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EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses . 6Mention de date : Mise à jour régulièreParu le : 25/03/2015 |
Dépouillements
Diagnostic d'une hypotonie chronique du nouveau-né et du nourrisson / Marine Tardieu in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-100-F-10
Titre : Diagnostic d'une hypotonie chronique du nouveau-né et du nourrisson Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine Tardieu, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-100-F-10 Langues : Français (fre) Catégories : AMYOTROPHIE SPINALE ; DEFICIT COGNITIF ; MYOPATHIE ; NEONATOLOGIE ; NEUROPATHIE Résumé :
L'hypotonie est un symptôme qui s'intègre dans de très nombreuses affections différentes, les unes touchant le système nerveux central qui sont les plus fréquentes, les autres touchant le système nerveux périphérique. La démarche diagnostique repose sur une analyse séméiologique dont le temps principal est la simple observation du nouveau-né ou du nourrisson au cours de mouvements libres ou de jeux spontanés. Le raisonnement clinique vers le diagnostic repose sur l'âge de début, l'évolutivité des signes, l'existence d'un déficit cognitif, celle de troubles de la déglutition, de troubles respiratoires, d'une arthrogrypose et d'une abolition des réflexes ostéotendineux. Une atteinte centrale précoce avec déficit postural, faiblesse des mouvements et absence de déglutition doit faire rechercher un syndrome de Prader-Willi, une maladie de Steinert (qui s'accompagne d'une dystrophie musculaire). Il faut réaliser une imagerie par résonance magnétique (IRM) cérébrale dont les anomalies dirigent la recherche diagnostique ultérieure si les syndromes de Prader-Willi et de Steinert sont exclus. Une lésion de la moelle est possible après manoeuvre obstétricale. Elle est visible sur l'imagerie de la moelle. L'atteinte périphérique la plus fréquente est l'amyotrophie spinale touchant le motoneurone. Elle se caractérise par un déficit évolutif du maintien postural et des mouvements débutant en fin de premier semestre avec conservation de l'attention et des mouvements dirigés des yeux. Les autres atteintes périphériques sont les neuropathies congénitales, les dystrophies musculaires néonatales et les myopathies néonatales. La myasthénie néonatale est soit une conséquence de la myasthénie maternelle et de courte durée, soit congénitale par anomalie d'un des composants de la jonction neuromusculaire. L'aide thérapeutique dans toutes ces affections rares nécessite une équipe multidisciplinaire entraînée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72394 [article] Diagnostic d'une hypotonie chronique du nouveau-né et du nourrisson [texte imprimé] / Marine Tardieu, Auteur . - 2015 . - 4-100-F-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-100-F-10
Catégories : AMYOTROPHIE SPINALE ; DEFICIT COGNITIF ; MYOPATHIE ; NEONATOLOGIE ; NEUROPATHIE Résumé :
L'hypotonie est un symptôme qui s'intègre dans de très nombreuses affections différentes, les unes touchant le système nerveux central qui sont les plus fréquentes, les autres touchant le système nerveux périphérique. La démarche diagnostique repose sur une analyse séméiologique dont le temps principal est la simple observation du nouveau-né ou du nourrisson au cours de mouvements libres ou de jeux spontanés. Le raisonnement clinique vers le diagnostic repose sur l'âge de début, l'évolutivité des signes, l'existence d'un déficit cognitif, celle de troubles de la déglutition, de troubles respiratoires, d'une arthrogrypose et d'une abolition des réflexes ostéotendineux. Une atteinte centrale précoce avec déficit postural, faiblesse des mouvements et absence de déglutition doit faire rechercher un syndrome de Prader-Willi, une maladie de Steinert (qui s'accompagne d'une dystrophie musculaire). Il faut réaliser une imagerie par résonance magnétique (IRM) cérébrale dont les anomalies dirigent la recherche diagnostique ultérieure si les syndromes de Prader-Willi et de Steinert sont exclus. Une lésion de la moelle est possible après manoeuvre obstétricale. Elle est visible sur l'imagerie de la moelle. L'atteinte périphérique la plus fréquente est l'amyotrophie spinale touchant le motoneurone. Elle se caractérise par un déficit évolutif du maintien postural et des mouvements débutant en fin de premier semestre avec conservation de l'attention et des mouvements dirigés des yeux. Les autres atteintes périphériques sont les neuropathies congénitales, les dystrophies musculaires néonatales et les myopathies néonatales. La myasthénie néonatale est soit une conséquence de la myasthénie maternelle et de courte durée, soit congénitale par anomalie d'un des composants de la jonction neuromusculaire. L'aide thérapeutique dans toutes ces affections rares nécessite une équipe multidisciplinaire entraînée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72394 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAlimentation de l'enfant sportif in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-A-10
Titre : Alimentation de l'enfant sportif Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-104-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ALIMENTATION ; ALIMENTATION:NUTRITION ; BESOIN:BESOIN ENERGETIQUE ; ENFANT ; FER ; SPORT DE HAUT NIVEAU ; VITAMINE Résumé :
La prise en charge nutritionnelle des enfants sportifs de haut niveau est complexe. Elle repose sur un interrogatoire diététique, un examen clinique et un bilan biologique obligatoires. En fonction du niveau de l'activité physique, on peut proposer un régime particulier pour chaque type d'activité et préciser sa répartition dans la journée. Les recommandations doivent aussi concerner le rythme de vie. L'application de l'ensemble de ces mesures est indispensable à tout sportif de haut niveau, c'est-à-dire pratiquant selon son âge plus de 8 à 10 heures hebdomadaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72395 [article] Alimentation de l'enfant sportif [texte imprimé] . - 2015 . - 4-104-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-A-10
Catégories : ALIMENTATION ; ALIMENTATION:NUTRITION ; BESOIN:BESOIN ENERGETIQUE ; ENFANT ; FER ; SPORT DE HAUT NIVEAU ; VITAMINE Résumé :
La prise en charge nutritionnelle des enfants sportifs de haut niveau est complexe. Elle repose sur un interrogatoire diététique, un examen clinique et un bilan biologique obligatoires. En fonction du niveau de l'activité physique, on peut proposer un régime particulier pour chaque type d'activité et préciser sa répartition dans la journée. Les recommandations doivent aussi concerner le rythme de vie. L'application de l'ensemble de ces mesures est indispensable à tout sportif de haut niveau, c'est-à-dire pratiquant selon son âge plus de 8 à 10 heures hebdomadaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72395 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleActivités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Titre : Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-104-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 [article] Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2015 . - 4-104-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePathologie thyroïdienne de l'enfant (hypothyroïdie, hyperthyroïdie et cancer) / TOUBLANC JE in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-105-A-10
Titre : Pathologie thyroïdienne de l'enfant (hypothyroïdie, hyperthyroïdie et cancer) Type de document : texte imprimé Auteurs : TOUBLANC JE, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-105-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : CANCEROLOGIE:CANCER ; DEPISTAGE NEONATAL ; ENFANT ; HYPERTHYROÏDIE ; HYPOTHYROÏDIE ; THYROIDE Résumé :
L'hypothyroïdie a faussement disparu depuis l'installation du dépistage néonatal. Il faut cependant bien connaître les signes de la période néonatale en raison de formes pouvant échapper au dépistage ou devant des enfants nés en dehors de l'Europe. De plus, il existe un certain contingent de formes apparaissant après un intervalle libre après la naissance dominé par les formes acquises. Le pédiatre se doit de connaître le dépistage néonatal et les modalités du traitement institué après que celui-ci a permis de reconnaître un malade. L'hyperthyroïdie de l'enfant est dominée par la maladie de Basedow. Le diagnostic en est facile en dehors de la période néonatale. La principale difficulté est d'ordre thérapeutique car la maladie est marquée par un risque de récidive élevé. Il convient donc de choisir parmi les trois traitements classiques (antithyroïdiens de synthèse [ATS], chirurgie et iode radioactif) le traitement qui donne les meilleures chances de succès, prenant en compte l'âge du patient, l'intensité des signes et le volume du goitre. Il semble y avoir un large consensus pour toujours tenter en première intention les ATS. Le cancer de la thyroïde est rare chez l'enfant, mais ce diagnostic doit être une hantise devant tout nodule de la thyroïde, surtout si l'enfant est plus jeune, qu'il a été exposé à des radiations ou qu'il a des antécédents familiaux. La prise en charge bien codifiée doit être appliquée de façon rigoureuse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72397 [article] Pathologie thyroïdienne de l'enfant (hypothyroïdie, hyperthyroïdie et cancer) [texte imprimé] / TOUBLANC JE, Auteur . - 2015 . - 4-105-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-105-A-10
Catégories : CANCEROLOGIE:CANCER ; DEPISTAGE NEONATAL ; ENFANT ; HYPERTHYROÏDIE ; HYPOTHYROÏDIE ; THYROIDE Résumé :
L'hypothyroïdie a faussement disparu depuis l'installation du dépistage néonatal. Il faut cependant bien connaître les signes de la période néonatale en raison de formes pouvant échapper au dépistage ou devant des enfants nés en dehors de l'Europe. De plus, il existe un certain contingent de formes apparaissant après un intervalle libre après la naissance dominé par les formes acquises. Le pédiatre se doit de connaître le dépistage néonatal et les modalités du traitement institué après que celui-ci a permis de reconnaître un malade. L'hyperthyroïdie de l'enfant est dominée par la maladie de Basedow. Le diagnostic en est facile en dehors de la période néonatale. La principale difficulté est d'ordre thérapeutique car la maladie est marquée par un risque de récidive élevé. Il convient donc de choisir parmi les trois traitements classiques (antithyroïdiens de synthèse [ATS], chirurgie et iode radioactif) le traitement qui donne les meilleures chances de succès, prenant en compte l'âge du patient, l'intensité des signes et le volume du goitre. Il semble y avoir un large consensus pour toujours tenter en première intention les ATS. Le cancer de la thyroïde est rare chez l'enfant, mais ce diagnostic doit être une hantise devant tout nodule de la thyroïde, surtout si l'enfant est plus jeune, qu'il a été exposé à des radiations ou qu'il a des antécédents familiaux. La prise en charge bien codifiée doit être appliquée de façon rigoureuse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72397 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleÉpidémiologie du diabète de l'enfant / P BARAT in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-106-A-10
Titre : Épidémiologie du diabète de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : P BARAT, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-106-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : DIABETE DE TYPE 1 ; DIABETOLOGIE:DIABETE DE TYPE 2 ; ENFANT ; INCIDENCE ; OBESITE ; OBESITE INFANTILE Résumé :
Le diabète sucré de l'enfant peut correspondre à plusieurs étiologies dont la plus fréquente est de loin le diabète de type 1. En 2011, on estimait à 490000 le nombre d'enfants de moins de 15 ans atteints de diabète de type 1 au niveau mondial, ce chiffre correspondant à plus de 90 % des cas de diabète de l'enfant toutes causes confondues. L'incidence du diabète de type 1 est très variable en fonction des régions du globe et des pays. Cette variabilité est expliquée à la fois par des facteurs génétiques et des facteurs environnementaux. En Europe, les populations les plus touchées vivent dans les pays du nord de l'Europe. En France, son incidence correspond à l'incidence moyenne européenne. Depuis de nombreuses années, il est constaté une augmentation croissante des nouveaux diagnostics de 3 à 4 % par an. L'augmentation de l'incidence annuelle touche surtout les enfants de moins de 5 ans et conduit à un rajeunissement de la population pédiatrique au moment du diagnostic. Le diabète de type 2, étroitement associé à l'obésité, concerne les enfants de plus de 10 ans. Les études américaines permettent de définir des populations à risque en fonction de l'origine ethnique. En France, malgré l'absence de donnée récente, on peut dire que l'incidence du diabète de type 2 reste faible en pédiatrie. Cependant, la détection du diabète de type 2 chez l'enfant est un point essentiel en termes de santé publique dans la mesure où il est alors souvent associé à d'autres facteurs de risque cardiovasculaire lors du diagnostic.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72400 [article] Épidémiologie du diabète de l'enfant [texte imprimé] / P BARAT, Auteur . - 2015 . - 4-106-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-106-A-10
Catégories : DIABETE DE TYPE 1 ; DIABETOLOGIE:DIABETE DE TYPE 2 ; ENFANT ; INCIDENCE ; OBESITE ; OBESITE INFANTILE Résumé :
Le diabète sucré de l'enfant peut correspondre à plusieurs étiologies dont la plus fréquente est de loin le diabète de type 1. En 2011, on estimait à 490000 le nombre d'enfants de moins de 15 ans atteints de diabète de type 1 au niveau mondial, ce chiffre correspondant à plus de 90 % des cas de diabète de l'enfant toutes causes confondues. L'incidence du diabète de type 1 est très variable en fonction des régions du globe et des pays. Cette variabilité est expliquée à la fois par des facteurs génétiques et des facteurs environnementaux. En Europe, les populations les plus touchées vivent dans les pays du nord de l'Europe. En France, son incidence correspond à l'incidence moyenne européenne. Depuis de nombreuses années, il est constaté une augmentation croissante des nouveaux diagnostics de 3 à 4 % par an. L'augmentation de l'incidence annuelle touche surtout les enfants de moins de 5 ans et conduit à un rajeunissement de la population pédiatrique au moment du diagnostic. Le diabète de type 2, étroitement associé à l'obésité, concerne les enfants de plus de 10 ans. Les études américaines permettent de définir des populations à risque en fonction de l'origine ethnique. En France, malgré l'absence de donnée récente, on peut dire que l'incidence du diabète de type 2 reste faible en pédiatrie. Cependant, la détection du diabète de type 2 chez l'enfant est un point essentiel en termes de santé publique dans la mesure où il est alors souvent associé à d'autres facteurs de risque cardiovasculaire lors du diagnostic.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72400 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePrise en charge du diabète sucré chez l'enfant / M POLAK in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-106-A-30
Titre : Prise en charge du diabète sucré chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : M POLAK, Auteur ; ROBERT JJ, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-106-A-30 Langues : Français (fre) Catégories : DIABETOLOGIE:DIABETE ; EDUCATION THERAPEUTIQUE ; ENFANT ; INSULINE ; INSULINOTHERAPIE Résumé :
La prise en charge du diabète de l'enfant vise, comme chez l'adulte, à maintenir une glycémie proche de la normale. Les pédiatres qui assurent sa mise en route et son suivi chez l'enfant et l'adolescent doivent en effet avoir comme objectif principal la prévention des complications à long terme : la microangiopathie (rétinopathie, néphropathie), la neuropathie et la macroangiopathie (athérosclérose, maladie coronarienne, accidents vasculaires cérébraux), en sachant que plus le diabète commence tôt, plus les effets cumulatifs de l'hyperglycémie chronique risquent de se manifester précocement. Les pédiatres qui prennent en charge ces enfants doivent aussi prendre en compte les aspects psychologiques, éducatifs, sociaux propres à l'enfant et adapter le traitement à un organisme en croissance. C'est grâce à un dialogue permanent entre l'équipe soignante, l'enfant et sa famille que les meilleurs résultats sont obtenus.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72404 [article] Prise en charge du diabète sucré chez l'enfant [texte imprimé] / M POLAK, Auteur ; ROBERT JJ, Auteur . - 2015 . - 4-106-A-30.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-106-A-30
Catégories : DIABETOLOGIE:DIABETE ; EDUCATION THERAPEUTIQUE ; ENFANT ; INSULINE ; INSULINOTHERAPIE Résumé :
La prise en charge du diabète de l'enfant vise, comme chez l'adulte, à maintenir une glycémie proche de la normale. Les pédiatres qui assurent sa mise en route et son suivi chez l'enfant et l'adolescent doivent en effet avoir comme objectif principal la prévention des complications à long terme : la microangiopathie (rétinopathie, néphropathie), la neuropathie et la macroangiopathie (athérosclérose, maladie coronarienne, accidents vasculaires cérébraux), en sachant que plus le diabète commence tôt, plus les effets cumulatifs de l'hyperglycémie chronique risquent de se manifester précocement. Les pédiatres qui prennent en charge ces enfants doivent aussi prendre en compte les aspects psychologiques, éducatifs, sociaux propres à l'enfant et adapter le traitement à un organisme en croissance. C'est grâce à un dialogue permanent entre l'équipe soignante, l'enfant et sa famille que les meilleurs résultats sont obtenus.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72404 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleCorticosurrénales : physiopathologie et explorations / M-C RAUX DEMAY in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-A-15
Titre : Corticosurrénales : physiopathologie et explorations Type de document : texte imprimé Auteurs : M-C RAUX DEMAY, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-A-15 Langues : Français (fre) Résumé :
