre : Anesthésie et myasthénie Type de document : texte imprimé Auteurs : S LAMMENS, Auteur ; B EYMARD, Auteur ; Benoît Plaud, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-657-C-10 Langues : Français (fre) Catégories : CURARE ; MYASTHENIE ; OBSTETRIQUE Résumé :
La myasthénie est une maladie auto-immune responsable d'une fatigabilité et d'une faiblesse de la musculature striée squelettique. Elle est plus fréquente chez les femmes. La myasthénie est liée à des autoanticorps dirigés contre les récepteurs post-synaptiques à l'acétylcholine entraînant un blocage de la transmission au niveau de la plaque motrice. D'autres maladies auto-immunes peuvent y être associées. Le traitement repose sur les anticholinestérasiques et les immunosuppresseurs ainsi que le respect des médicaments contre-indiqués pouvant aggraver les symptômes. Les poussées aiguës peuvent nécessiter le recours aux immunoglobulines intraveineuses ou des plasmaphérèses. Le thymus serait à l'origine du déclenchement et de l'entretien de l'auto-immunisation dans la myasthénie. Le recours à l'anesthésie peut ainsi s'effectuer dans le cadre spécifique d'une thymectomie mais également pour une chirurgie en urgence ou bien un acte d'obstétrique. La prise en charge périopératoire, pluridisciplinaire, nécessite une évaluation préopératoire tenant compte notamment de la gravité basée sur des scores cliniques (score musculaire fonctionnel de la myasthénie notamment), modifie les schémas d'utilisation des agents anesthésiques (curares notamment), impose une surveillance postopératoire en unité de surveillance continue, en réanimation ou à proximité immédiate. Dans la plupart des cas l'évolution postopératoire est simple, superposable à une population normale. Néanmoins, le risque de complication postopératoire est documenté et concerne essentiellement la fonction respiratoire. Dans ce contexte deux formes graves doivent être distinguées : la crise myasthénique (poussée aiguë de la maladie) et la crise cholinergique (surdosage en anticholinestérasiques).Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75854 [article] Anesthésie et myasthénie [texte imprimé] / S LAMMENS, Auteur ; B EYMARD, Auteur ; Benoît Plaud, Auteur . - 2015 . - 36-657-C-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-657-C-10
Catégories : CURARE ; MYASTHENIE ; OBSTETRIQUE Résumé :
La myasthénie est une maladie auto-immune responsable d'une fatigabilité et d'une faiblesse de la musculature striée squelettique. Elle est plus fréquente chez les femmes. La myasthénie est liée à des autoanticorps dirigés contre les récepteurs post-synaptiques à l'acétylcholine entraînant un blocage de la transmission au niveau de la plaque motrice. D'autres maladies auto-immunes peuvent y être associées. Le traitement repose sur les anticholinestérasiques et les immunosuppresseurs ainsi que le respect des médicaments contre-indiqués pouvant aggraver les symptômes. Les poussées aiguës peuvent nécessiter le recours aux immunoglobulines intraveineuses ou des plasmaphérèses. Le thymus serait à l'origine du déclenchement et de l'entretien de l'auto-immunisation dans la myasthénie. Le recours à l'anesthésie peut ainsi s'effectuer dans le cadre spécifique d'une thymectomie mais également pour une chirurgie en urgence ou bien un acte d'obstétrique. La prise en charge périopératoire, pluridisciplinaire, nécessite une évaluation préopératoire tenant compte notamment de la gravité basée sur des scores cliniques (score musculaire fonctionnel de la myasthénie notamment), modifie les schémas d'utilisation des agents anesthésiques (curares notamment), impose une surveillance postopératoire en unité de surveillance continue, en réanimation ou à proximité immédiate. Dans la plupart des cas l'évolution postopératoire est simple, superposable à une population normale. Néanmoins, le risque de complication postopératoire est documenté et concerne essentiellement la fonction respiratoire. Dans ce contexte deux formes graves doivent être distinguées : la crise myasthénique (poussée aiguë de la maladie) et la crise cholinergique (surdosage en anticholinestérasiques).Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75854 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie du patient alcoolique / Jean-Louis POURRIAT in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-659-B-10
Titre : Anesthésie du patient alcoolique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis POURRIAT, Auteur ; A TEBOUL, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-659-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ALCOOL ; ANESTHESIE ; DELIRIUM ; INTOXICATION Résumé :
L'addiction à l'alcool a des points communs avec les autres addictions courantes, en cela qu'elle pose à l'anesthésiste-réanimateur des problèmes préopératoires (non observance de l'arrêt de la substance), peropératoires (hypermétabolisme ou retard de réveil) et postopératoires (syndromes délirants, infections, etc.). Cependant, l'addiction à l'alcool s'en distingue sur deux points : son extrême fréquence (près d'un homme hospitalisé sur quatre) et son retentissement démontré sur la mortalité et la morbidité périopératoire. L'intoxication éthylique chronique se traduit par des altérations touchant de nombreux appareils. Les conséquences neurologiques sont principalement la polynévrite et l'encéphalopathie de Gayet-Wernicke par carence en thiamine. Le retentissement hépatique peut être mineur (stéatose) ou sévère (hépatite alcoolique aiguë), aboutissant à la cirrhose hépatique au pronostic péjoratif. Les effets cardiovasculaires sont sous-estimés. La cardiomyopathie alcoolique se traduit par une altération de la contractilité, à laquelle l'organisme répond par une hypersécrétion de catécholamines, à l'origine de troubles du rythme cardiaque et d'une majoration de l'incompétence myocardique. Le béribéri cardiaque est plus rare. Le retentissement nutritionnel explique une grande partie des complications neurologiques, cardiaques, infectieuses et musculaires. L'éthylisme expose notamment à la carence en vitamine B1 (thiamine) et en phosphore. Par conséquent, l'anesthésie du patient éthylique chronique nécessite une évaluation préopératoire soigneuse du retentissement de l'intoxication et la prescription rapide de supplémentation nutritionnelle. L'intoxication éthylique aiguë (IEA) est devenue un phénomène social majeur, notamment chez les adolescents. Sans spécificité, c'est la pathologie traumatique qui les confronte le plus souvent aux urgences hospitalières. Les anesthésies en urgence pratiquées dans un contexte d'IEA concernent volontiers des patients hypovolémiques, atteints d'hypocontractilité cardiaque et à l'estomac plein. Chez les jeunes, une prise en charge psychiatrique est indispensable avant la sortie de l'hôpital. Les complications surviennent essentiellement pendant la phase postopératoire, en partie en raison des carences en thiamine et phosphore. La survenue d'un syndrome de sevrage est fréquente et peut être mortelle, notamment en cas de delirium tremens. Le meilleur traitement des complications postopératoires est certainement préventif mais peut être insuffisant. Le traitement curatif peut justifier à lui seul une admission en réanimation. Les moyens pharmacologiques font appel aux carbamates, aux neuroleptiques, aux benzodiazépines ou à la clonidine. L'administration d'alcool est à proscrire en raison du risque d'hépatite alcoolique aiguë. La prise en charge des patients cirrhotiques n'est pas décrite dans cet article.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75858 [article] Anesthésie du patient alcoolique [texte imprimé] / Jean-Louis POURRIAT, Auteur ; A TEBOUL, Auteur . - 2015 . - 36-659-B-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ALCOOL ; ANESTHESIE ; DELIRIUM ; INTOXICATION Résumé :
L'addiction à l'alcool a des points communs avec les autres addictions courantes, en cela qu'elle pose à l'anesthésiste-réanimateur des problèmes préopératoires (non observance de l'arrêt de la substance), peropératoires (hypermétabolisme ou retard de réveil) et postopératoires (syndromes délirants, infections, etc.). Cependant, l'addiction à l'alcool s'en distingue sur deux points : son extrême fréquence (près d'un homme hospitalisé sur quatre) et son retentissement démontré sur la mortalité et la morbidité périopératoire. L'intoxication éthylique chronique se traduit par des altérations touchant de nombreux appareils. Les conséquences neurologiques sont principalement la polynévrite et l'encéphalopathie de Gayet-Wernicke par carence en thiamine. Le retentissement hépatique peut être mineur (stéatose) ou sévère (hépatite alcoolique aiguë), aboutissant à la cirrhose hépatique au pronostic péjoratif. Les effets cardiovasculaires sont sous-estimés. La cardiomyopathie alcoolique se traduit par une altération de la contractilité, à laquelle l'organisme répond par une hypersécrétion de catécholamines, à l'origine de troubles du rythme cardiaque et d'une majoration de l'incompétence myocardique. Le béribéri cardiaque est plus rare. Le retentissement nutritionnel explique une grande partie des complications neurologiques, cardiaques, infectieuses et musculaires. L'éthylisme expose notamment à la carence en vitamine B1 (thiamine) et en phosphore. Par conséquent, l'anesthésie du patient éthylique chronique nécessite une évaluation préopératoire soigneuse du retentissement de l'intoxication et la prescription rapide de supplémentation nutritionnelle. L'intoxication éthylique aiguë (IEA) est devenue un phénomène social majeur, notamment chez les adolescents. Sans spécificité, c'est la pathologie traumatique qui les confronte le plus souvent aux urgences hospitalières. Les anesthésies en urgence pratiquées dans un contexte d'IEA concernent volontiers des patients hypovolémiques, atteints d'hypocontractilité cardiaque et à l'estomac plein. Chez les jeunes, une prise en charge psychiatrique est indispensable avant la sortie de l'hôpital. Les complications surviennent essentiellement pendant la phase postopératoire, en partie en raison des carences en thiamine et phosphore. La survenue d'un syndrome de sevrage est fréquente et peut être mortelle, notamment en cas de delirium tremens. Le meilleur traitement des complications postopératoires est certainement préventif mais peut être insuffisant. Le traitement curatif peut justifier à lui seul une admission en réanimation. Les moyens pharmacologiques font appel aux carbamates, aux neuroleptiques, aux benzodiazépines ou à la clonidine. L'administration d'alcool est à proscrire en raison du risque d'hépatite alcoolique aiguë. La prise en charge des patients cirrhotiques n'est pas décrite dans cet article.Note de contenu : Bibliographie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75858 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie de l'enfant en oto-rhino-laryngologie / Adrien Cock (de) in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-618-A-50
Titre : Anesthésie de l'enfant en oto-rhino-laryngologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrien Cock (de), Auteur ; Nadège Salvi, Auteur ; Gilles ORLIAGUET, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-618-A-50 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; APNEE DU SOMMEIL ; ENFANT ; HYPERREACTIVITE BRONCHIQUE ; INTUBATION Résumé :
L'anesthésie en oto-rhino-laryngologie (ORL) représente la majorité des actes réalisés chez le jeune enfant (1-4 ans). En dehors de cette tranche d'âge, l'anesthésie en ORL représente un quart à un tiers des actes d'anesthésie pédiatriques, de sorte que tout anesthésiste doit y être préparé. La population des enfants qui viennent pour un acte ORL est volontiers composée de patients présentant une hyperréactivité bronchique et/ou un syndrome d'apnée du sommeil. Ce type de patients nécessite une évaluation et une préparation préopératoire spécifique. Un autre aspect très particulier concerne la gestion des voies aériennes qui combine les problématiques de l'anesthésie pédiatrique et de l'anesthésie en ORL. La population prise en charge et la pathologie présentée augmentent le risque d'intubation difficile. Par ailleurs, la localisation du site opératoire fait que l'anesthésiste ne dispose pas d'un libre accès à la tête du patient ; la coopération avec l'ORL est alors essentielle pour garantir le maintien de la perméabilité des voies aériennes. La controverse concernant le choix de la méthode de contrôle des voies aériennes tend à disparaître, avec un recours à l'intubation trachéale de plus en plus fréquent. Quel que soit l'acte et sa durée, la mise en place d'une voie veineuse est obligatoire, permettant d'injecter les médicaments d'urgence en cas de besoin. Utilisé seul ou en association avec un agent intraveineux ou inhalé, le rémifentanil est intéressant en ORL pédiatrique car sa maniabilité permet aussi bien de conserver la ventilation spontanée des patients que d'approfondir rapidement l'anesthésie. L'hospitalisation ambulatoire est de plus en plus souvent la règle pour ces actes, sauf si le terrain (comorbidités sévères) ou la lourdeur de l'acte ORL ne le permettent pas. Pour favoriser cette modalité d'hospitalisation, il est indispensable de prévenir les nausées et vomissements postopératoires très fréquents dans cette chirurgie et d'anticiper la prise d'antalgiques par voie orale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76778 [article] Anesthésie de l'enfant en oto-rhino-laryngologie [texte imprimé] / Adrien Cock (de), Auteur ; Nadège Salvi, Auteur ; Gilles ORLIAGUET, Auteur . - 2015 . - 36-618-A-50.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-618-A-50
Catégories : ANESTHESIE ; APNEE DU SOMMEIL ; ENFANT ; HYPERREACTIVITE BRONCHIQUE ; INTUBATION Résumé :
L'anesthésie en oto-rhino-laryngologie (ORL) représente la majorité des actes réalisés chez le jeune enfant (1-4 ans). En dehors de cette tranche d'âge, l'anesthésie en ORL représente un quart à un tiers des actes d'anesthésie pédiatriques, de sorte que tout anesthésiste doit y être préparé. La population des enfants qui viennent pour un acte ORL est volontiers composée de patients présentant une hyperréactivité bronchique et/ou un syndrome d'apnée du sommeil. Ce type de patients nécessite une évaluation et une préparation préopératoire spécifique. Un autre aspect très particulier concerne la gestion des voies aériennes qui combine les problématiques de l'anesthésie pédiatrique et de l'anesthésie en ORL. La population prise en charge et la pathologie présentée augmentent le risque d'intubation difficile. Par ailleurs, la localisation du site opératoire fait que l'anesthésiste ne dispose pas d'un libre accès à la tête du patient ; la coopération avec l'ORL est alors essentielle pour garantir le maintien de la perméabilité des voies aériennes. La controverse concernant le choix de la méthode de contrôle des voies aériennes tend à disparaître, avec un recours à l'intubation trachéale de plus en plus fréquent. Quel que soit l'acte et sa durée, la mise en place d'une voie veineuse est obligatoire, permettant d'injecter les médicaments d'urgence en cas de besoin. Utilisé seul ou en association avec un agent intraveineux ou inhalé, le rémifentanil est intéressant en ORL pédiatrique car sa maniabilité permet aussi bien de conserver la ventilation spontanée des patients que d'approfondir rapidement l'anesthésie. L'hospitalisation ambulatoire est de plus en plus souvent la règle pour ces actes, sauf si le terrain (comorbidités sévères) ou la lourdeur de l'acte ORL ne le permettent pas. Pour favoriser cette modalité d'hospitalisation, il est indispensable de prévenir les nausées et vomissements postopératoires très fréquents dans cette chirurgie et d'anticiper la prise d'antalgiques par voie orale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76778 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie du sujet âgé / J-P HABERER in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-643-A-10
Titre : Anesthésie du sujet âgé Type de document : texte imprimé Auteurs : J-P HABERER, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-643-A-10 Note générale : Màj 2022 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; COMPLICATION POSTOPERATOIRE ; DYSFONCTION COGNITIVE ; FRACTURE DU COL FEMORAL ; GERIATRIE:PERSONNE AGEE ; VIEILLISSEMENT Résumé :
En France, au 1er janvier 2020, la population française comptait environ 4082 millions de sujets de plus de 80 ans. Le vieillissement s'accompagne d'une réduction progressive des réserves fonctionnelles des principaux organes. À ceci se surajoutent les maladies chroniques, cardiovasculaires, respiratoires, neurologiques et ostéoarticulaires. La consultation d'anesthésie a pour principaux objectifs l'évaluation des réserves fonctionnelles, surtout cardiovasculaires et respiratoires, des fonctions cognitives et du degré d'autonomie du sujet âgé. Le choix de la technique d'anesthésie, anesthésie générale ou anesthésie locorégionale, dépend du patient et du type de chirurgie. L'installation sur la table d'opération doit éviter les lésions de compression et d'étirement des nerfs, des articulations et du revêtement cutané. Les modifications pharmacocinétiques et pharmacodynamiques justifient une diminution des doses de bolus et de perfusion continue et un espacement des réinjections des agents anesthésiques. Les complications postopératoires sont plus fréquentes et plus graves, dominées par les complications cardiovasculaires, respiratoires et neurologiques. La confusion mentale est une complication postopératoire fréquente. Le contrôle des facteurs déclenchants peut en limiter la fréquence de survenue. La dysfonction cognitive postopératoire (DCPO) est observée même après des actes mineurs. Elle régresse en quelques semaines, sauf après des actes majeurs (chirurgie cardiaque) où elle persiste de 3 à 6 mois. Le traitement de la douleur postopératoire, souvent insuffisamment prise en charge, nécessite une évaluation adaptée au sujet âgé et l'application de protocoles spécifiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76780 [article] Anesthésie du sujet âgé [texte imprimé] / J-P HABERER, Auteur . - 2015 . - 36-643-A-10.