Les surrénales foetales sont dérivées de cellules du mésoderme. Elles sont différenciées sous l'influence de facteurs de transcription. Elles sont progressivement remplacées par les surrénales définitives vers le troisième mois postnatal. La stéroïdogenèse résulte de l'effet de deux types d'enzymes, les cytochromes P450 et les hydroxystéroïdes-déshydrogénases. La synthèse de l'aldostérone se produit au niveau de la zone glomérulée, celles du cortisol et des androgènes au niveau de la zone fasciculoréticulée. Les actions des corticostéroïdes (équilibre hydrominéral pour l'aldostérone, maintien de la glycémie et lutte antistress pour le cortisol) s'effectuent par l'intermédiaire de récepteurs cytoplasmiques. L'axe hypothalamohypophysaire (AHH) assure la régulation de la production du cortisol, et le système rénine-angiotensine, de façon prépondérante, celle de la production de l'aldostérone. L'exploration comporte des dosages hormonaux réalisés en pratique courante par des immunodosages. Les dosages de base peuvent être réalisés au niveau de différents supports (plasma, urine, salive, liquide amniotique). Des tests dynamiques sont souvent nécessaires (stimulation des surrénales, de la fonction corticotrope, freinations de l'AHH). Les techniques d'imagerie comportent échographie, scanner, imagerie par résonance magnétique. D'autres techniques sont moins fréquemment utilisées (cathétérisme des sinus pétreux, scintigraphies, etc.). Les déficits corticosurrénaliens peuvent être révélés par une insuffisance surrénalienne aiguë qui constitue une urgence vitale. Sa survenue, en cas de déficit connu, doit être prévenue par des adaptations du traitement. Une caractéristique des excès en glucocorticoïdes chez l'enfant est le ralentissement, voire l'arrêt, de la croissance. La connaissance des particularités de la physiologie des surrénales chez le nouveau-né et l'enfant contribue à assurer une meilleure approche des pathologies observées à ces âges.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72406 [article] Corticosurrénales : physiopathologie et explorations [texte imprimé] / M-C RAUX DEMAY, Auteur . - 2015 . - 4-107-A-15.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-A-15
Résumé :
Les surrénales foetales sont dérivées de cellules du mésoderme. Elles sont différenciées sous l'influence de facteurs de transcription. Elles sont progressivement remplacées par les surrénales définitives vers le troisième mois postnatal. La stéroïdogenèse résulte de l'effet de deux types d'enzymes, les cytochromes P450 et les hydroxystéroïdes-déshydrogénases. La synthèse de l'aldostérone se produit au niveau de la zone glomérulée, celles du cortisol et des androgènes au niveau de la zone fasciculoréticulée. Les actions des corticostéroïdes (équilibre hydrominéral pour l'aldostérone, maintien de la glycémie et lutte antistress pour le cortisol) s'effectuent par l'intermédiaire de récepteurs cytoplasmiques. L'axe hypothalamohypophysaire (AHH) assure la régulation de la production du cortisol, et le système rénine-angiotensine, de façon prépondérante, celle de la production de l'aldostérone. L'exploration comporte des dosages hormonaux réalisés en pratique courante par des immunodosages. Les dosages de base peuvent être réalisés au niveau de différents supports (plasma, urine, salive, liquide amniotique). Des tests dynamiques sont souvent nécessaires (stimulation des surrénales, de la fonction corticotrope, freinations de l'AHH). Les techniques d'imagerie comportent échographie, scanner, imagerie par résonance magnétique. D'autres techniques sont moins fréquemment utilisées (cathétérisme des sinus pétreux, scintigraphies, etc.). Les déficits corticosurrénaliens peuvent être révélés par une insuffisance surrénalienne aiguë qui constitue une urgence vitale. Sa survenue, en cas de déficit connu, doit être prévenue par des adaptations du traitement. Une caractéristique des excès en glucocorticoïdes chez l'enfant est le ralentissement, voire l'arrêt, de la croissance. La connaissance des particularités de la physiologie des surrénales chez le nouveau-né et l'enfant contribue à assurer une meilleure approche des pathologies observées à ces âges.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72406 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePathologie des corticosurrénales / M-C RAUX DEMAY in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-A-20
Titre : Pathologie des corticosurrénales Type de document : texte imprimé Auteurs : M-C RAUX DEMAY, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-A-20 Langues : Français (fre) Résumé :
Les insuffisances surrénaliennes périphériques comportent des hypoplasies surrénaliennes (anomalies de DAX1 ou de SF1 ou inscrites dans le syndrome IMAGe), des syndromes de résistance à l'ACTH parfois intégrés dans le cadre du syndrome « trois-A », des insuffisances surrénaliennes auto-immunes, des anomalies des peroxysomes responsables d'adrénoleucodystrophies ou d'adrénomyéloneuropathies. Les déficits congénitaux de la stéroïdogenèse font l'objet d'un autre article. Les déficits isolés en aldostérone sont responsables d'une perte de sel avec taux élevé de rénine. Les insuffisances corticotropes ont pour étiologie des déficits hypophysaires multiples idiopathiques ou d'origine tumorale (craniopharyngiome) ou malformative (syndrome de posthypophyse ectopique), ou de rares anomalies génétiques, gènes de la POMC, de la prohormone convertase 1/3 ou de facteurs de transcription, l'étiologie la plus fréquente étant constituée par les corticothérapies. Dans le cadre des syndromes de Cushing, le diagnostic de l'hypercorticisme doit être porté en priorité. Les étiologies comportent les syndromes de Cushing ACTH-dépendants (maladie de Cushing due à un microadénome hypophysaire, sécrétions ectopiques d'ACTH exceptionnelles chez l'enfant) les syndromes de Cushing non-ACTH dépendants (tumeurs surrénaliennes survenant surtout chez le jeune enfant, de nature bénigne ou maligne, microadénomatoses [PPNAD] isolées ou incluses dans le complexe de Carney). Les corticothérapies constituent l'étiologie première. Les hyperfonctionnements minéralocorticoïdes comportent des hyperaldostéronismes primaires (syndrome de Coon exceptionnel chez l'enfant, hyperaldostéronismes familiaux de type I liés à un gène hybride CYP11B2/ CYP11B1, de type II. Le syndrome « AME » est dû à des mutations de 11HSD2. Différentes mutations de gènes codant pour divers transporteurs tubulaires rénaux sont à l'origine des syndromes de Bartter et Gitelman. Dans le syndrome de Liddle, il existe des mutations activatrices du canal sodium amiloride sensible (ENaC) ; des mutations inactivatrices de ce canal sont responsables du pseudohypoaldostéronisme (PHA) de type Ia, le PH2A de type Ib étant lié à des mutations du récepteur des minéralocorticoïdes. Le syndrome d'insensibilité au cortisol est exceptionnel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72408 [article] Pathologie des corticosurrénales [texte imprimé] / M-C RAUX DEMAY, Auteur . - 2015 . - 4-107-A-20.
Langues : Français (fre)
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Résumé :
Les insuffisances surrénaliennes périphériques comportent des hypoplasies surrénaliennes (anomalies de DAX1 ou de SF1 ou inscrites dans le syndrome IMAGe), des syndromes de résistance à l'ACTH parfois intégrés dans le cadre du syndrome « trois-A », des insuffisances surrénaliennes auto-immunes, des anomalies des peroxysomes responsables d'adrénoleucodystrophies ou d'adrénomyéloneuropathies. Les déficits congénitaux de la stéroïdogenèse font l'objet d'un autre article. Les déficits isolés en aldostérone sont responsables d'une perte de sel avec taux élevé de rénine. Les insuffisances corticotropes ont pour étiologie des déficits hypophysaires multiples idiopathiques ou d'origine tumorale (craniopharyngiome) ou malformative (syndrome de posthypophyse ectopique), ou de rares anomalies génétiques, gènes de la POMC, de la prohormone convertase 1/3 ou de facteurs de transcription, l'étiologie la plus fréquente étant constituée par les corticothérapies. Dans le cadre des syndromes de Cushing, le diagnostic de l'hypercorticisme doit être porté en priorité. Les étiologies comportent les syndromes de Cushing ACTH-dépendants (maladie de Cushing due à un microadénome hypophysaire, sécrétions ectopiques d'ACTH exceptionnelles chez l'enfant) les syndromes de Cushing non-ACTH dépendants (tumeurs surrénaliennes survenant surtout chez le jeune enfant, de nature bénigne ou maligne, microadénomatoses [PPNAD] isolées ou incluses dans le complexe de Carney). Les corticothérapies constituent l'étiologie première. Les hyperfonctionnements minéralocorticoïdes comportent des hyperaldostéronismes primaires (syndrome de Coon exceptionnel chez l'enfant, hyperaldostéronismes familiaux de type I liés à un gène hybride CYP11B2/ CYP11B1, de type II. Le syndrome « AME » est dû à des mutations de 11HSD2. Différentes mutations de gènes codant pour divers transporteurs tubulaires rénaux sont à l'origine des syndromes de Bartter et Gitelman. Dans le syndrome de Liddle, il existe des mutations activatrices du canal sodium amiloride sensible (ENaC) ; des mutations inactivatrices de ce canal sont responsables du pseudohypoaldostéronisme (PHA) de type Ia, le PH2A de type Ib étant lié à des mutations du récepteur des minéralocorticoïdes. Le syndrome d'insensibilité au cortisol est exceptionnel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72408 Exemplaires
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DisponibleHyperplasie congénitale des surrénales : les formes précoces in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-A-30
Titre : Hyperplasie congénitale des surrénales : les formes précoces Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-A-30 Langues : Français (fre) Catégories : HYPERPLASIE CONGENITALE ; INSUFFISANCE SURRENALIENNE ; PATHOLOGIE SURRENALE Résumé :
L'hyperplasie congénitale des surrénales (HCS) est une maladie endocrinienne génétique à transmission autosomique récessive qui résulte du déficit d'une des enzymes de la stéroïdogenèse responsable de la synthèse du cortisol. Il s'agit d'une entité pathologique complexe regroupant plusieurs formes cliniques, biologiques et génétiques. Dans la majorité des cas, il s'agit d'un déficit en 21-hydroxylase. Plus rarement, le déficit porte sur la 11β-hydroxylase, la 3β-hydroxystéroïde déshydrogénase, 17⍺-hydroxylase, ou exceptionnellement en StAR et P450 oxydoréductase. Le traitement de l'HCS repose sur un traitement substitutif par hydrocortisone, plus ou moins associé à la fludrocortisone en cas de déficit en minéralocorticoïdes associé. Il existe actuellement un diagnostic prénatal et un dépistage néonatal de l'HCS par déficit en 21-hydroxylase, dans le but de prévenir la virilisation chez la fille et les complications néonatales qui peuvent être fatales. Les conséquences à l'âge adulte de ces maladies, souvent mal évaluées, ne doivent pas être sous-estimées, tant sur le plan de l'équilibre hormonal, de la fertilité, que des possibles conséquences à long terme d'un traitement par glucocorticoïdes, rendant nécessaire une transition entre le monde de l'endocrinologie pédiatrique et adulte.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72409 [article] Hyperplasie congénitale des surrénales : les formes précoces [texte imprimé] . - 2015 . - 4-107-A-30.
Langues : Français (fre)
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Catégories : HYPERPLASIE CONGENITALE ; INSUFFISANCE SURRENALIENNE ; PATHOLOGIE SURRENALE Résumé :
L'hyperplasie congénitale des surrénales (HCS) est une maladie endocrinienne génétique à transmission autosomique récessive qui résulte du déficit d'une des enzymes de la stéroïdogenèse responsable de la synthèse du cortisol. Il s'agit d'une entité pathologique complexe regroupant plusieurs formes cliniques, biologiques et génétiques. Dans la majorité des cas, il s'agit d'un déficit en 21-hydroxylase. Plus rarement, le déficit porte sur la 11β-hydroxylase, la 3β-hydroxystéroïde déshydrogénase, 17⍺-hydroxylase, ou exceptionnellement en StAR et P450 oxydoréductase. Le traitement de l'HCS repose sur un traitement substitutif par hydrocortisone, plus ou moins associé à la fludrocortisone en cas de déficit en minéralocorticoïdes associé. Il existe actuellement un diagnostic prénatal et un dépistage néonatal de l'HCS par déficit en 21-hydroxylase, dans le but de prévenir la virilisation chez la fille et les complications néonatales qui peuvent être fatales. Les conséquences à l'âge adulte de ces maladies, souvent mal évaluées, ne doivent pas être sous-estimées, tant sur le plan de l'équilibre hormonal, de la fertilité, que des possibles conséquences à long terme d'un traitement par glucocorticoïdes, rendant nécessaire une transition entre le monde de l'endocrinologie pédiatrique et adulte.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72409 Exemplaires
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DisponiblePuberté normale et pathologique / S Moniez in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-B-15
Titre : Puberté normale et pathologique Type de document : texte imprimé Auteurs : S Moniez, Auteur ; C PIENKOWSKI, Auteur ; Audrey CARTAULT, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-B-15 Langues : Français (fre) Catégories : AGE OSSEUX ; HYPOGONADISME ; PUBERTE ; PUBERTE PRECOCE ; RETARD PUBERTAIRE Résumé : L'évaluation du développement pubertaire fait partie intégrante du suivi du développement de l'enfant. À l'examen clinique, il est évalué par le stade de Tanner. Le développement pubertaire se fait par activation de l'axe hypothalamo-hypophysogonadique. La finalité du développement pubertaire est l'acquisition de la fonction de reproduction. On parle de puberté précoce lorsque la poussée mammaire débute avant l'âge de 8 ans chez la fille et lorsque le volume testiculaire devient supérieur à 4 ml avant l'âge de 9 ans et demi chez le garçon. Il faut distinguer les causes centrales des causes périphériques. Chez la fille, elle est dans 80 % des cas d'origine centrale idiopathique alors que chez le garçon, elle est dans 70 % des cas pathologique et secondaire à une lésion du système nerveux central. Un traitement freinateur de la puberté par analogue de luteinizing hormone releasing hormone (LHRH) est indiqué dans la puberté précoce centrale. Le retard pubertaire est défini par l'absence de développement des caractères sexuels après 13 ans chez la fille et après 14 ans chez le garçon. Il peut s'agir d'un retard pubertaire simple ou bien d'une cause centrale (hypogonadisme hypogonadotrope) ou périphérique (hypogonadisme hypergonadotrope). Chez le garçon, le retard pubertaire simple est plus fréquent que chez la fille et un traitement substitutif peut être envisagé en cas de retentissement psychologique. Les causes les plus fréquentes d'hypogonadisme hypergonadotrope sont les anomalies chromosomiques 45X correspondant au syndrome de Turner chez la fille et 46XXY correspondant au syndrome de Klinefelter chez le garçon. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72410 [article] Puberté normale et pathologique [texte imprimé] / S Moniez, Auteur ; C PIENKOWSKI, Auteur ; Audrey CARTAULT, Auteur . - 2015 . - 4-107-B-15.
Langues : Français (fre)
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Catégories : AGE OSSEUX ; HYPOGONADISME ; PUBERTE ; PUBERTE PRECOCE ; RETARD PUBERTAIRE Résumé : L'évaluation du développement pubertaire fait partie intégrante du suivi du développement de l'enfant. À l'examen clinique, il est évalué par le stade de Tanner. Le développement pubertaire se fait par activation de l'axe hypothalamo-hypophysogonadique. La finalité du développement pubertaire est l'acquisition de la fonction de reproduction. On parle de puberté précoce lorsque la poussée mammaire débute avant l'âge de 8 ans chez la fille et lorsque le volume testiculaire devient supérieur à 4 ml avant l'âge de 9 ans et demi chez le garçon. Il faut distinguer les causes centrales des causes périphériques. Chez la fille, elle est dans 80 % des cas d'origine centrale idiopathique alors que chez le garçon, elle est dans 70 % des cas pathologique et secondaire à une lésion du système nerveux central. Un traitement freinateur de la puberté par analogue de luteinizing hormone releasing hormone (LHRH) est indiqué dans la puberté précoce centrale. Le retard pubertaire est défini par l'absence de développement des caractères sexuels après 13 ans chez la fille et après 14 ans chez le garçon. Il peut s'agir d'un retard pubertaire simple ou bien d'une cause centrale (hypogonadisme hypogonadotrope) ou périphérique (hypogonadisme hypergonadotrope). Chez le garçon, le retard pubertaire simple est plus fréquent que chez la fille et un traitement substitutif peut être envisagé en cas de retentissement psychologique. Les causes les plus fréquentes d'hypogonadisme hypergonadotrope sont les anomalies chromosomiques 45X correspondant au syndrome de Turner chez la fille et 46XXY correspondant au syndrome de Klinefelter chez le garçon. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72410 Exemplaires
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DisponibleAmbiguïtés sexuelles / F BARGY in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-B-50
Titre : Ambiguïtés sexuelles Type de document : texte imprimé Auteurs : F BARGY, Auteur ; C BOUVATIER, Auteur ; H LEFEVRE, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-B-50 Langues : Français (fre) Résumé :
L'ambiguïté sexuelle est définie cliniquement par l'observation d'organes génitaux externes anormaux où l'on reconnaît un bourgeon génital médian, des bourrelets génitaux latéraux et un sinus urogénital sagittal ouvert ou fermé incomplètement. Cette constatation impose de déclarer l'enfant de sexe indéterminé et d'enclencher l'enquête médicochirurgicale pour décider le plus rapidement possible du sexe définitif de l'enfant.
Ces anomalies se subdivisent en pseudohermaphrodisme féminin (PHF) s'il n'y a pas de gonade palpable et en pseudohermaphrodisme masculin (PHM) s'il y en a. Les hermaphrodismes vrais sont une entité à part.
Une cause endocrinienne doit être recherchée à l'origine de l'anomalie clinique génitale externe et interne. Un bloc enzymatique surrénalien est le plus souvent à l'origine des PHF, sa présence nécessitant un traitement substitutif et une prise en charge spécialisée. L'étiologie des PHM est souvent plus difficile à mettre en évidence, le syndrome d'insensibilité partielle aux androgènes faisant partie des causes fréquentes.
Le traitement médical et la réparation chirurgicale doivent être précoces. Les progrès du diagnostic prénatal permettent quelquefois de porter la discussion en amont de la naissance et d'envisager un traitement efficace.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72414 [article] Ambiguïtés sexuelles [texte imprimé] / F BARGY, Auteur ; C BOUVATIER, Auteur ; H LEFEVRE, Auteur . - 2015 . - 4-107-B-50.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-B-50
Résumé :
L'ambiguïté sexuelle est définie cliniquement par l'observation d'organes génitaux externes anormaux où l'on reconnaît un bourgeon génital médian, des bourrelets génitaux latéraux et un sinus urogénital sagittal ouvert ou fermé incomplètement. Cette constatation impose de déclarer l'enfant de sexe indéterminé et d'enclencher l'enquête médicochirurgicale pour décider le plus rapidement possible du sexe définitif de l'enfant.
Ces anomalies se subdivisent en pseudohermaphrodisme féminin (PHF) s'il n'y a pas de gonade palpable et en pseudohermaphrodisme masculin (PHM) s'il y en a. Les hermaphrodismes vrais sont une entité à part.
Une cause endocrinienne doit être recherchée à l'origine de l'anomalie clinique génitale externe et interne. Un bloc enzymatique surrénalien est le plus souvent à l'origine des PHF, sa présence nécessitant un traitement substitutif et une prise en charge spécialisée. L'étiologie des PHM est souvent plus difficile à mettre en évidence, le syndrome d'insensibilité partielle aux androgènes faisant partie des causes fréquentes.
Le traitement médical et la réparation chirurgicale doivent être précoces. Les progrès du diagnostic prénatal permettent quelquefois de porter la discussion en amont de la naissance et d'envisager un traitement efficace.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72414 Exemplaires
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DisponibleHypophyse / LEGER (J) in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-D-10
Titre : Hypophyse Type de document : texte imprimé Auteurs : LEGER (J), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-D-10 Langues : Français (fre) Catégories : GONADOTROPHINES ; HORMONE DE CROISSANCE ; HYPOPHYSE ; IRM CEREBRALE ; PROLACTINE Résumé :
L'hypophyse est formée de l'anté- et de la posthypophyse. L'antéhypophyse synthétise et sécrète principalement l'hormone de croissance, la thyréostimuline, la prolactine, la corticotrophine et les gonadotrophines. La posthypophyse sécrète la vasopressine et l'ocytocine. Le développement et la différenciation de l'hypophyse sont ordonnés par différents facteurs qui interviennent en cascade de façon temporelle et spatiale, faisant intervenir de nombreux gènes de signalisation provenant de structures adjacentes, ainsi que des facteurs de transcription spécifiques encore peu connus. La régulation et le mode d'action des différentes hormones commencent à être bien identifiés. Le fonctionnement des cellules de l'antéhypophyse est régulé par des hormones activatrices et inhibitrices synthétisées dans l'hypothalamus. Elles agissent par l'intermédiaire de récepteurs cellulaires spécifiques. Chez l'enfant, les hypofonctionnements sont bien plus fréquents que les hyperfonctionnements hypothalamohypophysaires. Les hypopituitarismes sont des affections graves. En l'absence de traitement, ces pathologies ont des conséquences irréversibles, telles que le nanisme sévère en cas d'insuffisance somatotrope, le retard mental en cas d'insuffisance thyréotrope, l'absence de développement pubertaire et la stérilité en cas d'insuffisance gonadotrope, voire le décès en cas d'insuffisance corticotrope. Le diagnostic d'insuffisance hypophysaire repose sur les données cliniques, les résultats des explorations fonctionnelles et d'imagerie cérébrale par résonance magnétique. Les traitements sont substitutifs à vie et nécessitent leur prise en charge pédiatrique, mais également à l'âge adulte. L'insuffisance hypophysaire peut être unique ou multiple. Elle peut être acquise (liée principalement à un processus tumoral ou infiltratif de la région hypothalamohypophysaire) ou congénitale. Plusieurs types d'insuffisance congénitale (isolée ou combinée) de cause génétique ont été décrits ces dernières années chez l'homme. Cependant, les mécanismes moléculaires à l'origine de la très grande majorité des hypopituitarismes génétiques restent à élucider.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72415 [article] Hypophyse [texte imprimé] / LEGER (J), Auteur . - 2015 . - 4-107-D-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : GONADOTROPHINES ; HORMONE DE CROISSANCE ; HYPOPHYSE ; IRM CEREBRALE ; PROLACTINE Résumé :
L'hypophyse est formée de l'anté- et de la posthypophyse. L'antéhypophyse synthétise et sécrète principalement l'hormone de croissance, la thyréostimuline, la prolactine, la corticotrophine et les gonadotrophines. La posthypophyse sécrète la vasopressine et l'ocytocine. Le développement et la différenciation de l'hypophyse sont ordonnés par différents facteurs qui interviennent en cascade de façon temporelle et spatiale, faisant intervenir de nombreux gènes de signalisation provenant de structures adjacentes, ainsi que des facteurs de transcription spécifiques encore peu connus. La régulation et le mode d'action des différentes hormones commencent à être bien identifiés. Le fonctionnement des cellules de l'antéhypophyse est régulé par des hormones activatrices et inhibitrices synthétisées dans l'hypothalamus. Elles agissent par l'intermédiaire de récepteurs cellulaires spécifiques. Chez l'enfant, les hypofonctionnements sont bien plus fréquents que les hyperfonctionnements hypothalamohypophysaires. Les hypopituitarismes sont des affections graves. En l'absence de traitement, ces pathologies ont des conséquences irréversibles, telles que le nanisme sévère en cas d'insuffisance somatotrope, le retard mental en cas d'insuffisance thyréotrope, l'absence de développement pubertaire et la stérilité en cas d'insuffisance gonadotrope, voire le décès en cas d'insuffisance corticotrope. Le diagnostic d'insuffisance hypophysaire repose sur les données cliniques, les résultats des explorations fonctionnelles et d'imagerie cérébrale par résonance magnétique. Les traitements sont substitutifs à vie et nécessitent leur prise en charge pédiatrique, mais également à l'âge adulte. L'insuffisance hypophysaire peut être unique ou multiple. Elle peut être acquise (liée principalement à un processus tumoral ou infiltratif de la région hypothalamohypophysaire) ou congénitale. Plusieurs types d'insuffisance congénitale (isolée ou combinée) de cause génétique ont été décrits ces dernières années chez l'homme. Cependant, les mécanismes moléculaires à l'origine de la très grande majorité des hypopituitarismes génétiques restent à élucider.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72415 Exemplaires
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DisponibleGynécologie de l'enfant et de l'adolescente in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-D20
Titre : Gynécologie de l'enfant et de l'adolescente Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-D20 Langues : Français (fre) Catégories : ADOLESCENT:ADOLESCENTE ; AMENORRHEE ; COALESCENCE DES PETITES LEVRES ; CYCLES ; DYSMENORRHEE ; ENFANT ; EXAMEN GYNECOLOGIQUE ; PROLAPSUS ; SEIN ; URETRE ; VULVOVAGINITE Résumé :
La gynécologie pédiatrique concerne l'enfant prépubère et la jeune adolescente. L'examen clinique, qui est fondamental dans l'évaluation des problèmes gynécologiques de cet âge, comporte des spécificités. Sa conduite est développée dans la première partie afin que le praticien puisse obtenir les informations les plus précises sans traumatisme pour l'enfant. Les vulvites et les affections vulvaires bénignes sont un motif fréquent de consultation en gynécologie pédiatrique. Leurs caractéristiques et leurs prises en charge sont détaillées. Les saignements génitaux prépubertaires sont dus sept fois sur dix à une cause locale vulvaire ou vaginale identifiable dès le premier examen clinique. Les causes hormonales beaucoup plus rares sont représentées par les kystes et tumeurs ovariens sécrétants. Les troubles du cycle affectent 75 % des adolescentes, qu'il s'agisse de dysménorrhée, ménorragies, spanioménorrhée voire aménorrhée. Ils recouvrent tout un champ d'étiologies qui va de troubles fonctionnels à des pathologies sévères. La démarche diagnostique et la prise en charge thérapeutique selon l'étiologie sont analysées. Enfin, la pathologie mammaire de l'adolescente résulte d'une anomalie de l'embryogenèse ou de développement de la glande mammaire. Elle est dominée par les anomalies morphologiques et la pathologie tumorale bénigne. Le cancer à cet âge est très exceptionnel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72420 [article] Gynécologie de l'enfant et de l'adolescente [texte imprimé] . - 2015 . - 4-107-D20.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ADOLESCENT:ADOLESCENTE ; AMENORRHEE ; COALESCENCE DES PETITES LEVRES ; CYCLES ; DYSMENORRHEE ; ENFANT ; EXAMEN GYNECOLOGIQUE ; PROLAPSUS ; SEIN ; URETRE ; VULVOVAGINITE Résumé :
La gynécologie pédiatrique concerne l'enfant prépubère et la jeune adolescente. L'examen clinique, qui est fondamental dans l'évaluation des problèmes gynécologiques de cet âge, comporte des spécificités. Sa conduite est développée dans la première partie afin que le praticien puisse obtenir les informations les plus précises sans traumatisme pour l'enfant. Les vulvites et les affections vulvaires bénignes sont un motif fréquent de consultation en gynécologie pédiatrique. Leurs caractéristiques et leurs prises en charge sont détaillées. Les saignements génitaux prépubertaires sont dus sept fois sur dix à une cause locale vulvaire ou vaginale identifiable dès le premier examen clinique. Les causes hormonales beaucoup plus rares sont représentées par les kystes et tumeurs ovariens sécrétants. Les troubles du cycle affectent 75 % des adolescentes, qu'il s'agisse de dysménorrhée, ménorragies, spanioménorrhée voire aménorrhée. Ils recouvrent tout un champ d'étiologies qui va de troubles fonctionnels à des pathologies sévères. La démarche diagnostique et la prise en charge thérapeutique selon l'étiologie sont analysées. Enfin, la pathologie mammaire de l'adolescente résulte d'une anomalie de l'embryogenèse ou de développement de la glande mammaire. Elle est dominée par les anomalies morphologiques et la pathologie tumorale bénigne. Le cancer à cet âge est très exceptionnel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72420 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePathologie mammaire de l'enfant in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-D-25
Titre : Pathologie mammaire de l'enfant Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-D-25 Langues : Français (fre) Catégories : ADENOFIBROME ; ADOLESCENT ; ECHOGRAPHIE ; ENFANT ; PATHOLOGIE MAMMAIRE Résumé :
La pathologie mammaire de l'enfant est bénigne dans la majorité des cas. Le diagnostic et la prise en charge des pathologies mammaires chez l'enfant et l'adolescent ont des caractéristiques propres. La connaissance de l'anatomie, des structures cellulaires de la glande mammaire, et celle de son évolution physiologique permettent une classification des différentes situations cliniques. Il s'agit dans la plupart des cas de pathologies bénignes dont la prise en charge dépend principalement de l'évolution prévisible et du retentissement physique et psychologique de la pathologie sur la jeune fille et son entourage. L'examen clinique est indispensable et souvent suffisant pour porter un diagnostic. L'échographie mammaire est l'examen complémentaire de référence. La mammographie doit être évitée à cet âge. La cytoponction ou la biopsie ne sont indiquées qu'en cas de suspicion de malignité. L'adénofibrome simple est l'anomalie mammaire la plus fréquente chez l'adolescente. Les anomalies morphologiques peuvent être à l'origine d'un retentissement psychologique important. En cas d'anomalies modérées, la consultation doit permettre de rassurer l'adolescente et de lui expliquer l'évolution prévisible et les mesures de prise en charge possibles. En cas d'anomalie majeure, une consultation auprès d'un chirurgien plasticien doit être proposée. Bien que la bénignité soit la règle, il faut rester vigilant devant un nodule de présentation atypique ou d'évolution inhabituelle et ne pas hésiter à avoir recours à la biopsie. Les lésions tumorales du sein représentent moins de 1 % des cancers pédiatriques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72421 [article] Pathologie mammaire de l'enfant [texte imprimé] . - 2015 . - 4-107-D-25.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ADENOFIBROME ; ADOLESCENT ; ECHOGRAPHIE ; ENFANT ; PATHOLOGIE MAMMAIRE Résumé :
La pathologie mammaire de l'enfant est bénigne dans la majorité des cas. Le diagnostic et la prise en charge des pathologies mammaires chez l'enfant et l'adolescent ont des caractéristiques propres. La connaissance de l'anatomie, des structures cellulaires de la glande mammaire, et celle de son évolution physiologique permettent une classification des différentes situations cliniques. Il s'agit dans la plupart des cas de pathologies bénignes dont la prise en charge dépend principalement de l'évolution prévisible et du retentissement physique et psychologique de la pathologie sur la jeune fille et son entourage. L'examen clinique est indispensable et souvent suffisant pour porter un diagnostic. L'échographie mammaire est l'examen complémentaire de référence. La mammographie doit être évitée à cet âge. La cytoponction ou la biopsie ne sont indiquées qu'en cas de suspicion de malignité. L'adénofibrome simple est l'anomalie mammaire la plus fréquente chez l'adolescente. Les anomalies morphologiques peuvent être à l'origine d'un retentissement psychologique important. En cas d'anomalies modérées, la consultation doit permettre de rassurer l'adolescente et de lui expliquer l'évolution prévisible et les mesures de prise en charge possibles. En cas d'anomalie majeure, une consultation auprès d'un chirurgien plasticien doit être proposée. Bien que la bénignité soit la règle, il faut rester vigilant devant un nodule de présentation atypique ou d'évolution inhabituelle et ne pas hésiter à avoir recours à la biopsie. Les lésions tumorales du sein représentent moins de 1 % des cancers pédiatriques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72421 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleExanthèmes viraux / C FLEURET in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-108-A-20
Titre : Exanthèmes viraux Type de document : texte imprimé Auteurs : C FLEURET, Auteur ; PLANTIN (P), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-108-A-20 Langues : Français (fre) Résumé :
Les infections virales sont les principales causes des exanthèmes de l'enfant. Parmi les exanthèmes fébriles, les exanthèmes maculopapuleux sont les plus fréquents. Les hypothèses bactériennes, toxiniques ou médicamenteuses (toxidermie) doivent néanmoins être éliminées. Du fait de la pluralité fréquente des facteurs étiologiques, il est souvent difficile de porter avec certitude le diagnostic d'exanthème viral. Il est nécessaire d'évoquer les maladies éruptives et surtout de les confirmer du fait de la gravité potentielle de certaines d'entre elles (intérêt de la vaccination+++). Il convient également de reconnaître la maladie de Kawasaki qui représente une urgence diagnostique et thérapeutique : à évoquer devant tout exanthème fébrile persistant chez un enfant, sans point d'appel infectieux mais associé à un syndrome inflammatoire biologique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72423 [article] Exanthèmes viraux [texte imprimé] / C FLEURET, Auteur ; PLANTIN (P), Auteur . - 2015 . - 4-108-A-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-108-A-20
Résumé :
Les infections virales sont les principales causes des exanthèmes de l'enfant. Parmi les exanthèmes fébriles, les exanthèmes maculopapuleux sont les plus fréquents. Les hypothèses bactériennes, toxiniques ou médicamenteuses (toxidermie) doivent néanmoins être éliminées. Du fait de la pluralité fréquente des facteurs étiologiques, il est souvent difficile de porter avec certitude le diagnostic d'exanthème viral. Il est nécessaire d'évoquer les maladies éruptives et surtout de les confirmer du fait de la gravité potentielle de certaines d'entre elles (intérêt de la vaccination+++). Il convient également de reconnaître la maladie de Kawasaki qui représente une urgence diagnostique et thérapeutique : à évoquer devant tout exanthème fébrile persistant chez un enfant, sans point d'appel infectieux mais associé à un syndrome inflammatoire biologique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72423 Exemplaires
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DisponibleAnomalies vasculaires superficielles (angiomes) / M BERTON in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-109-A-10
Titre : Anomalies vasculaires superficielles (angiomes) Type de document : texte imprimé Auteurs : M BERTON, Auteur ; A MARUANI, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-109-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ANGIOME ; DERMATOLOGIE:HEMANGIOME ; LYMPHOEDEME ; MALFORMATION ; SYSTEME LYMPHATIQUE Résumé :
Les anomalies vasculaires superficielles constituent un groupe hétérogène d'entités. On distingue parmi elles les malformations vasculaires (MV) d'une part, les tumeurs vasculaires d'autre part. Les MV sont constituées de vaisseaux dysplasiques, présents dès la naissance, mais pas toujours apparents à ce moment-là. Deux groupes diffèrent sur un plan hémodynamique : les MV à flux lent et les MV à flux rapide. Les MV à flux lent englobent les malformations veineuses, les malformations capillaires (angiomes plans et télangiectasies) et les malformations lymphatiques (lymphœdèmes primaires, malformations lymphatiques micro- et macrokystiques). Les MV à flux rapide regroupent les malformations artérielles et artérioveineuses. Les MV peuvent être isolées ou être combinées à d'autres anomalies, s'intégrant alors dans un syndrome complexe. Des mutations génétiques ont été mises en évidence dans des formes familiales. Le diagnostic des MV repose sur la clinique et l'imagerie (hormis pour les malformations capillaires) ; c'est l'échodoppler et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) qui sont indiqués en première intention. La prise en charge des MV doit être gérée par des équipes multidisciplinaires. Sont généralement proposés : abstention et surveillance, sclérothérapie, chirurgie, traitements médicamenteux (non encore validés). Les tumeurs vasculaires, généralement bénignes, résultent d'une hyperplasie cellulaire. Elles sont très diverses, marquées par un pronostic et une évolution différents. La plus fréquente est l'hémangiome infantile (HI), tumeur généralement non congénitale, bénigne et autorégressive, qui est la seule exprimant le marqueur glucose transporter 1 (Glut-1), mis en évidence par immunohistochimie. En cas de gêne fonctionnelle ou esthétique (vaste HI du visage, HI obstruant un orifice, HI ulcéré), le traitement repose actuellement sur le propranolol par voie orale. Les autres tumeurs vasculaires sont moins fréquentes et comprennent essentiellement les non involuting congenital hemangioma (NICH), les rapidly involuting congenital hemangioma (RICH), l'angiome en touffes et l'hémangioendothéliome kaposiforme, qui diffèrent de l'HI histologiquement et immunohistochimiquement ; en particulier, elles n'expriment pas le Glut-1. Ces deux dernières peuvent se compliquer du phénomène de Kasabach-Merritt.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72424 [article] Anomalies vasculaires superficielles (angiomes) [texte imprimé] / M BERTON, Auteur ; A MARUANI, Auteur . - 2015 . - 4-109-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-109-A-10
Catégories : ANGIOME ; DERMATOLOGIE:HEMANGIOME ; LYMPHOEDEME ; MALFORMATION ; SYSTEME LYMPHATIQUE Résumé :
Les anomalies vasculaires superficielles constituent un groupe hétérogène d'entités. On distingue parmi elles les malformations vasculaires (MV) d'une part, les tumeurs vasculaires d'autre part. Les MV sont constituées de vaisseaux dysplasiques, présents dès la naissance, mais pas toujours apparents à ce moment-là. Deux groupes diffèrent sur un plan hémodynamique : les MV à flux lent et les MV à flux rapide. Les MV à flux lent englobent les malformations veineuses, les malformations capillaires (angiomes plans et télangiectasies) et les malformations lymphatiques (lymphœdèmes primaires, malformations lymphatiques micro- et macrokystiques). Les MV à flux rapide regroupent les malformations artérielles et artérioveineuses. Les MV peuvent être isolées ou être combinées à d'autres anomalies, s'intégrant alors dans un syndrome complexe. Des mutations génétiques ont été mises en évidence dans des formes familiales. Le diagnostic des MV repose sur la clinique et l'imagerie (hormis pour les malformations capillaires) ; c'est l'échodoppler et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) qui sont indiqués en première intention. La prise en charge des MV doit être gérée par des équipes multidisciplinaires. Sont généralement proposés : abstention et surveillance, sclérothérapie, chirurgie, traitements médicamenteux (non encore validés). Les tumeurs vasculaires, généralement bénignes, résultent d'une hyperplasie cellulaire. Elles sont très diverses, marquées par un pronostic et une évolution différents. La plus fréquente est l'hémangiome infantile (HI), tumeur généralement non congénitale, bénigne et autorégressive, qui est la seule exprimant le marqueur glucose transporter 1 (Glut-1), mis en évidence par immunohistochimie. En cas de gêne fonctionnelle ou esthétique (vaste HI du visage, HI obstruant un orifice, HI ulcéré), le traitement repose actuellement sur le propranolol par voie orale. Les autres tumeurs vasculaires sont moins fréquentes et comprennent essentiellement les non involuting congenital hemangioma (NICH), les rapidly involuting congenital hemangioma (RICH), l'angiome en touffes et l'hémangioendothéliome kaposiforme, qui diffèrent de l'HI histologiquement et immunohistochimiquement ; en particulier, elles n'expriment pas le Glut-1. Ces deux dernières peuvent se compliquer du phénomène de Kasabach-Merritt.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72424 Exemplaires
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DisponibleDermatophyties et dermatophytoses de l'enfant / Noémie Lachaume in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-110-A-10
Titre : Dermatophyties et dermatophytoses de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Noémie Lachaume, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-110-A-10 Note générale : Màj 2022 Langues : Français (fre) Catégories : DERMATOPHYTOSE ; ENFANT ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; MYCOSE Résumé :
Les dermatophytoses représentent la majeure partie des infections fongiques superficielles et sont fréquentes chez l'enfant. Leur transmission est majoritairement anthropophile ou zoophile. Chez l'enfant en bonne santé, l'infection fongique reste superficielle. La zone anatomique atteinte détermine l'indication à la réalisation d'un prélèvement mycologique et du traitement local et/ou systémique. Les traitements systémiques sont réservés aux teignes ainsi qu'aux onychomycoses et aux formes sévères de la peau glabre (formes multifocales, très étendues ou atteinte palmoplantaire). La griséofulvine est le seul antifongique systémique ayant l'autorisation de mise sur le marché (AMM) en pédiatrie mais son arrêt de commercialisation en 2021 modifie la stratégie thérapeutique. La teigne doit absolument être connue car elle peut entraîner des séquelles alopéciques. Toute lésion du cuir chevelu est une teigne jusqu'à preuve du contraire. Un traitement systémique est indispensable.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72425 [article] Dermatophyties et dermatophytoses de l'enfant [texte imprimé] / Noémie Lachaume, Auteur . - 2015 . - 4-110-A-10.