Màj 2022
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-643-A-10
Catégories : ANESTHESIE ; COMPLICATION POSTOPERATOIRE ; DYSFONCTION COGNITIVE ; FRACTURE DU COL FEMORAL ; GERIATRIE:PERSONNE AGEE ; VIEILLISSEMENT Résumé :
En France, au 1er janvier 2020, la population française comptait environ 4082 millions de sujets de plus de 80 ans. Le vieillissement s'accompagne d'une réduction progressive des réserves fonctionnelles des principaux organes. À ceci se surajoutent les maladies chroniques, cardiovasculaires, respiratoires, neurologiques et ostéoarticulaires. La consultation d'anesthésie a pour principaux objectifs l'évaluation des réserves fonctionnelles, surtout cardiovasculaires et respiratoires, des fonctions cognitives et du degré d'autonomie du sujet âgé. Le choix de la technique d'anesthésie, anesthésie générale ou anesthésie locorégionale, dépend du patient et du type de chirurgie. L'installation sur la table d'opération doit éviter les lésions de compression et d'étirement des nerfs, des articulations et du revêtement cutané. Les modifications pharmacocinétiques et pharmacodynamiques justifient une diminution des doses de bolus et de perfusion continue et un espacement des réinjections des agents anesthésiques. Les complications postopératoires sont plus fréquentes et plus graves, dominées par les complications cardiovasculaires, respiratoires et neurologiques. La confusion mentale est une complication postopératoire fréquente. Le contrôle des facteurs déclenchants peut en limiter la fréquence de survenue. La dysfonction cognitive postopératoire (DCPO) est observée même après des actes mineurs. Elle régresse en quelques semaines, sauf après des actes majeurs (chirurgie cardiaque) où elle persiste de 3 à 6 mois. Le traitement de la douleur postopératoire, souvent insuffisamment prise en charge, nécessite une évaluation adaptée au sujet âgé et l'application de protocoles spécifiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76780 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie en chirurgie urologique de l'adulte / Thierry Ouattara in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-592-A-10
Titre : Anesthésie en chirurgie urologique de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Ouattara, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-592-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE UROLOGIQUE ; COELIOCHIRURGIE ; CYSTECTOMIE ; LITHOTRIPSIE ; NEPHRECTOMIE ; ROBOT Résumé :
La chirurgie urologique varie entre des gestes simples pouvant être réalisés en ambulatoire (cystoscopie) et des procédures chirurgicales à risque accru de complications périopératoires (cystectomie radicale, néphrectomie). Les progrès réalisés dans l'optimisation préopératoire des patients, la gestion peropératoire des pertes sanguines, le développement des techniques de cœliochirurgie avec utilisation d'un robot et la réhabilitation améliorée après chirurgie (RAC) permettent à des patients même atteints de maladies coexistantes de bénéficier de certaines interventions chirurgicales lourdes. L'hyperplasie bénigne de la prostate est l'une des pathologies les plus courantes chez l'homme de même que l'adénocarcinome de la prostate. La chirurgie urologique se pratique soit par nécessité sur des urines infectées justifiant une antibiothérapie curative, soit sur des urines dont la stérilité est confirmée par un examen cytobactériologique des urines (ECBU). La gestion périopératoire des traitements antithrombotiques permet de limiter les complications hémorragiques et thrombotiques. Le TURP syndrome est le plus souvent associé à la résection de prostate de grand volume et à l'utilisation de grandes quantités de liquide d'irrigation. Les nouvelles unités de lithotripsie utilisant des ondes de choc de faible intensité ne nécessitent habituellement qu'une sédation légère. Les procédures de résection transurétrale de la vessie (RTUV) sont le plus souvent effectuées sous anesthésie générale et blocage neuromusculaire pour éviter les perforations de la vessie favorisées par la stimulation du nerf obturateur. Le geste est également possible sous rachianesthésie avec blocage complémentaire du nerf obturateur. La cystectomie radicale assistée par robot serait associée à une réduction des complications. La technique laparoscopique manuellement assistée est souvent utilisée pour la néphrectomie partielle ou totale lorsque la tumeur est de petit volume. L'échocardiographie transœsophagienne (ETO) doit être utilisée pour tout patient atteint de thrombus de la veine cave.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76782 [article] Anesthésie en chirurgie urologique de l'adulte [texte imprimé] / Thierry Ouattara, Auteur . - 2015 . - 36-592-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-592-A-10
Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE UROLOGIQUE ; COELIOCHIRURGIE ; CYSTECTOMIE ; LITHOTRIPSIE ; NEPHRECTOMIE ; ROBOT Résumé :
La chirurgie urologique varie entre des gestes simples pouvant être réalisés en ambulatoire (cystoscopie) et des procédures chirurgicales à risque accru de complications périopératoires (cystectomie radicale, néphrectomie). Les progrès réalisés dans l'optimisation préopératoire des patients, la gestion peropératoire des pertes sanguines, le développement des techniques de cœliochirurgie avec utilisation d'un robot et la réhabilitation améliorée après chirurgie (RAC) permettent à des patients même atteints de maladies coexistantes de bénéficier de certaines interventions chirurgicales lourdes. L'hyperplasie bénigne de la prostate est l'une des pathologies les plus courantes chez l'homme de même que l'adénocarcinome de la prostate. La chirurgie urologique se pratique soit par nécessité sur des urines infectées justifiant une antibiothérapie curative, soit sur des urines dont la stérilité est confirmée par un examen cytobactériologique des urines (ECBU). La gestion périopératoire des traitements antithrombotiques permet de limiter les complications hémorragiques et thrombotiques. Le TURP syndrome est le plus souvent associé à la résection de prostate de grand volume et à l'utilisation de grandes quantités de liquide d'irrigation. Les nouvelles unités de lithotripsie utilisant des ondes de choc de faible intensité ne nécessitent habituellement qu'une sédation légère. Les procédures de résection transurétrale de la vessie (RTUV) sont le plus souvent effectuées sous anesthésie générale et blocage neuromusculaire pour éviter les perforations de la vessie favorisées par la stimulation du nerf obturateur. Le geste est également possible sous rachianesthésie avec blocage complémentaire du nerf obturateur. La cystectomie radicale assistée par robot serait associée à une réduction des complications. La technique laparoscopique manuellement assistée est souvent utilisée pour la néphrectomie partielle ou totale lorsque la tumeur est de petit volume. L'échocardiographie transœsophagienne (ETO) doit être utilisée pour tout patient atteint de thrombus de la veine cave.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76782 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie et bronchopneumopathie chronique obstructive / Bertrand Dureuil in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-653-A-10
Titre : Anesthésie et bronchopneumopathie chronique obstructive Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Dureuil, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-653-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ARRET DU TABAC ; BPCO (Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive) ; DYSPNEE ; EVALUATION CLINIQUE ; KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE ; VNI (Ventilation non invasive) Résumé :
L'anesthésie de l'insuffisant respiratoire chronique se confond avec celle du patient porteur d'une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) à un stade évolué de la maladie. Si la morbidité périopératoire liée à la BPCO sévère a considérablement diminué ces dernières années, il reste à risque accru de complications respiratoires mais également cardiovasculaires périopératoires. La BPCO est souvent méconnue au moins aux stades initiaux. La prise en charge précoce comprenant l'éviction des facteurs favorisant l'inflammation bronchopulmonaire et la mise en place d'un traitement bronchodilatateur au long cours ont un effet bénéfique sur l'évolution de la BPCO. Dans le cadre de la stratification préopératoire du risque, l'évaluation clinique occupe une place centrale par le recueil des éléments fonctionnels. La préparation doit associer l'arrêt du tabagisme et la mise en place d'un traitement bronchodilatateur associée quand cela est nécessaire à une kinésithérapie respiratoire. La conduite de l'anesthésie ne pose pas de problème spécifique majeur. Le choix se portera vers l'anesthésie locorégionale chaque fois que cela est possible, mais son avantage par rapport à l'anesthésie générale n'est pas bien documenté. Chez le patient porteur d'une obstruction sévère, la ventilation mécanique devra limiter autant que possible l'hyperinflation pulmonaire. Les traitements et la kinésithérapie devront être repris en postopératoire, associés à une analgésie de qualité. La ventilation non invasive associant pression expiratoire positive et aide inspiratoire joue un rôle désormais incontournable dans la prévention et le traitement de la décompensation respiratoire postopératoire des patients insuffisants respiratoires chroniques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76784 [article] Anesthésie et bronchopneumopathie chronique obstructive [texte imprimé] / Bertrand Dureuil, Auteur . - 2015 . - 36-653-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-653-A-10