Màj 2022
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-110-A-10
Catégories : DERMATOPHYTOSE ; ENFANT ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; MYCOSE Résumé :
Les dermatophytoses représentent la majeure partie des infections fongiques superficielles et sont fréquentes chez l'enfant. Leur transmission est majoritairement anthropophile ou zoophile. Chez l'enfant en bonne santé, l'infection fongique reste superficielle. La zone anatomique atteinte détermine l'indication à la réalisation d'un prélèvement mycologique et du traitement local et/ou systémique. Les traitements systémiques sont réservés aux teignes ainsi qu'aux onychomycoses et aux formes sévères de la peau glabre (formes multifocales, très étendues ou atteinte palmoplantaire). La griséofulvine est le seul antifongique systémique ayant l'autorisation de mise sur le marché (AMM) en pédiatrie mais son arrêt de commercialisation en 2021 modifie la stratégie thérapeutique. La teigne doit absolument être connue car elle peut entraîner des séquelles alopéciques. Toute lésion du cuir chevelu est une teigne jusqu'à preuve du contraire. Un traitement systémique est indispensable.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72425 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleDermites du siège chez le nourrisson / PLANTIN (P) in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-111-A-10
Titre : Dermites du siège chez le nourrisson Type de document : texte imprimé Auteurs : PLANTIN (P), Auteur ; M AMELINE, Auteur ; C FLEURET, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-111-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : DERMITE ; ENFANT:NOURRISSON ; ENFANT:NOUVEAU-NE ; PEAU Résumé :
Les dermites du siège sont secondaires, dans 95 % des cas, à l'occlusion de l'aire des langes chez les nourrissons et chez les enfants qui n'ont pas encore acquis la propreté. Malgré la technicité des changes jetables qui optimise leur pouvoir d'absorption, différents facteurs concourent à la survenue d'une dermite du siège, en dehors même de l'occlusion, comme le contact avec les urines et les fèces, les frottements, l'élévation locale de la température cutanée et l'existence éventuelle d'une infection associée. On peut aussi observer une atteinte du siège au cours de toutes les maladies dermatologiques et particulièrement au cours du psoriasis, au cours d'infections comme les candidoses cutanéomuqueuses, la maladie de Kawasaki ou la syphilis, ou lors de dermatoses carentielles comme l'acrodermatite entéropathique. Quelle que soit l'origine exacte des manifestations observées, l'occlusion est toujours un facteur favorisant ou aggravant. Si la dermite fessière ne survient pas dans un contexte de maladie générale, le traitement devra pallier les conséquences de l'occlusion (changes très absorbants et fréquemment renouvelés), aider à réparer la peau lésée du siège et tenter de minimiser les conséquences des contacts répétés du siège avec des substances irritantes, caustiques ou allergisantes. Obtenir la propreté est, de toute façon, le moyen le plus efficace de parvenir à la guérison. Le recours aux changes lavables qui a retrouvé une certaine actualité ces dernières années (à des fins de protection de l'environnement) pourrait être un facteur potentiel de recrudescence des dermites du siège dans les années qui viennent.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72426 [article] Dermites du siège chez le nourrisson [texte imprimé] / PLANTIN (P), Auteur ; M AMELINE, Auteur ; C FLEURET, Auteur . - 2015 . - 4-111-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-111-A-10
Catégories : DERMITE ; ENFANT:NOURRISSON ; ENFANT:NOUVEAU-NE ; PEAU Résumé :
Les dermites du siège sont secondaires, dans 95 % des cas, à l'occlusion de l'aire des langes chez les nourrissons et chez les enfants qui n'ont pas encore acquis la propreté. Malgré la technicité des changes jetables qui optimise leur pouvoir d'absorption, différents facteurs concourent à la survenue d'une dermite du siège, en dehors même de l'occlusion, comme le contact avec les urines et les fèces, les frottements, l'élévation locale de la température cutanée et l'existence éventuelle d'une infection associée. On peut aussi observer une atteinte du siège au cours de toutes les maladies dermatologiques et particulièrement au cours du psoriasis, au cours d'infections comme les candidoses cutanéomuqueuses, la maladie de Kawasaki ou la syphilis, ou lors de dermatoses carentielles comme l'acrodermatite entéropathique. Quelle que soit l'origine exacte des manifestations observées, l'occlusion est toujours un facteur favorisant ou aggravant. Si la dermite fessière ne survient pas dans un contexte de maladie générale, le traitement devra pallier les conséquences de l'occlusion (changes très absorbants et fréquemment renouvelés), aider à réparer la peau lésée du siège et tenter de minimiser les conséquences des contacts répétés du siège avec des substances irritantes, caustiques ou allergisantes. Obtenir la propreté est, de toute façon, le moyen le plus efficace de parvenir à la guérison. Le recours aux changes lavables qui a retrouvé une certaine actualité ces dernières années (à des fins de protection de l'environnement) pourrait être un facteur potentiel de recrudescence des dermites du siège dans les années qui viennent.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72426 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleDermatite atopique de l'enfant / A DAMMAK in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-112-A-10
Titre : Dermatite atopique de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : A DAMMAK, Auteur ; GUILLET (G), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-112-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ALLERGIE ; DERMATITE ATOPIFORME ; DERMATITE ATOPIQUE ; ENFANT ; FACTEURS GENETIQUES ; IMMUNITE Résumé :
La dermatite atopique, ou eczéma atopique, est une dermatose inflammatoire prurigineuse de prédisposition génétique évoluant par poussées récidivantes sur un fond de chronicité atteignant essentiellement le nourrisson et le petit enfant. L'évolution est le plus souvent régressive chez le grand enfant. D'origine multifactorielle, elle est sous la dépendance du système lymphocytaire TH2 avec tendance à la production d'immunoglobulines E et risque d'asthme, de rhinite ou conjonctivite définissant le terrain atopique. Sa prévalence est en augmentation dans les pays industrialisés. Le diagnostic est clinique, facilité par le recours à certains critères proposés initialement par Hanifin et Rajka puis simplifiés par Williams. La conférence de consensus qui a été dirigée par la Société française de dermatologie a vocation d'en simplifier la prise en charge en réservant les enquêtes allergologiques aux cas rebelles, sévères ou associés à des symptômes respiratoires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72427 [article] Dermatite atopique de l'enfant [texte imprimé] / A DAMMAK, Auteur ; GUILLET (G), Auteur . - 2015 . - 4-112-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-112-A-10
Catégories : ALLERGIE ; DERMATITE ATOPIFORME ; DERMATITE ATOPIQUE ; ENFANT ; FACTEURS GENETIQUES ; IMMUNITE Résumé :
La dermatite atopique, ou eczéma atopique, est une dermatose inflammatoire prurigineuse de prédisposition génétique évoluant par poussées récidivantes sur un fond de chronicité atteignant essentiellement le nourrisson et le petit enfant. L'évolution est le plus souvent régressive chez le grand enfant. D'origine multifactorielle, elle est sous la dépendance du système lymphocytaire TH2 avec tendance à la production d'immunoglobulines E et risque d'asthme, de rhinite ou conjonctivite définissant le terrain atopique. Sa prévalence est en augmentation dans les pays industrialisés. Le diagnostic est clinique, facilité par le recours à certains critères proposés initialement par Hanifin et Rajka puis simplifiés par Williams. La conférence de consensus qui a été dirigée par la Société française de dermatologie a vocation d'en simplifier la prise en charge en réservant les enquêtes allergologiques aux cas rebelles, sévères ou associés à des symptômes respiratoires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72427 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleTumeurs cutanées de l'enfant (hors tumeurs virales) / S FRAITAG in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-113-D-20
Titre : Tumeurs cutanées de l'enfant (hors tumeurs virales) Type de document : texte imprimé Auteurs : S FRAITAG, Auteur ; BODEMER C, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-113-D-20 Langues : Français (fre) Catégories : CANCEROLOGIE:CANCER:TUMEUR ; CUTANEE ; ENFANT ; PEAU ; SARCOME Résumé :
Les tumeurs de l'enfant sont des proliférations circonscrites, non inflammatoires, développées à partir des différents constituants de la peau. Ce terme regroupe donc des pathologies à potentiel malin aussi bien que des pathologies parfaitement bénignes. Leur multiplicité rend toute classification difficile et l'approche pratique d'un enfant porteur d'une lésion ou de plusieurs lésions tumorales cutanées tient plus d'une conduite et d'un raisonnement médical adapté que de la connaissance théorique d'un grand nombre d'affections potentielles. Ainsi, la démarche diagnostique utile aux cliniciens pédiatres est privilégiée, plutôt qu'une revue exhaustive de tout ce qui pourrait être considéré au sens large comme une « tumeur ». Par ailleurs, les classifications sont en perpétuelle réévaluation. Chez l'enfant, la très grande majorité des tumeurs sont bénignes. Toutefois, des tumeurs malignes peuvent se rencontrer, en particulier chez le nouveau-né et le nourrisson. Il s'agit alors d'un diagnostic d'urgence. Par ailleurs, la découverte d'une lésion tumorale chez un enfant entraîne chez les parents des réactions variables, tantôt une anxiété majeure, tantôt au contraire une banalisation. Face à cela, la réponse du médecin doit être cohérente, réfléchie et explicite.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72429 [article] Tumeurs cutanées de l'enfant (hors tumeurs virales) [texte imprimé] / S FRAITAG, Auteur ; BODEMER C, Auteur . - 2015 . - 4-113-D-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-113-D-20
Catégories : CANCEROLOGIE:CANCER:TUMEUR ; CUTANEE ; ENFANT ; PEAU ; SARCOME Résumé :
Les tumeurs de l'enfant sont des proliférations circonscrites, non inflammatoires, développées à partir des différents constituants de la peau. Ce terme regroupe donc des pathologies à potentiel malin aussi bien que des pathologies parfaitement bénignes. Leur multiplicité rend toute classification difficile et l'approche pratique d'un enfant porteur d'une lésion ou de plusieurs lésions tumorales cutanées tient plus d'une conduite et d'un raisonnement médical adapté que de la connaissance théorique d'un grand nombre d'affections potentielles. Ainsi, la démarche diagnostique utile aux cliniciens pédiatres est privilégiée, plutôt qu'une revue exhaustive de tout ce qui pourrait être considéré au sens large comme une « tumeur ». Par ailleurs, les classifications sont en perpétuelle réévaluation. Chez l'enfant, la très grande majorité des tumeurs sont bénignes. Toutefois, des tumeurs malignes peuvent se rencontrer, en particulier chez le nouveau-né et le nourrisson. Il s'agit alors d'un diagnostic d'urgence. Par ailleurs, la découverte d'une lésion tumorale chez un enfant entraîne chez les parents des réactions variables, tantôt une anxiété majeure, tantôt au contraire une banalisation. Face à cela, la réponse du médecin doit être cohérente, réfléchie et explicite.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72429 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleDermatoses bulleuses de l'enfant / E CINOTTI in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-113-D-30
Titre : Dermatoses bulleuses de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : E CINOTTI, Auteur ; F. CAMBAZARD, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-113-D-30 Langues : Français (fre) Catégories : DERMATITE BULLEUSE ; DERMATOSE ; HYGIENE:INFECTION ; PATHOLOGIE HEREDITAIRE Résumé :
Les dermatoses bulleuses sont définies par la présence d'une bulle ou d'une vésicule, lésions cutanées élémentaires qui correspondent à une cavité à contenu liquide, se produisant dans ou sous l'épiderme. Les mécanismes physiopathogéniques responsables de ces dermatoses sont très variés. Ces dermatoses peuvent être provoquées par des infections bactériennes (impétigo, épidermolyse aiguë staphylococcique, érysipèle bulleux, syphilis congénitale) ou virales (herpès, zona, maladie pied-main-bouche), par des médicaments (syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell), par des facteurs externes mécaniques, chimiques ou thermiques, par des maladies héréditaires (épidermolyse bulleuses héréditaires, ichtyoses bulleuses, incontinentia pigmenti, acrodermatite entéropathique, dermatose acantholytique familiale de Hailey-Hailey), par des maladies auto-immunes (pemphigoïde bulleuse de l'enfant, dermatose à immunoglobuline A linéaire de l'enfant, dermatite herpétiforme, épidermolyse bulleuse acquise, pemphigus vulgaire, pemphigus foliacé), et aussi par des maladies bulleuses auto-immunes transmises de la mère à l'enfant (pemphigoïde de la grossesse, pemphigus néonatal). Il existe aussi des dermatoses inconstamment bulleuses, telles que les mastocytoses, les vascularites leucocytoclasiques, le lupus érythémateux aigu disséminé, la réaction du greffon contre l'hôte. Les causes infectieuses et héréditaires sont plus fréquentes que chez l'adulte. Cet article considère l'aspect épidémiologique, clinique, diagnostique et thérapeutique de ces dermatoses. Comme pour toute pathologie dermatologique, l'interrogatoire et l'examen clinique sont essentiels pour le diagnostic. En cas de suspicion de maladie bulleuse auto-immune, des examens complémentaires tels qu'un examen histopathologique et une immunofluorescence directe et indirecte sont nécessaires. Un diagnostic étiologique correct est fondamental car le pronostic de ce groupe de dermatoses est également très variable, allant de formes rapidement résolutives à des maladies potentiellement mortelles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72459 [article] Dermatoses bulleuses de l'enfant [texte imprimé] / E CINOTTI, Auteur ; F. CAMBAZARD, Auteur . - 2015 . - 4-113-D-30.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-113-D-30
Catégories : DERMATITE BULLEUSE ; DERMATOSE ; HYGIENE:INFECTION ; PATHOLOGIE HEREDITAIRE Résumé :
Les dermatoses bulleuses sont définies par la présence d'une bulle ou d'une vésicule, lésions cutanées élémentaires qui correspondent à une cavité à contenu liquide, se produisant dans ou sous l'épiderme. Les mécanismes physiopathogéniques responsables de ces dermatoses sont très variés. Ces dermatoses peuvent être provoquées par des infections bactériennes (impétigo, épidermolyse aiguë staphylococcique, érysipèle bulleux, syphilis congénitale) ou virales (herpès, zona, maladie pied-main-bouche), par des médicaments (syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell), par des facteurs externes mécaniques, chimiques ou thermiques, par des maladies héréditaires (épidermolyse bulleuses héréditaires, ichtyoses bulleuses, incontinentia pigmenti, acrodermatite entéropathique, dermatose acantholytique familiale de Hailey-Hailey), par des maladies auto-immunes (pemphigoïde bulleuse de l'enfant, dermatose à immunoglobuline A linéaire de l'enfant, dermatite herpétiforme, épidermolyse bulleuse acquise, pemphigus vulgaire, pemphigus foliacé), et aussi par des maladies bulleuses auto-immunes transmises de la mère à l'enfant (pemphigoïde de la grossesse, pemphigus néonatal). Il existe aussi des dermatoses inconstamment bulleuses, telles que les mastocytoses, les vascularites leucocytoclasiques, le lupus érythémateux aigu disséminé, la réaction du greffon contre l'hôte. Les causes infectieuses et héréditaires sont plus fréquentes que chez l'adulte. Cet article considère l'aspect épidémiologique, clinique, diagnostique et thérapeutique de ces dermatoses. Comme pour toute pathologie dermatologique, l'interrogatoire et l'examen clinique sont essentiels pour le diagnostic. En cas de suspicion de maladie bulleuse auto-immune, des examens complémentaires tels qu'un examen histopathologique et une immunofluorescence directe et indirecte sont nécessaires. Un diagnostic étiologique correct est fondamental car le pronostic de ce groupe de dermatoses est également très variable, allant de formes rapidement résolutives à des maladies potentiellement mortelles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72459 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAcné / Caroline Goeller in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-114-A-10