Catégories : ARRET DU TABAC ; BPCO (Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive) ; DYSPNEE ; EVALUATION CLINIQUE ; KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE ; VNI (Ventilation non invasive) Résumé :
L'anesthésie de l'insuffisant respiratoire chronique se confond avec celle du patient porteur d'une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) à un stade évolué de la maladie. Si la morbidité périopératoire liée à la BPCO sévère a considérablement diminué ces dernières années, il reste à risque accru de complications respiratoires mais également cardiovasculaires périopératoires. La BPCO est souvent méconnue au moins aux stades initiaux. La prise en charge précoce comprenant l'éviction des facteurs favorisant l'inflammation bronchopulmonaire et la mise en place d'un traitement bronchodilatateur au long cours ont un effet bénéfique sur l'évolution de la BPCO. Dans le cadre de la stratification préopératoire du risque, l'évaluation clinique occupe une place centrale par le recueil des éléments fonctionnels. La préparation doit associer l'arrêt du tabagisme et la mise en place d'un traitement bronchodilatateur associée quand cela est nécessaire à une kinésithérapie respiratoire. La conduite de l'anesthésie ne pose pas de problème spécifique majeur. Le choix se portera vers l'anesthésie locorégionale chaque fois que cela est possible, mais son avantage par rapport à l'anesthésie générale n'est pas bien documenté. Chez le patient porteur d'une obstruction sévère, la ventilation mécanique devra limiter autant que possible l'hyperinflation pulmonaire. Les traitements et la kinésithérapie devront être repris en postopératoire, associés à une analgésie de qualité. La ventilation non invasive associant pression expiratoire positive et aide inspiratoire joue un rôle désormais incontournable dans la prévention et le traitement de la décompensation respiratoire postopératoire des patients insuffisants respiratoires chroniques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76784 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie pour césarienne / Agnes Le Gouez in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-595-D-10
Titre : Anesthésie pour césarienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Agnes Le Gouez, Auteur ; Marie-Pierre BONNET, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-595-D-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANALGESIE MULTIMODALE ; ANESTHESIE ; CESARIENNE ; REHABILITATION Résumé :
L'accouchement par césarienne est associé à une morbidité et à une mortalité maternelles et fœtales qui peuvent parfois impliquer la prise en charge anesthésique. C'est pourquoi les spécificités de cette prise en charge doivent être connues des cliniciens. La stratégie anesthésique dépend évidemment des caractéristiques maternelles et obstétricales, mais majoritairement du degré d'urgence de la césarienne. L'évaluation préopératoire doit analyser le risque d'intubation difficile, plus fréquent dans cette population, ainsi que le risque hémorragique ; il s'agit également de planifier la technique anesthésique. Une carte de groupe ainsi qu'une recherche d'agglutinines irrégulières doivent être disponibles avant l'intervention. Une antibioprophylaxie est systématiquement administrée, ainsi qu'une prévention des nausées et vomissements. La rachianesthésie constitue la technique de référence pour la césarienne programmée, les césariennes en cours de travail étant le plus souvent réalisées avec une anesthésie péridurale. L'hypotension artérielle est prévenue par la mise en décubitus latéral gauche et un coremplissage par cristalloïdes, et traitée activement par l'utilisation de vasopresseurs (phényléphrine en première intention). L'anesthésie générale avec une induction séquence rapide est réservée aux contre-indications ou refus de l'anesthésie périmédullaire, aux urgences obstétricales immédiates, et aux situations hémodynamiques précaires ou à risque hémorragique élevé. La prévention de l'hémorragie du post-partum repose sur l'administration systématique d'ocytocine ou de carbétocine par voie intraveineuse. La thromboprophylaxie par des moyens mécaniques et/ou pharmacologiques est bien codifiée en fonction de la présence de facteurs de risque. La prise en charge de la douleur postopératoire est primordiale et repose sur l'administration périmédullaire de morphine, associée à des antalgiques oraux. Les mesures de réhabilitation après césarienne comportent principalement une analgésie multimodale efficace, une reprise rapide de l'alimentation, et une ablation précoce de la sonde vésicale et de la perfusion.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76800 [article] Anesthésie pour césarienne [texte imprimé] / Agnes Le Gouez, Auteur ; Marie-Pierre BONNET, Auteur . - 2015 . - 36-595-D-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-595-D-10
Catégories : ANALGESIE MULTIMODALE ; ANESTHESIE ; CESARIENNE ; REHABILITATION Résumé :
L'accouchement par césarienne est associé à une morbidité et à une mortalité maternelles et fœtales qui peuvent parfois impliquer la prise en charge anesthésique. C'est pourquoi les spécificités de cette prise en charge doivent être connues des cliniciens. La stratégie anesthésique dépend évidemment des caractéristiques maternelles et obstétricales, mais majoritairement du degré d'urgence de la césarienne. L'évaluation préopératoire doit analyser le risque d'intubation difficile, plus fréquent dans cette population, ainsi que le risque hémorragique ; il s'agit également de planifier la technique anesthésique. Une carte de groupe ainsi qu'une recherche d'agglutinines irrégulières doivent être disponibles avant l'intervention. Une antibioprophylaxie est systématiquement administrée, ainsi qu'une prévention des nausées et vomissements. La rachianesthésie constitue la technique de référence pour la césarienne programmée, les césariennes en cours de travail étant le plus souvent réalisées avec une anesthésie péridurale. L'hypotension artérielle est prévenue par la mise en décubitus latéral gauche et un coremplissage par cristalloïdes, et traitée activement par l'utilisation de vasopresseurs (phényléphrine en première intention). L'anesthésie générale avec une induction séquence rapide est réservée aux contre-indications ou refus de l'anesthésie périmédullaire, aux urgences obstétricales immédiates, et aux situations hémodynamiques précaires ou à risque hémorragique élevé. La prévention de l'hémorragie du post-partum repose sur l'administration systématique d'ocytocine ou de carbétocine par voie intraveineuse. La thromboprophylaxie par des moyens mécaniques et/ou pharmacologiques est bien codifiée en fonction de la présence de facteurs de risque. La prise en charge de la douleur postopératoire est primordiale et repose sur l'administration périmédullaire de morphine, associée à des antalgiques oraux. Les mesures de réhabilitation après césarienne comportent principalement une analgésie multimodale efficace, une reprise rapide de l'alimentation, et une ablation précoce de la sonde vésicale et de la perfusion.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76800 Exemplaires
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DisponibleInsuffisance cardiaque : physiopathologie et conséquences sur la prise en charge anesthésique / Fr Le Corre in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-652-G-10
Titre : Insuffisance cardiaque : physiopathologie et conséquences sur la prise en charge anesthésique Type de document : texte imprimé Auteurs : Fr Le Corre, Auteur ; J MARTY, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-652-G-10 Langues : Français (fre) Catégories : COMPLICATION ; DYSFONCTION DIASTOLIQUE ; DYSFONCTION VENTRICULAIRE ; EVALUATION ; INSUFFISANCE CARDIAQUE ; MONITORAGE ; PRE-OPERATOIRE ; SURVEILLANCE POSTOPERATOIRE Résumé :
Les progrès de l'anesthésie et de la chirurgie associés à l'augmentation de l'espérance de vie ont permis la prise en charge de patients ayant des maladies cardiovasculaires sévères, dont une partie non négligeable est la conséquence d'insuffisance coronarienne (prise en charge spécifique traitée dans un autre article), mais aussi de l'hypertension artérielle, de l'âge ou d'autres pathologies, avec comme effet l'insuffisance cardiaque. L'évaluation préopératoire doit prendre en compte l'âge et le bénéfice attendu d'explorations complémentaires parfois invasives. La surveillance per- et postopératoire peut bénéficier de techniques biologiques ou échographiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78719 [article] Insuffisance cardiaque : physiopathologie et conséquences sur la prise en charge anesthésique [texte imprimé] / Fr Le Corre, Auteur ; J MARTY, Auteur . - 2015 . - 36-652-G-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-652-G-10
Catégories : COMPLICATION ; DYSFONCTION DIASTOLIQUE ; DYSFONCTION VENTRICULAIRE ; EVALUATION ; INSUFFISANCE CARDIAQUE ; MONITORAGE ; PRE-OPERATOIRE ; SURVEILLANCE POSTOPERATOIRE Résumé :
Les progrès de l'anesthésie et de la chirurgie associés à l'augmentation de l'espérance de vie ont permis la prise en charge de patients ayant des maladies cardiovasculaires sévères, dont une partie non négligeable est la conséquence d'insuffisance coronarienne (prise en charge spécifique traitée dans un autre article), mais aussi de l'hypertension artérielle, de l'âge ou d'autres pathologies, avec comme effet l'insuffisance cardiaque. L'évaluation préopératoire doit prendre en compte l'âge et le bénéfice attendu d'explorations complémentaires parfois invasives. La surveillance per- et postopératoire peut bénéficier de techniques biologiques ou échographiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78719 Exemplaires
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DisponibleCœur et anesthésie : interférences avec les médicaments cardiovasculaires in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-652-G-50
Titre : Cœur et anesthésie : interférences avec les médicaments cardiovasculaires Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-652-G-50 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; CARDIOVASCULAIRE ; CORONAIRE Résumé :
La qualité de la gestion des médicaments cardiovasculaires pendant la période opératoire conditionne le risque cardiovasculaire postopératoire. La physiopathologie des complications postopératoires qui menacent l'opéré aux réserves cardiaques ou coronaires limitées rend compte de l'intérêt des thérapeutiques cardiovasculaires qui limitent les effets délétères sur le myocarde des contraintes circulatoires de la période postopératoire. L'administration per- et postopératoire raisonnée des médicaments cardiovasculaires doit tenir compte des effets pharmacologiques de ces médicaments qui assurent la prévention des complications cardiovasculaires postopératoires et des conditions dans lesquelles ils augmentent la vulnérabilité de l'opéré face aux contraintes circulatoires périopératoires. La poursuite ou l'arrêt de ces traitements s'intègre dans une stratégie moderne et adaptée de prévention efficace des complications circulatoires postopératoires qui altèrent l'espérance de vie des opérés. Les interférences entre les contraintes circulatoires et hémorragiques de la période opératoire et les traitements cardiovasculaires de l'opéré (statines, anticoagulants oraux, antiplaquettaires, antihypertenseurs, etc.) ont fait l'objet de recommandations précises qui doivent être prises en compte pour assurer une gestion optimale de l'ensemble de ces thérapeutiques tout au long de la période opératoire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84174 [article] Cœur et anesthésie : interférences avec les médicaments cardiovasculaires [texte imprimé] . - 2015 . - 36-652-G-50.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-652-G-50
Catégories : ANESTHESIE ; CARDIOVASCULAIRE ; CORONAIRE Résumé :
La qualité de la gestion des médicaments cardiovasculaires pendant la période opératoire conditionne le risque cardiovasculaire postopératoire. La physiopathologie des complications postopératoires qui menacent l'opéré aux réserves cardiaques ou coronaires limitées rend compte de l'intérêt des thérapeutiques cardiovasculaires qui limitent les effets délétères sur le myocarde des contraintes circulatoires de la période postopératoire. L'administration per- et postopératoire raisonnée des médicaments cardiovasculaires doit tenir compte des effets pharmacologiques de ces médicaments qui assurent la prévention des complications cardiovasculaires postopératoires et des conditions dans lesquelles ils augmentent la vulnérabilité de l'opéré face aux contraintes circulatoires périopératoires. La poursuite ou l'arrêt de ces traitements s'intègre dans une stratégie moderne et adaptée de prévention efficace des complications circulatoires postopératoires qui altèrent l'espérance de vie des opérés. Les interférences entre les contraintes circulatoires et hémorragiques de la période opératoire et les traitements cardiovasculaires de l'opéré (statines, anticoagulants oraux, antiplaquettaires, antihypertenseurs, etc.) ont fait l'objet de recommandations précises qui doivent être prises en compte pour assurer une gestion optimale de l'ensemble de ces thérapeutiques tout au long de la période opératoire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84174 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie-réanimation dans la chirurgie des parathyroïdes in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-590-A-50
Titre : Anesthésie-réanimation dans la chirurgie des parathyroïdes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-590-A-50 Langues : Français (fre) Résumé :
La chirurgie des parathyroïdes s'adresse dans la grande majorité des cas aux hyperparathyroïdies. Grâce aux avancées dans l'imagerie et à la généralisation des dosages périopératoires de parathormone intacte, l'accès chirurgical dans les hyperparathyroïdies primaires est de plus en plus souvent micro-invasif, grevé d'une faible morbidité et autorisant une prise en charge ambulatoire. A contrario, le risque opératoire en cas d'hypercalcémie sévère ou dans les hyperparathyroïdies secondaires et tertiaires est élevé, dépendant de l'existence de troubles du rythme ou de la conduction cardiaque sous-tendus par l'hypercalcémie ou de la gravité des comorbidités, en particulier la maladie rénale chronique et peut mettre en jeu le pronostic vital.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86697 [article] Anesthésie-réanimation dans la chirurgie des parathyroïdes [texte imprimé] . - 2015 . - 36-590-A-50.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-590-A-50
Résumé :
La chirurgie des parathyroïdes s'adresse dans la grande majorité des cas aux hyperparathyroïdies. Grâce aux avancées dans l'imagerie et à la généralisation des dosages périopératoires de parathormone intacte, l'accès chirurgical dans les hyperparathyroïdies primaires est de plus en plus souvent micro-invasif, grevé d'une faible morbidité et autorisant une prise en charge ambulatoire. A contrario, le risque opératoire en cas d'hypercalcémie sévère ou dans les hyperparathyroïdies secondaires et tertiaires est élevé, dépendant de l'existence de troubles du rythme ou de la conduction cardiaque sous-tendus par l'hypercalcémie ou de la gravité des comorbidités, en particulier la maladie rénale chronique et peut mettre en jeu le pronostic vital.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86697 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePrise en charge anesthésiologique lors de chirurgie surrénalienne in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-590-A-70
Titre : Prise en charge anesthésiologique lors de chirurgie surrénalienne Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-590-A-70 Langues : Français (fre) Catégories : PATHOLOGIE SURRENALE Résumé :
Le nombre de lésions surrénaliennes diagnostiquées et réséquées a continuellement augmenté au cours des dernières décennies. Parallèlement, l'amélioration des moyens diagnostiques et thérapeutiques a permis de diminuer la mortalité associée à ce type de pathologie. Depuis les années 2000, l'abord cœlioscopique s'est imposé comme la voie de choix. Sur le plan anesthésiologique, le principal défi de la chirurgie surrénalienne est lié aux tumeurs sécrétantes, associées à un syndrome endocrinien. En effet, ces tumeurs peuvent entraîner une libération massive d'hormones, provoquant des modifications hémodynamiques, métaboliques et électrolytiques durant la période périopératoire. Cet article décrit la préparation préopératoire ainsi que la prise en charge opératoire et postopératoire des tumeurs sécrétantes et non sécrétantes, en se concentrant sur le syndrome de Cushing, le syndrome de Conn et le phéochromocytome.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86698 [article] Prise en charge anesthésiologique lors de chirurgie surrénalienne [texte imprimé] . - 2015 . - 36-590-A-70.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-590-A-70
Catégories : PATHOLOGIE SURRENALE Résumé :
Le nombre de lésions surrénaliennes diagnostiquées et réséquées a continuellement augmenté au cours des dernières décennies. Parallèlement, l'amélioration des moyens diagnostiques et thérapeutiques a permis de diminuer la mortalité associée à ce type de pathologie. Depuis les années 2000, l'abord cœlioscopique s'est imposé comme la voie de choix. Sur le plan anesthésiologique, le principal défi de la chirurgie surrénalienne est lié aux tumeurs sécrétantes, associées à un syndrome endocrinien. En effet, ces tumeurs peuvent entraîner une libération massive d'hormones, provoquant des modifications hémodynamiques, métaboliques et électrolytiques durant la période périopératoire. Cet article décrit la préparation préopératoire ainsi que la prise en charge opératoire et postopératoire des tumeurs sécrétantes et non sécrétantes, en se concentrant sur le syndrome de Cushing, le syndrome de Conn et le phéochromocytome.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86698 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePrise en charge du patient en chirurgie ambulatoire / Laurie TRAN in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-635-A-10
Titre : Prise en charge du patient en chirurgie ambulatoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurie TRAN, Auteur ; Alexandre Theissen, Auteur ; Marc Raucoules - Aime, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-635-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE:CHIRURGIE AMBULATOIRE ; DOULEUR ; DROIT:REGLEMENTATION ; FLUX ; NAUSEES ; VOMISSEMENT Résumé :