Titre : Acné Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Goeller, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-114-A-10 Note générale : Màj 2022 Langues : Français (fre) Catégories : DERMATOLOGIE ; DERMATOLOGIE:ACNE ; PUBERTE Résumé :
L'acné est une pathologie cutanée inflammatoire chronique fréquente touchant le follicule pilosébacé. Elle survient surtout lors des modifications hormonales, en particulier pendant l'adolescence, mais peut se voir à tout âge. L'inflammation et les modifications hormonales entraînent une altération du fonctionnement du follicule pilosébacé avec une production excessive de sébum et une kératinisation anormale du follicule à l'origine de l'obstruction des pores et responsable des lésions présentes dans l'acné. L'inflammation est un précurseur indispensable au développement de la lésion acnéique et dans l'évolution de cette pathologie. L'acné juvénile polymorphe représente la forme commune de l'adolescent. On retrouve une association de lésions rétentionnelles et inflammatoires sur un fond de séborrhée sur le visage et parfois le haut du dos et le décolleté. Les acnés néonatale, infantile et prépubertaire, moins connues, entraînent souvent un retard diagnostique. L'examen physique recherche systématiquement des signes de virilisation et de puberté précoce qui nécessiteraient une prise en charge adaptée. L'acné est une dermatose « affichante », évoluant pendant plusieurs années. Elle peut avoir des répercutions psychosociales et ainsi altérer la qualité de vie. Elle est également à risque de séquelles cicatricielles. Les traitements de l'acné sont uniquement suspensifs (à l'exception de l'isotrétinoïne). Les traitements topiques représentent les traitements de première intention : peroxyde de benzoyle, rétinoïdes topiques, antibiotiques topiques, acide azélaïque, avec des possibilités d'associer certaines molécules. Parmi les traitements systémiques, on peut citer les antibiotiques oraux et l'isotrétinoïne. L'observance thérapeutique est nécessaire pour une efficacité optimale avec une réévaluation à 3 mois de chaque ligne thérapeutique introduite et une poursuite du traitement d'entretien aussi longtemps que nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72460 [article] Acné [texte imprimé] / Caroline Goeller, Auteur . - 2015 . - 4-114-A-10.
Màj 2022
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-114-A-10
Catégories : DERMATOLOGIE ; DERMATOLOGIE:ACNE ; PUBERTE Résumé :
L'acné est une pathologie cutanée inflammatoire chronique fréquente touchant le follicule pilosébacé. Elle survient surtout lors des modifications hormonales, en particulier pendant l'adolescence, mais peut se voir à tout âge. L'inflammation et les modifications hormonales entraînent une altération du fonctionnement du follicule pilosébacé avec une production excessive de sébum et une kératinisation anormale du follicule à l'origine de l'obstruction des pores et responsable des lésions présentes dans l'acné. L'inflammation est un précurseur indispensable au développement de la lésion acnéique et dans l'évolution de cette pathologie. L'acné juvénile polymorphe représente la forme commune de l'adolescent. On retrouve une association de lésions rétentionnelles et inflammatoires sur un fond de séborrhée sur le visage et parfois le haut du dos et le décolleté. Les acnés néonatale, infantile et prépubertaire, moins connues, entraînent souvent un retard diagnostique. L'examen physique recherche systématiquement des signes de virilisation et de puberté précoce qui nécessiteraient une prise en charge adaptée. L'acné est une dermatose « affichante », évoluant pendant plusieurs années. Elle peut avoir des répercutions psychosociales et ainsi altérer la qualité de vie. Elle est également à risque de séquelles cicatricielles. Les traitements de l'acné sont uniquement suspensifs (à l'exception de l'isotrétinoïne). Les traitements topiques représentent les traitements de première intention : peroxyde de benzoyle, rétinoïdes topiques, antibiotiques topiques, acide azélaïque, avec des possibilités d'associer certaines molécules. Parmi les traitements systémiques, on peut citer les antibiotiques oraux et l'isotrétinoïne. L'observance thérapeutique est nécessaire pour une efficacité optimale avec une réévaluation à 3 mois de chaque ligne thérapeutique introduite et une poursuite du traitement d'entretien aussi longtemps que nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72460 Exemplaires
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DisponibleEctoparasitoses : poux et gale / S BOUVRESSE in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-114-B-10
Titre : Ectoparasitoses : poux et gale Type de document : texte imprimé Auteurs : S BOUVRESSE, Auteur ; Olivier CHOSIDOW, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-114-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : GALE ; POUX Résumé :
Les ectoparasitoses sont des dermatoses parasitaires ubiquitaires et contagieuses essentiellement représentées par les pédiculoses et la gale humaine. Elles sont très répandues dans le monde. Les pédiculoses du cuir chevelu constituent d'une certaine manière un enjeu de santé publique au vu de leur importante prévalence en milieu scolaire et des problèmes thérapeutiques (résistance aux insecticides, rôle néfaste possible de ces pesticides). Les poux du corps affectent essentiellement les sujets en situation de grande précarité et peuvent être les vecteurs d'infections bactériennes parfois sévères pouvant sévir sous forme d'épidémie. La pédiculose pubienne et la gale font partie des maladies sexuellement transmissibles. La gale est fréquente dans les collectivités comme les maisons de retraite, les services de long séjour pour sujets âgés, les prisons ou les foyers d'accueil. Elles posent parfois de difficiles problèmes diagnostiques et thérapeutiques en fonction de l'âge du patient et du terrain. La prise en charge de la gale est désormais facilitée par la possibilité d'un traitement oral par ivermectine, notamment pour les cas de gale profuse ou en collectivité. Le développement de nouveaux agents antiparasitaires et l'émergence de résistances aux insecticides doivent faire réévaluer les stratégies de prise en charge de ces ectoparasitoses.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72462 [article] Ectoparasitoses : poux et gale [texte imprimé] / S BOUVRESSE, Auteur ; Olivier CHOSIDOW, Auteur . - 2015 . - 4-114-B-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : GALE ; POUX Résumé :
Les ectoparasitoses sont des dermatoses parasitaires ubiquitaires et contagieuses essentiellement représentées par les pédiculoses et la gale humaine. Elles sont très répandues dans le monde. Les pédiculoses du cuir chevelu constituent d'une certaine manière un enjeu de santé publique au vu de leur importante prévalence en milieu scolaire et des problèmes thérapeutiques (résistance aux insecticides, rôle néfaste possible de ces pesticides). Les poux du corps affectent essentiellement les sujets en situation de grande précarité et peuvent être les vecteurs d'infections bactériennes parfois sévères pouvant sévir sous forme d'épidémie. La pédiculose pubienne et la gale font partie des maladies sexuellement transmissibles. La gale est fréquente dans les collectivités comme les maisons de retraite, les services de long séjour pour sujets âgés, les prisons ou les foyers d'accueil. Elles posent parfois de difficiles problèmes diagnostiques et thérapeutiques en fonction de l'âge du patient et du terrain. La prise en charge de la gale est désormais facilitée par la possibilité d'un traitement oral par ivermectine, notamment pour les cas de gale profuse ou en collectivité. Le développement de nouveaux agents antiparasitaires et l'émergence de résistances aux insecticides doivent faire réévaluer les stratégies de prise en charge de ces ectoparasitoses.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72462 Exemplaires
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DisponiblePhotodermatoses, Photoprotection / P Amblard in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-115-A-10
Titre : Photodermatoses, Photoprotection Type de document : texte imprimé Auteurs : P Amblard, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-115-A-10 Langues : Français (fre) Résumé :
Les photodermatoses de l'enfant sont nombreuses. On distingue : les photodermatoses par déficience d'un des moyens de photoprotection naturelle (anomalies de la formation et/ou de la distribution de la mélanine), déficits des systèmes de réparation de l'acide désoxyribonucléique (ADN) ; les photosensibilisations endogènes (porphyries, troubles du métabolisme du tryptophane) ; les photosensibilisations exogènes de contact ou par apport interne du photosensibilisant ; les lucites idiopathiques (hydroa vacciniforme, photodermatose printanière juvénile, lucite polymorphe, prurigo, urticaire) ; les dermatoses révélées ou aggravées par la lumière.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72465 [article] Photodermatoses, Photoprotection [texte imprimé] / P Amblard, Auteur . - 2015 . - 4-115-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-115-A-10
Résumé :
Les photodermatoses de l'enfant sont nombreuses. On distingue : les photodermatoses par déficience d'un des moyens de photoprotection naturelle (anomalies de la formation et/ou de la distribution de la mélanine), déficits des systèmes de réparation de l'acide désoxyribonucléique (ADN) ; les photosensibilisations endogènes (porphyries, troubles du métabolisme du tryptophane) ; les photosensibilisations exogènes de contact ou par apport interne du photosensibilisant ; les lucites idiopathiques (hydroa vacciniforme, photodermatose printanière juvénile, lucite polymorphe, prurigo, urticaire) ; les dermatoses révélées ou aggravées par la lumière.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72465 Exemplaires
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DisponibleUrticaires de l'enfant / M AMELINE in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-115-B-20
Titre : Urticaires de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : M AMELINE, Auteur ; C FLEURET, Auteur ; PLANTIN (P), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-115-B-20 Langues : Français (fre) Catégories : ENFANT ; URTICAIRE Résumé :
L'urticaire est un motif fréquent de consultation pédiatrique. Ses mécanismes physiopathologiques sont de mieux en mieux élucidés et permettent actuellement de distinguer des urticaires immunologiques et non immunologiques. L'œdème dermique de l'urticaire est lié à une vasodilatation capillaire provoquée par l'histamine. Le diagnostic est clinique et nécessite rarement des investigations complémentaires. Chez l'enfant, les étiologies de l'urticaire diffèrent de celles de l'adulte et sont dominées par les infections virales, les médicaments et les urticaires physiques. Rarement, l'urticaire peut être l'expression d'une maladie sous-jacente, inflammatoire, auto-inflammatoire ou auto-immune. La grande majorité des urticaires de l'enfant est aiguë, mais près d'un tiers semblent évoluer en urticaire chronique. En cas d'urticaire chronique résistant au traitement antihistaminique, un bilan biologique de première intention (NFS [numération formule sanguine], VS [vitesse de sédimentation]/CRP [C reactive protein], bilan thyroïdien) est recommandé et sera complété par d'autres explorations uniquement s'il existe des signes d'orientation clinique ou anamnestique. La prise en charge de cette pathologie est primordiale car l'urticaire peut altérer la qualité de vie et certaines formes engagent le pronostic vital. Le traitement des formes non compliquées repose sur les antihistaminiques anti-H1 de seconde génération. Les corticoïdes généraux sont à éviter car ils peuvent induire une corticodépendance. Les formes compliquées de choc anaphylactique sont une urgence médicale et nécessitent l'injection d'adrénaline intramusculaire ou sous-cutanée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72466 [article] Urticaires de l'enfant [texte imprimé] / M AMELINE, Auteur ; C FLEURET, Auteur ; PLANTIN (P), Auteur . - 2015 . - 4-115-B-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-115-B-20
Catégories : ENFANT ; URTICAIRE Résumé :
L'urticaire est un motif fréquent de consultation pédiatrique. Ses mécanismes physiopathologiques sont de mieux en mieux élucidés et permettent actuellement de distinguer des urticaires immunologiques et non immunologiques. L'œdème dermique de l'urticaire est lié à une vasodilatation capillaire provoquée par l'histamine. Le diagnostic est clinique et nécessite rarement des investigations complémentaires. Chez l'enfant, les étiologies de l'urticaire diffèrent de celles de l'adulte et sont dominées par les infections virales, les médicaments et les urticaires physiques. Rarement, l'urticaire peut être l'expression d'une maladie sous-jacente, inflammatoire, auto-inflammatoire ou auto-immune. La grande majorité des urticaires de l'enfant est aiguë, mais près d'un tiers semblent évoluer en urticaire chronique. En cas d'urticaire chronique résistant au traitement antihistaminique, un bilan biologique de première intention (NFS [numération formule sanguine], VS [vitesse de sédimentation]/CRP [C reactive protein], bilan thyroïdien) est recommandé et sera complété par d'autres explorations uniquement s'il existe des signes d'orientation clinique ou anamnestique. La prise en charge de cette pathologie est primordiale car l'urticaire peut altérer la qualité de vie et certaines formes engagent le pronostic vital. Le traitement des formes non compliquées repose sur les antihistaminiques anti-H1 de seconde génération. Les corticoïdes généraux sont à éviter car ils peuvent induire une corticodépendance. Les formes compliquées de choc anaphylactique sont une urgence médicale et nécessitent l'injection d'adrénaline intramusculaire ou sous-cutanée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72466 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleCorticothérapie locale cutanée / F LEANDRO in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-116-A-20
Titre : Corticothérapie locale cutanée : Màj 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : F LEANDRO, Auteur ; S Mallet, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-116-A-20 Langues : Français (fre) Catégories : CORTICOPHOBIE ; DERMATITE ATOPIQUE ; DERMATOLOGIE:ECZEMA ; DERMOCORTICOIDE ; EDUCATION THERAPEUTIQUE ; ENFANT ; TRAITEMENT:CORTICOTHERAPIE Résumé :
Les dermocorticoïdes sont aujourd'hui l'un des traitements topiques les plus souvent prescrits chez l'adulte, mais également chez l'enfant. Ils agissent principalement en régulant la transcription de nombreux gènes, ce qui leur permet in fine d'avoir des propriétés anti-inflammatoire, vasoconstrictrice, immunosuppressive et antimitotique. La corticothérapie locale cutanée a littéralement bouleversé la prise en charge et le pronostic de la dermatite atopique ainsi que de nombreuses autres dermatoses inflammatoires aiguës ou chroniques comme le psoriasis. Cependant, malgré leur efficacité, leur tolérance, leur utilité et le recul depuis leur introduction dans les années 1950, les dermocorticoïdes sont la cible d'une corticophobie. Cette peur non justifiée des dermocorticoïdes est source de défaut d'observance et constitue le principal frein au bon usage et à l'efficacité de la corticothérapie locale cutanée. Les effets secondaires d'un traitement par dermocorticoïdes pratiqué correctement sont extrêmement rares et n'ont rien de superposable avec ceux connus d'une corticothérapie générale. Ainsi, le recours aux dermocorticoïdes ne peut s'envisager que de façon personnalisée, en tenant compte de l'âge du patient, de sa pathologie ou encore de la localisation et de l'aspect des lésions. Le médecin prescripteur et l'ensemble des professionnels de santé doivent participer à l'éducation du patient pour que celui-ci utilise les dermocorticoïdes de façon optimale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72467 [article] Corticothérapie locale cutanée : Màj 2019 [texte imprimé] / F LEANDRO, Auteur ; S Mallet, Auteur . - 2015 . - 4-116-A-20.