Alternative à l'hospitalisation dite traditionnelle qui nécessite un hébergement, la chirurgie ambulatoire permet au patient de regagner son domicile le jour même de son admission (actuellement le séjour doit être inférieur à 12 heures) après avoir bénéficié d'une intervention chirurgicale sur un plateau technique opératoire. La chirurgie ambulatoire a fait l'objet depuis 1992 d'une réglementation précise. Cette modalité de prise en charge est réputée bénéfique en termes d'organisation du système de soins, de qualité des soins, de satisfaction des patients, et elle est source de réduction du coût des soins. Les critères de sélection des patients pour la chirurgie ambulatoire sont d'ordre médical, psychosocial et environnemental. La plupart des pathologies ne contre-indiquent plus l'ambulatoire. Certaines doivent être cependant discutées selon la gravité de l'affection compte tenu des risques potentiels associés : obésité morbide, syndrome d'apnées du sommeil, coronaropathie évolutive, insuffisance rénale, etc. Il semble que l'influence de l'âge sur le devenir postopératoire ne soit significative que pour le grand âge. Le risque d'hospitalisation non prévue est plus important dans cette population ; il faut en tenir compte lors de la programmation de l'acte et en informer le patient et son entourage. La prémédication pharmacologique n'est pas systématique en chirurgie ambulatoire et est réservée aux patients anxieux. La meilleure des prémédications réside dans le dialogue lors de la consultation d'anesthésie et dans la qualité de l'accueil. Même si l'anesthésie locorégionale (ALR) est en plein essor, l'anesthésie générale représente près de 55 % des anesthésies pratiquées en ambulatoire. L'administration simultanée d'anesthésiques locaux (AL), en infiltration ou par bloc périphérique a pour objectif de réduire la morbimortalité péri-opératoire et le temps de passage en salle de surveillance post-interventionnelle (SSPI). Le bénéfice à l'utilisation des morphiniques au cours de l'anesthésie ambulatoire doit toujours être raisonné compte tenu des effets indésirables (nausées, vomissements, somnolence) pouvant retarder la sortie du patient. Si une sédation est réalisée par l'anesthésiste-réanimateur, elle doit être faite dans des conditions du décret n̊ 94-1050 du 5 décembre 1994 relatif aux conditions techniques de fonctionnement des établissements de santé en ce qui concerne la pratique de l'anesthésie. L'ALR, bien qu'encore sous-utilisée, présente de nombreux avantages en chirurgie ambulatoire. Elle permet la réduction des nausées et vomissements postopératoires (NVPO), une réduction des coûts, une analgésie postopératoire efficace. La mise en place d'un cathéter au niveau de la plaie opératoire, d'un plexus, d'un trajet nerveux ou d'une articulation réduit la douleur postopératoire. Pour l'aptitude à la rue, le score le plus utilisé actuellement est le Post-anaesthesia Discharge Scoring System (PADSS) ou le Modified PADSS associé dans la pratique française aux recommandations de Korttila. La nécessité de boire et d'uriner avant la sortie n'est pas indispensable en dehors de chirurgie ou de patients à risque. Le taux de complications en chirurgie ambulatoire est très faible. Les hospitalisations non programmées se situent entre 0,26 et 2,6 % selon les équipes et selon la chirurgie pratiquée. C'est en gynécologie, en particulier après cœlioscopie, et en urologie que l'on trouve la plus forte proportion d'admissions non programmées. Il s'agit essentiellement de saignements ou de douleurs non gérables à domicile.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91282 [article] Prise en charge du patient en chirurgie ambulatoire [texte imprimé] / Laurie TRAN, Auteur ; Alexandre Theissen, Auteur ; Marc Raucoules - Aime, Auteur . - 2015 . - 36-635-A-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE:CHIRURGIE AMBULATOIRE ; DOULEUR ; DROIT:REGLEMENTATION ; FLUX ; NAUSEES ; VOMISSEMENT Résumé :
Alternative à l'hospitalisation dite traditionnelle qui nécessite un hébergement, la chirurgie ambulatoire permet au patient de regagner son domicile le jour même de son admission (actuellement le séjour doit être inférieur à 12 heures) après avoir bénéficié d'une intervention chirurgicale sur un plateau technique opératoire. La chirurgie ambulatoire a fait l'objet depuis 1992 d'une réglementation précise. Cette modalité de prise en charge est réputée bénéfique en termes d'organisation du système de soins, de qualité des soins, de satisfaction des patients, et elle est source de réduction du coût des soins. Les critères de sélection des patients pour la chirurgie ambulatoire sont d'ordre médical, psychosocial et environnemental. La plupart des pathologies ne contre-indiquent plus l'ambulatoire. Certaines doivent être cependant discutées selon la gravité de l'affection compte tenu des risques potentiels associés : obésité morbide, syndrome d'apnées du sommeil, coronaropathie évolutive, insuffisance rénale, etc. Il semble que l'influence de l'âge sur le devenir postopératoire ne soit significative que pour le grand âge. Le risque d'hospitalisation non prévue est plus important dans cette population ; il faut en tenir compte lors de la programmation de l'acte et en informer le patient et son entourage. La prémédication pharmacologique n'est pas systématique en chirurgie ambulatoire et est réservée aux patients anxieux. La meilleure des prémédications réside dans le dialogue lors de la consultation d'anesthésie et dans la qualité de l'accueil. Même si l'anesthésie locorégionale (ALR) est en plein essor, l'anesthésie générale représente près de 55 % des anesthésies pratiquées en ambulatoire. L'administration simultanée d'anesthésiques locaux (AL), en infiltration ou par bloc périphérique a pour objectif de réduire la morbimortalité péri-opératoire et le temps de passage en salle de surveillance post-interventionnelle (SSPI). Le bénéfice à l'utilisation des morphiniques au cours de l'anesthésie ambulatoire doit toujours être raisonné compte tenu des effets indésirables (nausées, vomissements, somnolence) pouvant retarder la sortie du patient. Si une sédation est réalisée par l'anesthésiste-réanimateur, elle doit être faite dans des conditions du décret n̊ 94-1050 du 5 décembre 1994 relatif aux conditions techniques de fonctionnement des établissements de santé en ce qui concerne la pratique de l'anesthésie. L'ALR, bien qu'encore sous-utilisée, présente de nombreux avantages en chirurgie ambulatoire. Elle permet la réduction des nausées et vomissements postopératoires (NVPO), une réduction des coûts, une analgésie postopératoire efficace. La mise en place d'un cathéter au niveau de la plaie opératoire, d'un plexus, d'un trajet nerveux ou d'une articulation réduit la douleur postopératoire. Pour l'aptitude à la rue, le score le plus utilisé actuellement est le Post-anaesthesia Discharge Scoring System (PADSS) ou le Modified PADSS associé dans la pratique française aux recommandations de Korttila. La nécessité de boire et d'uriner avant la sortie n'est pas indispensable en dehors de chirurgie ou de patients à risque. Le taux de complications en chirurgie ambulatoire est très faible. Les hospitalisations non programmées se situent entre 0,26 et 2,6 % selon les équipes et selon la chirurgie pratiquée. C'est en gynécologie, en particulier après cœlioscopie, et en urologie que l'on trouve la plus forte proportion d'admissions non programmées. Il s'agit essentiellement de saignements ou de douleurs non gérables à domicile.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91282 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie-réanimation pour chirurgie carotidienne / P ABRAHAM in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-586-A-10
Titre : Anesthésie-réanimation pour chirurgie carotidienne Type de document : texte imprimé Auteurs : P ABRAHAM, Auteur ; M-J LICKER, Auteur ; Jean-Luc Fellahi, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-586-A-10 Langues : Français (fre) Résumé :
Près de 150 000 patients sont hospitalisés chaque année en France pour maladie cérébrovasculaire. L'accident vasculaire cérébral (AVC) représente la première cause de mortalité chez les femmes et la troisième chez les hommes. Il est d'origine ischémique dans 85 % des cas et lié à une pathologie vasculaire des troncs supra-aortiques dans 20 % des cas, tous âges confondus. Les sténoses ou occlusions de l'artère carotide interne rendent compte d'environ 8 % des AVC. Dans ce contexte, l'endartériectomie carotidienne est l'une des interventions vasculaires les plus pratiquées. Chez certains patients convenablement sélectionnés, l'endartériectomie carotidienne pourrait réduire le risque relatif d'AVC de près de 50 % par rapport au seul traitement médical. Sa réalisation comporte un double défi : celui lié à la particularité du geste chirurgical nécessitant un clampage carotidien et les conséquences qui en découlent, et celui lié au terrain souvent polyvasculaire des patients. Le double enjeu de la prise en charge périopératoire consiste d'une part à apprécier la balance bénéfices-risques permettant de sélectionner les patients candidats à une chirurgie elle-même pourvoyeuse d'une morbimortalité neurologique et cardiovasculaire significative et d'autre part à optimiser les conditions de transport d'oxygène et protéger le cerveau et le cœur pendant la phase interventionnelle. L'anesthésie locorégionale (ALR) a pris une place grandissante dans cette indication chirurgicale traditionnellement réalisée sous anesthésie générale. Aujourd'hui encore, le choix de la technique anesthésique optimale reste dépendant des centres et des équipes sans que les données récentes de la littérature ne permettent de trancher. L'ALR présente cependant l'avantage d'un monitorage cérébral simple et continu. Les complications postopératoires doivent être détectées précocement afin de bénéficier d'un traitement urgent.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93090 [article] Anesthésie-réanimation pour chirurgie carotidienne [texte imprimé] / P ABRAHAM, Auteur ; M-J LICKER, Auteur ; Jean-Luc Fellahi, Auteur . - 2015 . - 36-586-A-10.