Langues : Français (fre)
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Catégories : CORTICOPHOBIE ; DERMATITE ATOPIQUE ; DERMATOLOGIE:ECZEMA ; DERMOCORTICOIDE ; EDUCATION THERAPEUTIQUE ; ENFANT ; TRAITEMENT:CORTICOTHERAPIE Résumé :
Les dermocorticoïdes sont aujourd'hui l'un des traitements topiques les plus souvent prescrits chez l'adulte, mais également chez l'enfant. Ils agissent principalement en régulant la transcription de nombreux gènes, ce qui leur permet in fine d'avoir des propriétés anti-inflammatoire, vasoconstrictrice, immunosuppressive et antimitotique. La corticothérapie locale cutanée a littéralement bouleversé la prise en charge et le pronostic de la dermatite atopique ainsi que de nombreuses autres dermatoses inflammatoires aiguës ou chroniques comme le psoriasis. Cependant, malgré leur efficacité, leur tolérance, leur utilité et le recul depuis leur introduction dans les années 1950, les dermocorticoïdes sont la cible d'une corticophobie. Cette peur non justifiée des dermocorticoïdes est source de défaut d'observance et constitue le principal frein au bon usage et à l'efficacité de la corticothérapie locale cutanée. Les effets secondaires d'un traitement par dermocorticoïdes pratiqué correctement sont extrêmement rares et n'ont rien de superposable avec ceux connus d'une corticothérapie générale. Ainsi, le recours aux dermocorticoïdes ne peut s'envisager que de façon personnalisée, en tenant compte de l'âge du patient, de sa pathologie ou encore de la localisation et de l'aspect des lésions. Le médecin prescripteur et l'ensemble des professionnels de santé doivent participer à l'éducation du patient pour que celui-ci utilise les dermocorticoïdes de façon optimale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72467 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleRétinoblastome in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-A-20
Titre : Rétinoblastome Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-120-A-20 Langues : Français (fre) Catégories : CANCEROLOGIE:CANCER ; CANCEROLOGIE:CANCER:TUMEUR ; CANCEROLOGIE:CHIMIOTHERAPIE ; ENFANT ; ENUCLEATION ; HYPERTHERMIE ; RETINOBLASTOME Résumé :
Le rétinoblastome est la tumeur maligne intraoculaire la plus fréquente de l'enfant. Son incidence est de 1/15 000 naissances. Dans environ 60 % des cas la tumeur est unilatérale, avec un âge médian au diagnostic de 2 ans : la plupart de ces formes sont non héréditaires. Dans 40% des cas la tumeur est bilatérale et toujours héréditaire, découverte à un âge médian de 1 an. Le rétinoblastome héréditaire constitue un syndrome de prédisposition génétique au cancer : un sujet porteur d'une mutation constitutionnelle du gène RB1 présente un risque supérieur à 90 % de développer un rétinoblastome et est par ailleurs exposé au risque de tumeur secondaire. Les deux signes révélateurs les plus fréquents sont la leucocorie et le strabisme. L'examen du fond d'œil permet le diagnostic, l'imagerie pouvant y contribuer. La prise en charge des patients doit prendre en compte divers facteurs : le potentiel visuel, la nature possiblement héréditaire de l'affection et le risque vital. Dans les pays industrialisés, son pronostic est bon puisque plus de 95 % des enfants sont guéris ; toutefois, les patients atteints de forme héréditaire de rétinoblastome risquent de développer des cancers secondaires et donc d'avoir une espérance de vie diminuée. Dans les pays pauvres, le diagnostic généralement trop tardif et les moyens thérapeutiques parfois non disponibles font que le rétinoblastome reste souvent mortel. Une énucléation est couramment nécessaire en cas de forme unilatérale, un traitement adjuvant étant indiqué en fonction des facteurs de risques histologiques. Un traitement conservateur pour au moins un œil est possible dans la plupart des formes bilatérales : cryothérapie, laser, curiethérapie par disque d'iode, thermochimiothérapie. Les indications de radiothérapie externe sont aujourd'hui limitées aux grosses tumeurs avec essaimage vitréen ou aux rechutes, en raison des effets tardifs dont les sarcomes secondaires en territoire irradié. Un suivi à long terme et une information précoce des patients et de leur famille concernant les risques de transmission et de tumeurs secondaires est nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72468 [article] Rétinoblastome [texte imprimé] . - 2015 . - 4-120-A-20.
Langues : Français (fre)
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Catégories : CANCEROLOGIE:CANCER ; CANCEROLOGIE:CANCER:TUMEUR ; CANCEROLOGIE:CHIMIOTHERAPIE ; ENFANT ; ENUCLEATION ; HYPERTHERMIE ; RETINOBLASTOME Résumé :
Le rétinoblastome est la tumeur maligne intraoculaire la plus fréquente de l'enfant. Son incidence est de 1/15 000 naissances. Dans environ 60 % des cas la tumeur est unilatérale, avec un âge médian au diagnostic de 2 ans : la plupart de ces formes sont non héréditaires. Dans 40% des cas la tumeur est bilatérale et toujours héréditaire, découverte à un âge médian de 1 an. Le rétinoblastome héréditaire constitue un syndrome de prédisposition génétique au cancer : un sujet porteur d'une mutation constitutionnelle du gène RB1 présente un risque supérieur à 90 % de développer un rétinoblastome et est par ailleurs exposé au risque de tumeur secondaire. Les deux signes révélateurs les plus fréquents sont la leucocorie et le strabisme. L'examen du fond d'œil permet le diagnostic, l'imagerie pouvant y contribuer. La prise en charge des patients doit prendre en compte divers facteurs : le potentiel visuel, la nature possiblement héréditaire de l'affection et le risque vital. Dans les pays industrialisés, son pronostic est bon puisque plus de 95 % des enfants sont guéris ; toutefois, les patients atteints de forme héréditaire de rétinoblastome risquent de développer des cancers secondaires et donc d'avoir une espérance de vie diminuée. Dans les pays pauvres, le diagnostic généralement trop tardif et les moyens thérapeutiques parfois non disponibles font que le rétinoblastome reste souvent mortel. Une énucléation est couramment nécessaire en cas de forme unilatérale, un traitement adjuvant étant indiqué en fonction des facteurs de risques histologiques. Un traitement conservateur pour au moins un œil est possible dans la plupart des formes bilatérales : cryothérapie, laser, curiethérapie par disque d'iode, thermochimiothérapie. Les indications de radiothérapie externe sont aujourd'hui limitées aux grosses tumeurs avec essaimage vitréen ou aux rechutes, en raison des effets tardifs dont les sarcomes secondaires en territoire irradié. Un suivi à long terme et une information précoce des patients et de leur famille concernant les risques de transmission et de tumeurs secondaires est nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72468 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePathologie lacrymale chez le nourrisson et l'enfant / F MANN in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-C-10
Titre : Pathologie lacrymale chez le nourrisson et l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : F MANN, Auteur ; D SCHAPIRO, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-120-C-10 Langues : Français (fre) Catégories : CANAL LACRYMAL ; GLAUCOME ; INTUBATION Résumé :
Le larmoiement de l'enfant est un problème auquel le pédiatre et l'ophtalmologiste sont confrontés régulièrement. La pathologie lacrymale concerne un vaste ensemble de structures permettant aussi bien la sécrétion que l'étalement et l'excrétion des larmes. Les alacrymies sont rares chez le nourrisson. L'imperforation lacrymonasale est la principale cause de larmoiement du nourrisson. Son évolution spontanée est favorable dans la majorité des cas. Le sondage au cabinet avant l'âge d'un an permet, en cas de succès, d'éviter le sondage sous anesthésie générale. Un larmoiement clair, associé à une photophobie, une mégalocornée ou une buphtalmie, doit faire évoquer le diagnostic de glaucome congénital.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72469 [article] Pathologie lacrymale chez le nourrisson et l'enfant [texte imprimé] / F MANN, Auteur ; D SCHAPIRO, Auteur . - 2015 . - 4-120-C-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-C-10
Catégories : CANAL LACRYMAL ; GLAUCOME ; INTUBATION Résumé :
Le larmoiement de l'enfant est un problème auquel le pédiatre et l'ophtalmologiste sont confrontés régulièrement. La pathologie lacrymale concerne un vaste ensemble de structures permettant aussi bien la sécrétion que l'étalement et l'excrétion des larmes. Les alacrymies sont rares chez le nourrisson. L'imperforation lacrymonasale est la principale cause de larmoiement du nourrisson. Son évolution spontanée est favorable dans la majorité des cas. Le sondage au cabinet avant l'âge d'un an permet, en cas de succès, d'éviter le sondage sous anesthésie générale. Un larmoiement clair, associé à une photophobie, une mégalocornée ou une buphtalmie, doit faire évoquer le diagnostic de glaucome congénital.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72469 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleStrabisme chez l'enfant / Emmanuel Bui Quoc in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-D-10
Titre : Strabisme chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Bui Quoc, Auteur ; M SADAOUI, Auteur ; M-A EPINASSE-BERROD, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-120-D-10 Langues : Français (fre) Catégories : ENFANT ; OPHTALMOLOGIE:AMBLYOPIE ; STRABISME Résumé :
Le strabisme est une pathologie plurielle aux aspects cliniques variés et dont les causes sont multiples. Le pronostic des strabismes est corrélé à l'âge d'apparition de la pathologie, du fait de l'influence de l'expérience visuelle sur la maturation de la fonction visuelle pendant la période sensible du développement visuel, qui se poursuit après la naissance jusqu'à l'âge de 6 ans au moins. Un examen ophtalmologique est indispensable en cas de strabisme ou de suspicion de strabisme. Un strabisme peut révéler une anomalie organique oculaire qu'il faut éliminer par un examen attentif avec un fond d'œil systématique. Tout strabisme peut perturber la vision et entraîner une amblyopie qui, elle-même, peut induire un strabisme. En cas de strabisme précoce, la vision binoculaire reste altérée ; en cas de strabisme plus tardif, le traitement a pour objectifs : prévention et traitement de l'amblyopie, obtention de la rectitude des yeux, préservation ou restauration d'une vision binoculaire satisfaisante. Le traitement du strabisme chez l'enfant doit être hiérarchisé : il faut d'abord restaurer un état sensoriel satisfaisant, par différents procédés associés : correction optique totale après réfraction sous cycloplégie, traitement ou prévention de l'amblyopie par occlusion ou pénalisation optique et/ou pharmacologique du bon œil. Dans un second temps, après obtention d'un état sensoriel satisfaisant, une solution chirurgicale peut être apportée à la déviation des yeux. La prise en charge spécialisée la plus précoce possible est, dans tous les cas, nécessaire pour améliorer le résultat anatomique et le résultat fonctionnel de la thérapeutique entreprise.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72470 [article] Strabisme chez l'enfant [texte imprimé] / Emmanuel Bui Quoc, Auteur ; M SADAOUI, Auteur ; M-A EPINASSE-BERROD, Auteur . - 2015 . - 4-120-D-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-D-10
Catégories : ENFANT ; OPHTALMOLOGIE:AMBLYOPIE ; STRABISME Résumé :
Le strabisme est une pathologie plurielle aux aspects cliniques variés et dont les causes sont multiples. Le pronostic des strabismes est corrélé à l'âge d'apparition de la pathologie, du fait de l'influence de l'expérience visuelle sur la maturation de la fonction visuelle pendant la période sensible du développement visuel, qui se poursuit après la naissance jusqu'à l'âge de 6 ans au moins. Un examen ophtalmologique est indispensable en cas de strabisme ou de suspicion de strabisme. Un strabisme peut révéler une anomalie organique oculaire qu'il faut éliminer par un examen attentif avec un fond d'œil systématique. Tout strabisme peut perturber la vision et entraîner une amblyopie qui, elle-même, peut induire un strabisme. En cas de strabisme précoce, la vision binoculaire reste altérée ; en cas de strabisme plus tardif, le traitement a pour objectifs : prévention et traitement de l'amblyopie, obtention de la rectitude des yeux, préservation ou restauration d'une vision binoculaire satisfaisante. Le traitement du strabisme chez l'enfant doit être hiérarchisé : il faut d'abord restaurer un état sensoriel satisfaisant, par différents procédés associés : correction optique totale après réfraction sous cycloplégie, traitement ou prévention de l'amblyopie par occlusion ou pénalisation optique et/ou pharmacologique du bon œil. Dans un second temps, après obtention d'un état sensoriel satisfaisant, une solution chirurgicale peut être apportée à la déviation des yeux. La prise en charge spécialisée la plus précoce possible est, dans tous les cas, nécessaire pour améliorer le résultat anatomique et le résultat fonctionnel de la thérapeutique entreprise.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72470 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleEnfant polytraumatisé / Fabien TRABOLD in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-126-A-40
Titre : Enfant polytraumatisé Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabien TRABOLD, Auteur ; Gilles ORLIAGUET, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-126-A-40 Langues : Français (fre) Catégories : ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; ETAT DE CHOC ; POLYTRAUMATISME ; TRAUMATISME:TRAUMATISME CRANIEN Résumé :
Les traumatismes graves de l'enfant représentent le tiers de la mortalité infantile, et la première cause de décès après l'âge de 1 an. L'expérience a montré que les meilleures chances de survie étaient obtenues lorsque ces patients bénéficiaient des soins optimaux dans les premières heures après l'accident. La prise en charge d'un enfant polytraumatisé comprend l'évaluation et le traitement des détresses vitales immédiates. La détresse ventilatoire est fréquente chez l'enfant et l'intubation orotrachéale a des indications larges. Le choc hémorragique est la principale cause de détresse circulatoire. Son traitement passe par le contrôle des hémorragies extériorisées, le remplissage vasculaire parfois associé à la prescription d'amines vasopressives. Enfin, la prise en charge de la détresse neurologique, souvent au premier plan en raison de la fréquence du traumatisme crânien dans cette population (plus de 85 % des cas), associe le maintien d'une normoxie, d'une normocapnie et d'une pression de perfusion cérébrale suffisante. La stratégie de prescription des examens complémentaires chez l'enfant polytraumatisé est comparable à celle développée chez l'adulte. Le bilan prescrit vise à obtenir un bilan lésionnel aussi précis que possible sans retarder le traitement étiologique. Ces pratiques, mises en oeuvre précocement, doivent permettre de diminuer la mortalité et la morbidité infantiles post-traumatiques précoces.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72472 [article] Enfant polytraumatisé [texte imprimé] / Fabien TRABOLD, Auteur ; Gilles ORLIAGUET, Auteur . - 2015 . - 4-126-A-40.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-126-A-40
Catégories : ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; ETAT DE CHOC ; POLYTRAUMATISME ; TRAUMATISME:TRAUMATISME CRANIEN Résumé :
Les traumatismes graves de l'enfant représentent le tiers de la mortalité infantile, et la première cause de décès après l'âge de 1 an. L'expérience a montré que les meilleures chances de survie étaient obtenues lorsque ces patients bénéficiaient des soins optimaux dans les premières heures après l'accident. La prise en charge d'un enfant polytraumatisé comprend l'évaluation et le traitement des détresses vitales immédiates. La détresse ventilatoire est fréquente chez l'enfant et l'intubation orotrachéale a des indications larges. Le choc hémorragique est la principale cause de détresse circulatoire. Son traitement passe par le contrôle des hémorragies extériorisées, le remplissage vasculaire parfois associé à la prescription d'amines vasopressives. Enfin, la prise en charge de la détresse neurologique, souvent au premier plan en raison de la fréquence du traumatisme crânien dans cette population (plus de 85 % des cas), associe le maintien d'une normoxie, d'une normocapnie et d'une pression de perfusion cérébrale suffisante. La stratégie de prescription des examens complémentaires chez l'enfant polytraumatisé est comparable à celle développée chez l'adulte. Le bilan prescrit vise à obtenir un bilan lésionnel aussi précis que possible sans retarder le traitement étiologique. Ces pratiques, mises en oeuvre précocement, doivent permettre de diminuer la mortalité et la morbidité infantiles post-traumatiques précoces.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72472 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleDouleurs en fin de vie en situation de soins palliatifs (hors périnatalogie) / Alain De Broca in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-170-C-20
Titre : Douleurs en fin de vie en situation de soins palliatifs (hors périnatalogie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain De Broca, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-170-C-20 Langues : Français (fre) Catégories : DEUIL ; DIRECTIVES ANTICIPEES ; ETHIQUE ; OBSTINATION DERAISONNABLE ; SEDATION ; SOINS PALLIATIFS PEDIATRIQUES ; THANATOLOGIE:FIN DE VIE Résumé :
Les douleurs en fin de vie en situation de soins palliatifs sont redoutables. L'attention du médecin doit être permanente car les douleurs affectent non seulement le malade mais aussi l'environnement familial. Traiter des douleurs en fin de vie doit amener le soignant à prendre en charge les douleurs organiques, l'angoisse et les questions existentielles que nous appellerons ici par les mots « souffrance du malade et de son environnement familial », tant il y a d'interactions entre toutes ces personnes. Le soignant référent doit être présent physiquement ou au téléphone pour ajuster les traitements, quotidiennement et prendre avec les parents les mesures adéquates pour qu'aucune thérapeutique n'entre dans le cadre d'une obstination déraisonnable. La démarche éthique est ici majeure. Le respect du patient, même très jeune, guide alors la pratique du soignant. Il faut savoir utiliser aussi bien tous les traitements ou techniques disponibles comme savoir les arrêter pour ne pas « malfaire ». Le deuil lié à la mort de l'enfant sera d'autant moins compliqué que le décès se sera passé dans des conditions dites « sereines ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72477 [article] Douleurs en fin de vie en situation de soins palliatifs (hors périnatalogie) [texte imprimé] / Alain De Broca, Auteur . - 2015 . - 4-170-C-20.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-170-C-20
Catégories : DEUIL ; DIRECTIVES ANTICIPEES ; ETHIQUE ; OBSTINATION DERAISONNABLE ; SEDATION ; SOINS PALLIATIFS PEDIATRIQUES ; THANATOLOGIE:FIN DE VIE Résumé :
Les douleurs en fin de vie en situation de soins palliatifs sont redoutables. L'attention du médecin doit être permanente car les douleurs affectent non seulement le malade mais aussi l'environnement familial. Traiter des douleurs en fin de vie doit amener le soignant à prendre en charge les douleurs organiques, l'angoisse et les questions existentielles que nous appellerons ici par les mots « souffrance du malade et de son environnement familial », tant il y a d'interactions entre toutes ces personnes. Le soignant référent doit être présent physiquement ou au téléphone pour ajuster les traitements, quotidiennement et prendre avec les parents les mesures adéquates pour qu'aucune thérapeutique n'entre dans le cadre d'une obstination déraisonnable. La démarche éthique est ici majeure. Le respect du patient, même très jeune, guide alors la pratique du soignant. Il faut savoir utiliser aussi bien tous les traitements ou techniques disponibles comme savoir les arrêter pour ne pas « malfaire ». Le deuil lié à la mort de l'enfant sera d'autant moins compliqué que le décès se sera passé dans des conditions dites « sereines ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72477 Exemplaires
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DisponibleLes enfants de l'assistance médicale à la procréation / B BEAUQUIER-MACCOTTA in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-180-C-10
Titre : Les enfants de l'assistance médicale à la procréation Type de document : texte imprimé Auteurs : B BEAUQUIER-MACCOTTA, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-180-C-10 Langues : Français (fre) Catégories : BIOETHIQUE:AMP (Assistance Médicale à la Procréation) ; DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT ; GYNECOLOGIE:GROSSESSE ; STERILITE Résumé :
Les enfants nés grâce à une aide médicale à la procréation sont désormais nombreux. Les données concernant leur développement périnatal et psychomoteur sont bien connues. Mais il reste encore de nombreuses questions concernant la construction de ses enfants et la manière dont ils intègrent cet élément de leur histoire, quand elle leur est transmise. Les parents investissent très positivement leur nouvelle fonction parentale, mais le traumatisme de l'infertilité peut infiltrer la relation parents-enfant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72478 [article] Les enfants de l'assistance médicale à la procréation [texte imprimé] / B BEAUQUIER-MACCOTTA, Auteur . - 2015 . - 4-180-C-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-180-C-10
Catégories : BIOETHIQUE:AMP (Assistance Médicale à la Procréation) ; DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT ; GYNECOLOGIE:GROSSESSE ; STERILITE Résumé :
Les enfants nés grâce à une aide médicale à la procréation sont désormais nombreux. Les données concernant leur développement périnatal et psychomoteur sont bien connues. Mais il reste encore de nombreuses questions concernant la construction de ses enfants et la manière dont ils intègrent cet élément de leur histoire, quand elle leur est transmise. Les parents investissent très positivement leur nouvelle fonction parentale, mais le traumatisme de l'infertilité peut infiltrer la relation parents-enfant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72478 Exemplaires
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DisponiblePrise en charge pédiatrique d'un enfant adopté / F SORGE in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-180-A-10
Titre : Prise en charge pédiatrique d'un enfant adopté Type de document : texte imprimé Auteurs : F SORGE, Auteur ; M-C Miller, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-180-A-10 Note générale : Màj 2021 Langues : Français (fre) Catégories : ADOPTION ; ATTACHEMENT ; ENFANT:ENFANT ADOPTE ; FILIATION ; HYGIENE:INFECTION ; PARENTS:PARENTALITE ; VACCIN Résumé :
Les futurs parents adoptants sont conduits à évaluer le dossier d'un enfant proposé à l'adoption. Ils peuvent consulter le pédiatre ou le médecin généraliste pour obtenir un avis médical sur l'état de santé présumé de cet enfant selon les éléments à leur disposition. De telles consultations sont particulières car elles se réalisent en l'absence de l'enfant et avec des données le concernant dont la fiabilité est variable d'un pays, voire d'une région à l'autre. Il est important pour le médecin de disposer d'un minimum de prérequis concernant les enfants orphelins afin de conseiller les futurs parents dans leur analyse du dossier, et parfois de l'observation de l'enfant, pour leur donner des éclaircissements sur des informations médico-psycho-sociales plus ou moins précises, et leur fournir une grille de lecture afin d'étayer leur choix d'adopter ou non un enfant en connaissance de son état de santé et de ses potentialités évolutives.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72479 [article] Prise en charge pédiatrique d'un enfant adopté [texte imprimé] / F SORGE, Auteur ; M-C Miller, Auteur . - 2015 . - 4-180-A-10.
Màj 2021
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-180-A-10
Catégories : ADOPTION ; ATTACHEMENT ; ENFANT:ENFANT ADOPTE ; FILIATION ; HYGIENE:INFECTION ; PARENTS:PARENTALITE ; VACCIN Résumé :
Les futurs parents adoptants sont conduits à évaluer le dossier d'un enfant proposé à l'adoption. Ils peuvent consulter le pédiatre ou le médecin généraliste pour obtenir un avis médical sur l'état de santé présumé de cet enfant selon les éléments à leur disposition. De telles consultations sont particulières car elles se réalisent en l'absence de l'enfant et avec des données le concernant dont la fiabilité est variable d'un pays, voire d'une région à l'autre. Il est important pour le médecin de disposer d'un minimum de prérequis concernant les enfants orphelins afin de conseiller les futurs parents dans leur analyse du dossier, et parfois de l'observation de l'enfant, pour leur donner des éclaircissements sur des informations médico-psycho-sociales plus ou moins précises, et leur fournir une grille de lecture afin d'étayer leur choix d'adopter ou non un enfant en connaissance de son état de santé et de ses potentialités évolutives.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72479 Exemplaires
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DisponibleAccidents et jeux dangereux chez l'enfant / JL CHABERNAUD in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-121-D-10
Titre : Accidents et jeux dangereux chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : JL CHABERNAUD, Auteur ; Isabelle Claudet, Auteur ; L REBOUISSOUX, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-121-D-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACCIDENT DE LA ROUTE ; ACCIDENT DE LA VIE COURANTE ; JEU:JEU DANGEREUX ; PREVENTION Résumé :
Grâce à l'évolution de la réglementation et la normalisation des produits, d'importants progrès ont été accomplis pour informer la population et les catégories professionnelles intervenant auprès des enfants sur les accidents survenant chez les enfants et adolescents par des campagnes nationales, régionales ou départementales. La mortalité a ainsi diminué de 70 % en 20 ans. Cependant, cette baisse est plus nette pour les accidents de la circulation que pour les « accidents de la vie courante », regroupant les accidents domestiques, de sports et de loisirs et les accidents scolaires. Malgré les progrès réalisés au cours de ces 20 dernières années et cette baisse de la morbimortalité, la pathologie accidentelle reste chez l'enfant un problème de santé publique. Cependant, cette baisse est plus nette pour les accidents de la circulation que pour les accidents domestiques, de sports et de loisirs. La pathologie accidentelle évolue aussi en fonction des modes et des changements de la vie courante dans nos sociétés modernes. Ainsi, à côté des accidents de la vie courante « classiques » émergent de nouveaux accidents liés à l'utilisation inadaptée de certains produits ou aux nouvelles habitudes de vie. La pratique des jeux dangereux (jeux de non-oxygénation et d'agression), par l'enfant d'âge scolaire ou l'adolescent, devient également depuis quelques années un phénomène préoccupant, encore mal connu des professionnels de l'enfance ou de santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80839 [article] Accidents et jeux dangereux chez l'enfant [texte imprimé] / JL CHABERNAUD, Auteur ; Isabelle Claudet, Auteur ; L REBOUISSOUX, Auteur . - 2015 . - 4-121-D-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-121-D-10
Catégories : ACCIDENT DE LA ROUTE ; ACCIDENT DE LA VIE COURANTE ; JEU:JEU DANGEREUX ; PREVENTION Résumé :
Grâce à l'évolution de la réglementation et la normalisation des produits, d'importants progrès ont été accomplis pour informer la population et les catégories professionnelles intervenant auprès des enfants sur les accidents survenant chez les enfants et adolescents par des campagnes nationales, régionales ou départementales. La mortalité a ainsi diminué de 70 % en 20 ans. Cependant, cette baisse est plus nette pour les accidents de la circulation que pour les « accidents de la vie courante », regroupant les accidents domestiques, de sports et de loisirs et les accidents scolaires. Malgré les progrès réalisés au cours de ces 20 dernières années et cette baisse de la morbimortalité, la pathologie accidentelle reste chez l'enfant un problème de santé publique. Cependant, cette baisse est plus nette pour les accidents de la circulation que pour les accidents domestiques, de sports et de loisirs. La pathologie accidentelle évolue aussi en fonction des modes et des changements de la vie courante dans nos sociétés modernes. Ainsi, à côté des accidents de la vie courante « classiques » émergent de nouveaux accidents liés à l'utilisation inadaptée de certains produits ou aux nouvelles habitudes de vie. La pratique des jeux dangereux (jeux de non-oxygénation et d'agression), par l'enfant d'âge scolaire ou l'adolescent, devient également depuis quelques années un phénomène préoccupant, encore mal connu des professionnels de l'enfance ou de santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80839 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePsoriasis chez l'enfant / A DADBAN in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-113-D-40
Titre : Psoriasis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : A DADBAN, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-113-D-40 Langues : Français (fre) Catégories : DERMATOLOGIE:PSORIASIS ; DERMOCORTICOIDE ; PHOTOTHERAPIE ; VIE:QUALITE DE VIE Résumé :
Le psoriasis est une dermatose inflammatoire chronique d'étiologie multifactorielle, avec des origines génétiques et environnementales. Sa prévalence est estimée à environ 2 % de la population occidentale. Il apparaît pendant les deux premières décennies, chez environ un tiers des malades. L'incidence du psoriasis chez l'enfant serait en augmentation depuis environ 30 ans. Son diagnostic est le plus souvent clinique. Il existe plusieurs formes cliniques, la majorité communes entre enfant et adulte. Le rhumatisme psoriasique chez l'enfant est souvent considéré comme une variante de l'arthrite chronique juvénile ; il est traité ici de façon succincte. Il existe des particularités cliniques, thérapeutiques et pronostiques chez l'enfant. La sévérité du psoriasis dépend de son étendue, des symptômes fonctionnels, de l'atteinte des zones sensibles et du retentissement. Le psoriasis de l'enfant, au même titre que d'autres maladies chroniques, peut retentir de manière importante sur la qualité de vie de l'enfant et des parents. La gêne peut être fonctionnelle, scolaire, sociale, psychologique. Le psoriasis de l'enfant est associé à diverses comorbidités de plus en plus reconnues. De la même façon que d'autres maladies chroniques, et notamment l'eczéma atopique, l'éducation thérapeutique et l'accompagnement de l'enfant et de ses parents ont un rôle essentiel dans le projet thérapeutique. Les outils thérapeutiques sont les topiques, la photothérapie et les traitements par voie générale. Le traitement des formes légères est principalement le traitement local ; les formes sévères nécessitent parfois la photothérapie ou les traitements systémiques. Les études sur les traitements systémiques dans le psoriasis pédiatrique modéré à sévère sont peu nombreuses. Les meilleures données d'efficacité et de tolérance appartiennent aux biomédicaments ; ceux-ci pourraient être la voie d'avenir pour le traitement des formes sévères, tout comme chez l'adulte.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83886 [article] Psoriasis chez l'enfant [texte imprimé] / A DADBAN, Auteur . - 2015 . - 4-113-D-40.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-113-D-40
Catégories : DERMATOLOGIE:PSORIASIS ; DERMOCORTICOIDE ; PHOTOTHERAPIE ; VIE:QUALITE DE VIE Résumé :
Le psoriasis est une dermatose inflammatoire chronique d'étiologie multifactorielle, avec des origines génétiques et environnementales. Sa prévalence est estimée à environ 2 % de la population occidentale. Il apparaît pendant les deux premières décennies, chez environ un tiers des malades. L'incidence du psoriasis chez l'enfant serait en augmentation depuis environ 30 ans. Son diagnostic est le plus souvent clinique. Il existe plusieurs formes cliniques, la majorité communes entre enfant et adulte. Le rhumatisme psoriasique chez l'enfant est souvent considéré comme une variante de l'arthrite chronique juvénile ; il est traité ici de façon succincte. Il existe des particularités cliniques, thérapeutiques et pronostiques chez l'enfant. La sévérité du psoriasis dépend de son étendue, des symptômes fonctionnels, de l'atteinte des zones sensibles et du retentissement. Le psoriasis de l'enfant, au même titre que d'autres maladies chroniques, peut retentir de manière importante sur la qualité de vie de l'enfant et des parents. La gêne peut être fonctionnelle, scolaire, sociale, psychologique. Le psoriasis de l'enfant est associé à diverses comorbidités de plus en plus reconnues. De la même façon que d'autres maladies chroniques, et notamment l'eczéma atopique, l'éducation thérapeutique et l'accompagnement de l'enfant et de ses parents ont un rôle essentiel dans le projet thérapeutique. Les outils thérapeutiques sont les topiques, la photothérapie et les traitements par voie générale. Le traitement des formes légères est principalement le traitement local ; les formes sévères nécessitent parfois la photothérapie ou les traitements systémiques. Les études sur les traitements systémiques dans le psoriasis pédiatrique modéré à sévère sont peu nombreuses. Les meilleures données d'efficacité et de tolérance appartiennent aux biomédicaments ; ceux-ci pourraient être la voie d'avenir pour le traitement des formes sévères, tout comme chez l'adulte.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83886 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePeau du nouveau-né / C CHIAVERNI in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-D-30
Titre : Peau du nouveau-né Type de document : texte imprimé Auteurs : C CHIAVERNI, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-D-30 Langues : Français (fre) Catégories : DERMATOLOGIE ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; ENFANT:NOUVEAU-NE Résumé :
La peau du nouveau-né à terme est très semblable à celle de l'adulte, cependant l'adaptation de la peau à la vie extra-utérine peut être responsable de dermatoses « physiologiques » et transitoires qu'il convient de connaître pour éviter les traitements et explorations inutiles. Les particularités de la peau du nouveau-né doivent également être connues pour éviter toute iatrogénicité due à une utilisation inappropriée de topiques. Ce chapitre abordera les principales affections dermatologiques dites « physiologiques » autorésolutives, puis les dermatoses les plus fréquemment rencontrées au cours du premier mois de vie, en privilégiant une approche par lésion élémentaire ou dont l'aspect clinique est facilement identifiable et doit entraîner une prise en charge spécifique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86142 [article] Peau du nouveau-né [texte imprimé] / C CHIAVERNI, Auteur . - 2015 . - 4-107-D-30.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-D-30
Catégories : DERMATOLOGIE ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; ENFANT:NOUVEAU-NE Résumé :
La peau du nouveau-né à terme est très semblable à celle de l'adulte, cependant l'adaptation de la peau à la vie extra-utérine peut être responsable de dermatoses « physiologiques » et transitoires qu'il convient de connaître pour éviter les traitements et explorations inutiles. Les particularités de la peau du nouveau-né doivent également être connues pour éviter toute iatrogénicité due à une utilisation inappropriée de topiques. Ce chapitre abordera les principales affections dermatologiques dites « physiologiques » autorésolutives, puis les dermatoses les plus fréquemment rencontrées au cours du premier mois de vie, en privilégiant une approche par lésion élémentaire ou dont l'aspect clinique est facilement identifiable et doit entraîner une prise en charge spécifique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86142 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleMaltraitance envers les enfants et les adolescents in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-175-A-10
Titre : Maltraitance envers les enfants et les adolescents Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-175-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ASSISTANCE ; ENFANT EN DANGER ; EVALUATION ; INFORMATION PREOCCUPANTE ; MALTRAITANCE ; PROTECTION ; SIGNALEMENT Résumé :