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Résumé :
Près de 150 000 patients sont hospitalisés chaque année en France pour maladie cérébrovasculaire. L'accident vasculaire cérébral (AVC) représente la première cause de mortalité chez les femmes et la troisième chez les hommes. Il est d'origine ischémique dans 85 % des cas et lié à une pathologie vasculaire des troncs supra-aortiques dans 20 % des cas, tous âges confondus. Les sténoses ou occlusions de l'artère carotide interne rendent compte d'environ 8 % des AVC. Dans ce contexte, l'endartériectomie carotidienne est l'une des interventions vasculaires les plus pratiquées. Chez certains patients convenablement sélectionnés, l'endartériectomie carotidienne pourrait réduire le risque relatif d'AVC de près de 50 % par rapport au seul traitement médical. Sa réalisation comporte un double défi : celui lié à la particularité du geste chirurgical nécessitant un clampage carotidien et les conséquences qui en découlent, et celui lié au terrain souvent polyvasculaire des patients. Le double enjeu de la prise en charge périopératoire consiste d'une part à apprécier la balance bénéfices-risques permettant de sélectionner les patients candidats à une chirurgie elle-même pourvoyeuse d'une morbimortalité neurologique et cardiovasculaire significative et d'autre part à optimiser les conditions de transport d'oxygène et protéger le cerveau et le cœur pendant la phase interventionnelle. L'anesthésie locorégionale (ALR) a pris une place grandissante dans cette indication chirurgicale traditionnellement réalisée sous anesthésie générale. Aujourd'hui encore, le choix de la technique anesthésique optimale reste dépendant des centres et des équipes sans que les données récentes de la littérature ne permettent de trancher. L'ALR présente cependant l'avantage d'un monitorage cérébral simple et continu. Les complications postopératoires doivent être détectées précocement afin de bénéficier d'un traitement urgent.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93090 Exemplaires
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DisponibleAnesthésie et myopathies / Florence Julien-Marsollier in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-657-D-10
Titre : Anesthésie et myopathies Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Julien-Marsollier, Auteur ; Béatrice Bruneau, Auteur ; Souhayl Dahmani, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-657-D-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; BILAN PREOPERATOIRE ; FONCTION MOTRICE ; HYPOTHERMIE ; MYOPATHIE ; RHABDOMYOLYSE Résumé :
Les myopathies appartiennent à la famille des maladies neuromusculaires avec une atteinte du muscle strié squelettique et plus précisément de la fibre musculaire, soit dans sa structure, soit dans son développement. On distingue deux grandes catégories de myopathies : les myopathies génétiques et les myopathies acquises. Les myopathies génétiques regroupent les dystrophies musculaires (dont celle de Duchenne et de Becker), les myopathies congénitales (cores, bâtonnets, minicores, myotubulaires), les canalopathies (myotonies congénitales, etc.), les myopathies métaboliques (cytopathies mitochondriales, glycogénoses), les myopathies distales, les myopathies myofibrillaires, les dermatopolymyosites et les polymyosites. Les myopathies acquises peuvent être d'origine endocrinienne, toxique ou inflammatoire. Quelles que soient leur expression clinique et leur étiologie, les myopathies présentent potentiellement des risques périanesthésiques qui doivent être recherchés et évalués dès la consultation d'anesthésie. Les recommandations pour la prise en charge anesthésique des patients myopathes ou suspects de myopathie ont pour but de prévenir des complications techniques comme des difficultés d'intubation et d'éviter la survenue des complications per- et postopératoires telles qu'une rhabdomyolyse aiguë, une hyperthermie maligne de l'anesthésie, une insuffisance cardiaque et respiratoire, voire un arrêt cardiaque. Les dépistages familiaux et les diagnostics précoces permettent aujourd'hui d'optimiser la prise en charge périopératoire de ces patients. Une connaissance physiopathologique de l'affection du patient permet d'adapter la conduite anesthésique. Malgré la grande diversité des myopathies, l'aide de publications et des sites internet des sociétés savantes sur les maladies rares vont aider à la connaissance physiopathologique de ces affections, et donc à une meilleure prise en charge anesthésique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94296 [article] Anesthésie et myopathies [texte imprimé] / Florence Julien-Marsollier, Auteur ; Béatrice Bruneau, Auteur ; Souhayl Dahmani, Auteur . - 2015 . - 36-657-D-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ANESTHESIE ; BILAN PREOPERATOIRE ; FONCTION MOTRICE ; HYPOTHERMIE ; MYOPATHIE ; RHABDOMYOLYSE Résumé :
Les myopathies appartiennent à la famille des maladies neuromusculaires avec une atteinte du muscle strié squelettique et plus précisément de la fibre musculaire, soit dans sa structure, soit dans son développement. On distingue deux grandes catégories de myopathies : les myopathies génétiques et les myopathies acquises. Les myopathies génétiques regroupent les dystrophies musculaires (dont celle de Duchenne et de Becker), les myopathies congénitales (cores, bâtonnets, minicores, myotubulaires), les canalopathies (myotonies congénitales, etc.), les myopathies métaboliques (cytopathies mitochondriales, glycogénoses), les myopathies distales, les myopathies myofibrillaires, les dermatopolymyosites et les polymyosites. Les myopathies acquises peuvent être d'origine endocrinienne, toxique ou inflammatoire. Quelles que soient leur expression clinique et leur étiologie, les myopathies présentent potentiellement des risques périanesthésiques qui doivent être recherchés et évalués dès la consultation d'anesthésie. Les recommandations pour la prise en charge anesthésique des patients myopathes ou suspects de myopathie ont pour but de prévenir des complications techniques comme des difficultés d'intubation et d'éviter la survenue des complications per- et postopératoires telles qu'une rhabdomyolyse aiguë, une hyperthermie maligne de l'anesthésie, une insuffisance cardiaque et respiratoire, voire un arrêt cardiaque. Les dépistages familiaux et les diagnostics précoces permettent aujourd'hui d'optimiser la prise en charge périopératoire de ces patients. Une connaissance physiopathologique de l'affection du patient permet d'adapter la conduite anesthésique. Malgré la grande diversité des myopathies, l'aide de publications et des sites internet des sociétés savantes sur les maladies rares vont aider à la connaissance physiopathologique de ces affections, et donc à une meilleure prise en charge anesthésique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94296 Exemplaires
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DisponiblePrise en charge anesthésique du patient adulte obèse / B GOUBAUX in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-650-C-10
Titre : Prise en charge anesthésique du patient adulte obèse Type de document : texte imprimé Auteurs : B GOUBAUX, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-650-C-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; COMPLICATION PEROPERATOIRE ; OBESITE ; PHARMACOLOGIE:PHARMACOCINETIQUE Résumé :
L'obésité est un problème de santé publique qui touche toutes les tranches d'âge et toutes les professions à travers le monde. Elle est associée à de nombreux facteurs de comorbidité qui peuvent tous être des contre-indications potentielles à la chirurgie. Dans les premiers travaux publiés, la mortalité et la morbidité postopératoires étaient trois fois plus élevées chez l'obèse. Des travaux plus récents ne retrouvent pas de différence en termes de morbidité-mortalité entre les sujets obèses et ceux de poids normal, sans doute du fait d'une meilleure connaissance des modifications induites par l'obésité. Les atteintes respiratoires représentent la première cause de morbidité périopératoire chez les obèses. Les dépôts adipeux qui infiltrent les muscles intercostaux, le diaphragme et l'abdomen réduisent les compliances thoracique, pariétale et pulmonaire. La capacité résiduelle fonctionnelle est diminuée et cette baisse s'accentue avec le décubitus dorsal. Les conséquences pharmacocinétiques de l'obésité sont très variables d'un médicament à l'autre. Il paraît licite de privilégier l'utilisation des molécules les moins liposolubles et dont la durée d'action est la plus courte. La prise en charge ventilatoire peropératoire de ces patients comprend une ventilation protectrice, une pression expiratoire positive modérée et des manœuvres de recrutement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97759 [article] Prise en charge anesthésique du patient adulte obèse [texte imprimé] / B GOUBAUX, Auteur . - 2015 . - 36-650-C-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ANESTHESIE ; COMPLICATION PEROPERATOIRE ; OBESITE ; PHARMACOLOGIE:PHARMACOCINETIQUE Résumé :
L'obésité est un problème de santé publique qui touche toutes les tranches d'âge et toutes les professions à travers le monde. Elle est associée à de nombreux facteurs de comorbidité qui peuvent tous être des contre-indications potentielles à la chirurgie. Dans les premiers travaux publiés, la mortalité et la morbidité postopératoires étaient trois fois plus élevées chez l'obèse. Des travaux plus récents ne retrouvent pas de différence en termes de morbidité-mortalité entre les sujets obèses et ceux de poids normal, sans doute du fait d'une meilleure connaissance des modifications induites par l'obésité. Les atteintes respiratoires représentent la première cause de morbidité périopératoire chez les obèses. Les dépôts adipeux qui infiltrent les muscles intercostaux, le diaphragme et l'abdomen réduisent les compliances thoracique, pariétale et pulmonaire. La capacité résiduelle fonctionnelle est diminuée et cette baisse s'accentue avec le décubitus dorsal. Les conséquences pharmacocinétiques de l'obésité sont très variables d'un médicament à l'autre. Il paraît licite de privilégier l'utilisation des molécules les moins liposolubles et dont la durée d'action est la plus courte. La prise en charge ventilatoire peropératoire de ces patients comprend une ventilation protectrice, une pression expiratoire positive modérée et des manœuvres de recrutement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97759 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie du patient coronarien en chirurgie générale / C GUIDON in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-652-F-20
Titre : Anesthésie du patient coronarien en chirurgie générale Type de document : texte imprimé Auteurs : C GUIDON, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-652-F-20 Langues : Français (fre) Résumé :
La prise en charge anesthésique d'un patient coronarien pour chirurgie non cardiaque a fait l'objet de plusieurs recommandations et repose sur la physiopathologie de l'ischémie myocardique périopératoire. Cela impose, plus encore que chez tout autre patient, une évaluation préopératoire permettant de quantifier le risque lié au patient qui est confronté à celui lié à la chirurgie envisagée. La concertation avec le cardiologue et le chirurgien permet d'indiquer au mieux les examens complémentaires et d'adapter le traitement de la pathologie cardiaque en périopératoire. Les étapes per- et postopératoires doivent être marquées par le souci d'équilibre entre apports et besoins du myocarde. La stabilité hémodynamique et particulièrement le traitement précoce des épisodes hypotensifs, en s'appuyant sur le monitorage adapté, sont une composante importante de cet équilibre. Pour les malades dont le risque est élevé, une surveillance postopératoire continue et le dépistage précoce de l'ischémie myocardique sont les conditions d'une moindre morbidité et mortalité.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99034 [article] Anesthésie du patient coronarien en chirurgie générale [texte imprimé] / C GUIDON, Auteur . - 2015 . - 36-652-F-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-652-F-20
Résumé :
La prise en charge anesthésique d'un patient coronarien pour chirurgie non cardiaque a fait l'objet de plusieurs recommandations et repose sur la physiopathologie de l'ischémie myocardique périopératoire. Cela impose, plus encore que chez tout autre patient, une évaluation préopératoire permettant de quantifier le risque lié au patient qui est confronté à celui lié à la chirurgie envisagée. La concertation avec le cardiologue et le chirurgien permet d'indiquer au mieux les examens complémentaires et d'adapter le traitement de la pathologie cardiaque en périopératoire. Les étapes per- et postopératoires doivent être marquées par le souci d'équilibre entre apports et besoins du myocarde. La stabilité hémodynamique et particulièrement le traitement précoce des épisodes hypotensifs, en s'appuyant sur le monitorage adapté, sont une composante importante de cet équilibre. Pour les malades dont le risque est élevé, une surveillance postopératoire continue et le dépistage précoce de l'ischémie myocardique sont les conditions d'une moindre morbidité et mortalité.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99034 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie pour chirurgie du rachis / N BRUDER in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-605-A-15
Titre : Anesthésie pour chirurgie du rachis Type de document : texte imprimé Auteurs : N BRUDER, Auteur ; T GRAILLON, Auteur ; S FUENTES, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-605-A-15 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE ; COMPLICATION ; DOULEUR ; POSTURE ; RACHIS Résumé :
La chirurgie du rachis est de plus en plus fréquente et regroupe une grande variété de procédures, depuis des actes mineurs pouvant être réalisés en ambulatoire (hernie discale) jusqu'à des chirurgies majeures à risque hémorragique (chirurgie des métastases, ostéosynthèses). Dans tous les cas, les risques liés à la posture sont au premier plan. Cela nécessite lors de la consultation de dépister les limitations d'amplitude articulaires pouvant interférer avec la posture, notamment d'évaluer la rigidité ou la déformation du rachis cervical et les conditions d'intubation. La chirurgie mini-invasive (MIS) connaît un développement rapide permettant des stratégies de récupération améliorée après chirurgie (RAAC). Quel que soit l'acte, la douleur postopératoire est une constante et justifie une stratégie d'analgésie qui dépend du type de chirurgie et des patients, avec une fréquence élevée de patients douloureux chroniques difficiles à traiter. Les complications sont fréquentes après les chirurgies majeures. Pendant l'intervention, le risque de lésion nerveuse ou médullaire est toujours présent. Pour la chirurgie des scolioses, l'intérêt du monitorage des potentiels évoqués somesthésiques (PES) et moteurs (PEM) a été démontré. Il nécessite une habitude et une bonne coopération de l'équipe médico-chirurgicale pour en retirer un bénéfice. En postopératoire, la complication la plus redoutée est l'infection. L'infection des parties molles doit être dépistée et traitée rapidement pour éviter le passage à la spondylodiscite qui impose fréquemment une reprise chirurgicale et une antibiothérapie prolongée. La multiplicité des procédures, l'évolution rapide des techniques chirurgicales, le développement de la chirurgie sous scanner, les comorbidités fréquentes de patients souvent âgés nécessitent dans cette chirurgie une collaboration étroite entre les équipes d'anesthésie et de chirurgie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100655 [article] Anesthésie pour chirurgie du rachis [texte imprimé] / N BRUDER, Auteur ; T GRAILLON, Auteur ; S FUENTES, Auteur . - 2015 . - 36-605-A-15.
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Catégories : ANESTHESIE ; CHIRURGIE ; COMPLICATION ; DOULEUR ; POSTURE ; RACHIS Résumé :
La chirurgie du rachis est de plus en plus fréquente et regroupe une grande variété de procédures, depuis des actes mineurs pouvant être réalisés en ambulatoire (hernie discale) jusqu'à des chirurgies majeures à risque hémorragique (chirurgie des métastases, ostéosynthèses). Dans tous les cas, les risques liés à la posture sont au premier plan. Cela nécessite lors de la consultation de dépister les limitations d'amplitude articulaires pouvant interférer avec la posture, notamment d'évaluer la rigidité ou la déformation du rachis cervical et les conditions d'intubation. La chirurgie mini-invasive (MIS) connaît un développement rapide permettant des stratégies de récupération améliorée après chirurgie (RAAC). Quel que soit l'acte, la douleur postopératoire est une constante et justifie une stratégie d'analgésie qui dépend du type de chirurgie et des patients, avec une fréquence élevée de patients douloureux chroniques difficiles à traiter. Les complications sont fréquentes après les chirurgies majeures. Pendant l'intervention, le risque de lésion nerveuse ou médullaire est toujours présent. Pour la chirurgie des scolioses, l'intérêt du monitorage des potentiels évoqués somesthésiques (PES) et moteurs (PEM) a été démontré. Il nécessite une habitude et une bonne coopération de l'équipe médico-chirurgicale pour en retirer un bénéfice. En postopératoire, la complication la plus redoutée est l'infection. L'infection des parties molles doit être dépistée et traitée rapidement pour éviter le passage à la spondylodiscite qui impose fréquemment une reprise chirurgicale et une antibiothérapie prolongée. La multiplicité des procédures, l'évolution rapide des techniques chirurgicales, le développement de la chirurgie sous scanner, les comorbidités fréquentes de patients souvent âgés nécessitent dans cette chirurgie une collaboration étroite entre les équipes d'anesthésie et de chirurgie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100655 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAnesthésie en chirurgie ophtalmologique in EMC Anesthésie Réanimation, Tome 3 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-620-E-30
Titre : Anesthésie en chirurgie ophtalmologique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 36-620-E-30 Langues : Français (fre) Catégories : ANESTHESIE ; ANESTHESIE GENERALE ; ANESTHESIE PERIBULBAIRE ; ANESTHESIE SOUS-TENONIENNE ; ANTIAGREGANT ; ANTICOAGULANT ; COLLYRE ; OPHTALMOLOGIE ; REFLEXE OCULOCARDIAQUE Résumé : L'anesthésie en chirurgie ophtalmologique nécessite de maîtriser l'ensemble des palettes de la profession, anesthésie des enfants et des personnes très âgées, anesthésie générale et anesthésie locorégionale. Elle nécessite aussi une connaissance de l'anatomie et de la physiologie oculaire pour une prise en charge optimale des patients. L'analgésie locorégionale réalisée par l'anesthésiste-réanimateur ou l'opérateur doit être proposée à tous les patients car la chirurgie de l'œil peut être responsable de douleurs postopératoires importantes, et parfois même de douleurs chroniques qu'il ne faut pas négliger. Enfin, la spécificité des interférences médicaments-chirurgie ophtalmique (antibiotiques, collyres, anticoagulants, bêtabloquants, etc.) doit être prise en compte pour chaque patient. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105094 [article] Anesthésie en chirurgie ophtalmologique [texte imprimé] . - 2015 . - 36-620-E-30.
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in EMC Anesthésie Réanimation > Tome 3 (Mise à jour régulière) . - 36-620-E-30
Catégories : ANESTHESIE ; ANESTHESIE GENERALE ; ANESTHESIE PERIBULBAIRE ; ANESTHESIE SOUS-TENONIENNE ; ANTIAGREGANT ; ANTICOAGULANT ; COLLYRE ; OPHTALMOLOGIE ; REFLEXE OCULOCARDIAQUE Résumé : L'anesthésie en chirurgie ophtalmologique nécessite de maîtriser l'ensemble des palettes de la profession, anesthésie des enfants et des personnes très âgées, anesthésie générale et anesthésie locorégionale. Elle nécessite aussi une connaissance de l'anatomie et de la physiologie oculaire pour une prise en charge optimale des patients. L'analgésie locorégionale réalisée par l'anesthésiste-réanimateur ou l'opérateur doit être proposée à tous les patients car la chirurgie de l'œil peut être responsable de douleurs postopératoires importantes, et parfois même de douleurs chroniques qu'il ne faut pas négliger. Enfin, la spécificité des interférences médicaments-chirurgie ophtalmique (antibiotiques, collyres, anticoagulants, bêtabloquants, etc.) doit être prise en compte pour chaque patient. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105094 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
Disponible
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Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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EMC | Périodique | I.F.P.S. (Tilleroyes) | Archives (à demander aux documentalistes) Disponible |