Cet article est destiné à tous les médecins amenés à prendre soin des enfants, de tous modes d'exercice, en libéral, en protection maternelle et infantile, en crèche ou autres collectivités d'enfants, en milieu scolaire, à l'hôpital, etc. La maltraitance envers les enfants est un problème de santé publique majeur, gravement sous-évalué, dont les conséquences possibles à court, moyen et long termes sur la santé globale les font s'apparenter aux conséquences d'une pathologie chronique. Il faut oser penser la maltraitance quel que soit le milieu de vie de l'enfant. Le diagnostic reste difficile car la pathologie traumatique très voyante est rare ; les violences psychologiques, les négligences, les carences éducatives ou de soins sont beaucoup plus fréquentes, mais plus difficiles à déceler. Les signes qui doivent alerter sont rarement isolés, il s'agit plutôt d'un faisceau de symptômes. La démarche diagnostique implique une évaluation pluridisciplinaire en ne restant jamais seul avec ses doutes, mais en confrontant les points de vue, si nécessaire en hospitalisant l'enfant, avec un double objectif : diagnostic et protection de l'enfant. Après la clinique, qui n'aborde pas le syndrome du bébé secoué, traité dans un autre article, certains chapitres sont plus particulièrement développés, notamment les autorisations et les obligations de transmissions d'information préoccupante ou de signalement à la lumière des textes récents. Nous espérons contribuer ainsi à la formation de tous les praticiens ayant en charge des enfants, leur donner des clés de compréhension pour mieux repérer les enfants en danger pour mieux les protéger. Dans cet article, le terme « enfant » concerne tout sujet de moins de 18 ans, au sens de la Convention internationale des droits de l'enfant du 20 novembre 1989.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88277 [article] Maltraitance envers les enfants et les adolescents [texte imprimé] . - 2015 . - 4-175-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-175-A-10
Catégories : ASSISTANCE ; ENFANT EN DANGER ; EVALUATION ; INFORMATION PREOCCUPANTE ; MALTRAITANCE ; PROTECTION ; SIGNALEMENT Résumé :
Cet article est destiné à tous les médecins amenés à prendre soin des enfants, de tous modes d'exercice, en libéral, en protection maternelle et infantile, en crèche ou autres collectivités d'enfants, en milieu scolaire, à l'hôpital, etc. La maltraitance envers les enfants est un problème de santé publique majeur, gravement sous-évalué, dont les conséquences possibles à court, moyen et long termes sur la santé globale les font s'apparenter aux conséquences d'une pathologie chronique. Il faut oser penser la maltraitance quel que soit le milieu de vie de l'enfant. Le diagnostic reste difficile car la pathologie traumatique très voyante est rare ; les violences psychologiques, les négligences, les carences éducatives ou de soins sont beaucoup plus fréquentes, mais plus difficiles à déceler. Les signes qui doivent alerter sont rarement isolés, il s'agit plutôt d'un faisceau de symptômes. La démarche diagnostique implique une évaluation pluridisciplinaire en ne restant jamais seul avec ses doutes, mais en confrontant les points de vue, si nécessaire en hospitalisant l'enfant, avec un double objectif : diagnostic et protection de l'enfant. Après la clinique, qui n'aborde pas le syndrome du bébé secoué, traité dans un autre article, certains chapitres sont plus particulièrement développés, notamment les autorisations et les obligations de transmissions d'information préoccupante ou de signalement à la lumière des textes récents. Nous espérons contribuer ainsi à la formation de tous les praticiens ayant en charge des enfants, leur donner des clés de compréhension pour mieux repérer les enfants en danger pour mieux les protéger. Dans cet article, le terme « enfant » concerne tout sujet de moins de 18 ans, au sens de la Convention internationale des droits de l'enfant du 20 novembre 1989.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88277 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleTroubles neurovisuels chez l'enfant / Sylvie Chokron in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-G-10
Titre : Troubles neurovisuels chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Chokron, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-120-G-10 Langues : Français (fre) Catégories : CORTEX ; TROUBLE NEUROVISUEL ; VISION Résumé :
Les troubles neurovisuels d'origine centrale sont la première cause de trouble visuel chez l'enfant dans les pays industrialisés. Cette forte augmentation des troubles neurovisuels d'origine centrale chez l'enfant est probablement liée d'une part à la meilleure reconnaissance de ces troubles chez l'enfant et d'autre part aux progrès de la réanimation néonatale et des soins neuropédiatriques qui induisent un taux de survie plus important mais également une occurrence plus importante des lésions cérébrales, en particulier postérieures, chez les enfants nés dans un contexte neurologique difficile. Comme chez l'adulte, la localisation et l'étendue de la lésion cérébrale déterminent la nature et l'ampleur des troubles neurovisuels. Nous présentons ici la sémiologie, l'étiologie et la localisation lésionnelle des troubles neurovisuels d'origine centrale puis les conséquences délétères que ces troubles peuvent avoir sur les apprentissages et les interactions sociales.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91031 [article] Troubles neurovisuels chez l'enfant [texte imprimé] / Sylvie Chokron, Auteur . - 2015 . - 4-120-G-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-G-10
Catégories : CORTEX ; TROUBLE NEUROVISUEL ; VISION Résumé :
Les troubles neurovisuels d'origine centrale sont la première cause de trouble visuel chez l'enfant dans les pays industrialisés. Cette forte augmentation des troubles neurovisuels d'origine centrale chez l'enfant est probablement liée d'une part à la meilleure reconnaissance de ces troubles chez l'enfant et d'autre part aux progrès de la réanimation néonatale et des soins neuropédiatriques qui induisent un taux de survie plus important mais également une occurrence plus importante des lésions cérébrales, en particulier postérieures, chez les enfants nés dans un contexte neurologique difficile. Comme chez l'adulte, la localisation et l'étendue de la lésion cérébrale déterminent la nature et l'ampleur des troubles neurovisuels. Nous présentons ici la sémiologie, l'étiologie et la localisation lésionnelle des troubles neurovisuels d'origine centrale puis les conséquences délétères que ces troubles peuvent avoir sur les apprentissages et les interactions sociales.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91031 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleAspects cliniques et diagnostiques du diabète de l'enfant in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-106-A-20
Titre : Aspects cliniques et diagnostiques du diabète de l'enfant Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-106-A-20 Langues : Français (fre) Catégories : ACIDOCETOSE ; ANTICORPS ; DIABETE DE TYPE 1 ; ENFANT ; HYPOGLYCEMIE ; INSULINE Résumé :
Le diabète de l'enfant est le plus souvent insulinodépendant et secondaire à la destruction auto-immune des cellules pancréatiques insulinosécrétrices (diabète de type 1). Son incidence en France, actuellement en augmentation, est environ de 17 pour 100 000 enfants par an entre 0 et 20 ans. Dans la plupart des cas, le diabète est diagnostiqué devant des symptômes typiques (syndrome polyuropolydipsique, polyphagie, amaigrissement) associés à une glycémie élevée (> 200 mg/dl). Lorsque le diagnostic n'est pas posé rapidement, il peut s'y associer une acidocétose, se traduisant par une polypnée et des signes digestifs en plus du syndrome cardinal et dont les conséquences peuvent être graves : troubles hydroélectrolytiques avec troubles de la conduction cardiaque, œdème cérébral. Dans un second temps, les anticorps dirigés contre la cellule β sont recherchés pour affirmer le diabète de type 1 (présents dans 95 % des cas au moment du diagnostic). L'objectif thérapeutique chez les enfants diabétiques de type 1 est d'obtenir une hémoglobine glyquée inférieure à 7,5 %, afin d'éviter les complications associées au diabète, sans qu'il n'y ait pour autant trop d'hypoglycémies. L'hypoglycémie iatrogène est habituellement définie par une glycémie plasmatique inférieure à 60-70 mg/dl. Elle se manifeste par des signes de réaction adrénergique (hypoglycémie mineure), puis par des signes de neuroglycopénie (hypoglycémie majeure). Lorsque le diabète est ancien, les hypoglycémies peuvent être moins bien perçues, ce qui augmente le risque de malaise. Le dépistage des complications microangiopathiques repose sur la recherche d'une microalbuminurie et la réalisation d'un fond d'œil tous les ans, lorsque le diabète remonte à plus de cinq ans et à partir de l'adolescence pour la microalbuminurie et de 15 ans pour la photographie du fond d'œil. Le dépistage du diabète de type 1 est possible chez les apparentés du premier degré d'un diabétique et repose sur la recherche des autoanticorps associés au diabète. Rarement, le diabète de l'enfant n'est pas auto-immun : c'est le cas du diabète néonatal, des diabètes monogéniques de type maturity-onset diabetes of the young (MODY), du syndrome de Wolfram, des diabètes mitochondriaux, du diabète de type 2, etc.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91471 [article] Aspects cliniques et diagnostiques du diabète de l'enfant [texte imprimé] . - 2015 . - 4-106-A-20.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ACIDOCETOSE ; ANTICORPS ; DIABETE DE TYPE 1 ; ENFANT ; HYPOGLYCEMIE ; INSULINE Résumé :
Le diabète de l'enfant est le plus souvent insulinodépendant et secondaire à la destruction auto-immune des cellules pancréatiques insulinosécrétrices (diabète de type 1). Son incidence en France, actuellement en augmentation, est environ de 17 pour 100 000 enfants par an entre 0 et 20 ans. Dans la plupart des cas, le diabète est diagnostiqué devant des symptômes typiques (syndrome polyuropolydipsique, polyphagie, amaigrissement) associés à une glycémie élevée (> 200 mg/dl). Lorsque le diagnostic n'est pas posé rapidement, il peut s'y associer une acidocétose, se traduisant par une polypnée et des signes digestifs en plus du syndrome cardinal et dont les conséquences peuvent être graves : troubles hydroélectrolytiques avec troubles de la conduction cardiaque, œdème cérébral. Dans un second temps, les anticorps dirigés contre la cellule β sont recherchés pour affirmer le diabète de type 1 (présents dans 95 % des cas au moment du diagnostic). L'objectif thérapeutique chez les enfants diabétiques de type 1 est d'obtenir une hémoglobine glyquée inférieure à 7,5 %, afin d'éviter les complications associées au diabète, sans qu'il n'y ait pour autant trop d'hypoglycémies. L'hypoglycémie iatrogène est habituellement définie par une glycémie plasmatique inférieure à 60-70 mg/dl. Elle se manifeste par des signes de réaction adrénergique (hypoglycémie mineure), puis par des signes de neuroglycopénie (hypoglycémie majeure). Lorsque le diabète est ancien, les hypoglycémies peuvent être moins bien perçues, ce qui augmente le risque de malaise. Le dépistage des complications microangiopathiques repose sur la recherche d'une microalbuminurie et la réalisation d'un fond d'œil tous les ans, lorsque le diabète remonte à plus de cinq ans et à partir de l'adolescence pour la microalbuminurie et de 15 ans pour la photographie du fond d'œil. Le dépistage du diabète de type 1 est possible chez les apparentés du premier degré d'un diabétique et repose sur la recherche des autoanticorps associés au diabète. Rarement, le diabète de l'enfant n'est pas auto-immun : c'est le cas du diabète néonatal, des diabètes monogéniques de type maturity-onset diabetes of the young (MODY), du syndrome de Wolfram, des diabètes mitochondriaux, du diabète de type 2, etc.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91471 Exemplaires
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DisponiblePrise en charge anesthésio-réanimatoire de l'enfant brûlé / I CONSTANT in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-126-A-10
Titre : Prise en charge anesthésio-réanimatoire de l'enfant brûlé Type de document : texte imprimé Auteurs : I CONSTANT, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-126-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : BRULURE ; DOULEUR ; HYGIENE:INFECTION ; HYPOVOLEMIE ; INFLAMMATION Résumé :
En France, environ 2400 enfants de moins de 5 ans sont hospitalisés pour brûlure chaque année. La sévérité de la brûlure dépend de sa surface, de sa profondeur et de sa localisation. En termes de surface, il existe une augmentation de la morbidité au-delà de 25-30 %, et une augmentation de la mortalité au-delà de 60 % de surface cutanée brûlée. L'inhalation de fumées est également un facteur indépendant de gravité. L'indication de prise en charge dans un centre spécialisé de traitement des grands brûlés est très large chez l'enfant, ce d'autant qu'il est jeune et que la brûlure est étendue (> 10 %). Les apports hydroélectrolytiques doivent être précoces pour éviter l'hypovolémie, leur calcul repose sur des règles simples et des solutés de base (Ringer lactate et glucosé à 5 %). Ces apports importants en volume dans les 24 premières heures doivent être rapidement diminués compte tenu des troubles de perméabilité capillaire liés à la libération des médiateurs inflammatoires. Dans les brûlures de plus de 15-20 %, la réponse inflammatoire induite a fréquemment une dimension de type systemic inflammatory response syndrome (SIRS). Cette symptomatologie doit être différenciée d'une infection, sur des arguments cliniques, biologiques et bactériologiques. L'hyperthermie qui fait partie de ce tableau ne justifie pas, à elle seule, l'institution d'une antibiothérapie. Les complications infectieuses sont les plus redoutées chez les enfants brûlés. La prévention de l'infection repose sur une désinfection locale rigoureuse et régulière, par exemple fondée sur l'utilisation de la chlorhexidine aqueuse, associée à une surveillance bactériologique attentive et régulière. La prescription d'une antibiothérapie doit être étayée par des arguments cliniques et bactériologiques. La douleur induite par la brûlure est multifactorielle et survient dans un contexte de stress et d'anxiété majeurs. À la douleur de fond s'ajoute de façon régulière la douleur liée aux soins. La prise en charge de cette douleur doit être multimodale, à visée analgésique, antihyperalgésique, préventive face à la chronicisation, et aux troubles de l'humeur qui modulent émotionnellement la perception de stimulus. La morphine et la kétamine sont les deux produits autour desquels s'articulent les autres composants de l'arsenal thérapeutique utilisés dans ce contexte. La nutrition de l'enfant brûlé doit être précoce, hypercalorique et antioxydative. Elle est administrée essentiellement par voie entérale, la voie parentérale peut être utile dans les brûlures sévères associées à des troubles hémodynamiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94757 [article] Prise en charge anesthésio-réanimatoire de l'enfant brûlé [texte imprimé] / I CONSTANT, Auteur . - 2015 . - 4-126-A-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : BRULURE ; DOULEUR ; HYGIENE:INFECTION ; HYPOVOLEMIE ; INFLAMMATION Résumé :
En France, environ 2400 enfants de moins de 5 ans sont hospitalisés pour brûlure chaque année. La sévérité de la brûlure dépend de sa surface, de sa profondeur et de sa localisation. En termes de surface, il existe une augmentation de la morbidité au-delà de 25-30 %, et une augmentation de la mortalité au-delà de 60 % de surface cutanée brûlée. L'inhalation de fumées est également un facteur indépendant de gravité. L'indication de prise en charge dans un centre spécialisé de traitement des grands brûlés est très large chez l'enfant, ce d'autant qu'il est jeune et que la brûlure est étendue (> 10 %). Les apports hydroélectrolytiques doivent être précoces pour éviter l'hypovolémie, leur calcul repose sur des règles simples et des solutés de base (Ringer lactate et glucosé à 5 %). Ces apports importants en volume dans les 24 premières heures doivent être rapidement diminués compte tenu des troubles de perméabilité capillaire liés à la libération des médiateurs inflammatoires. Dans les brûlures de plus de 15-20 %, la réponse inflammatoire induite a fréquemment une dimension de type systemic inflammatory response syndrome (SIRS). Cette symptomatologie doit être différenciée d'une infection, sur des arguments cliniques, biologiques et bactériologiques. L'hyperthermie qui fait partie de ce tableau ne justifie pas, à elle seule, l'institution d'une antibiothérapie. Les complications infectieuses sont les plus redoutées chez les enfants brûlés. La prévention de l'infection repose sur une désinfection locale rigoureuse et régulière, par exemple fondée sur l'utilisation de la chlorhexidine aqueuse, associée à une surveillance bactériologique attentive et régulière. La prescription d'une antibiothérapie doit être étayée par des arguments cliniques et bactériologiques. La douleur induite par la brûlure est multifactorielle et survient dans un contexte de stress et d'anxiété majeurs. À la douleur de fond s'ajoute de façon régulière la douleur liée aux soins. La prise en charge de cette douleur doit être multimodale, à visée analgésique, antihyperalgésique, préventive face à la chronicisation, et aux troubles de l'humeur qui modulent émotionnellement la perception de stimulus. La morphine et la kétamine sont les deux produits autour desquels s'articulent les autres composants de l'arsenal thérapeutique utilisés dans ce contexte. La nutrition de l'enfant brûlé doit être précoce, hypercalorique et antioxydative. Elle est administrée essentiellement par voie entérale, la voie parentérale peut être utile dans les brûlures sévères associées à des troubles hémodynamiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94757 Exemplaires
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DisponibleAllergie respiratoire chez l'enfant in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-069-H-10
Titre : Allergie respiratoire chez l'enfant Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-069-H-10 Langues : Français (fre) Catégories : ALLERGIE RESPIRATOIRE ; ASTHME ; ENFANT ; RHINITE ALLERGIQUE Résumé :
L'allergie respiratoire peut se manifester par un asthme allergique et/ou par une rhinite allergique. La rhinite allergique est à l'origine d'une altération importante de la qualité de vie, de déformations du massif facial chez l'enfant, de syndrome d'apnée du sommeil, voire d'une évolution secondaire vers un asthme. L'allergie respiratoire est associée à l'asthme chez 50 à 80 % des enfants asthmatiques. Il s'agit du premier facteur de risque de persistance de l'asthme au cours de l'enfance. L'allergie respiratoire est associée à un moins bon contrôle de l'asthme et à une utilisation accrue du système de soins. Son dépistage et son diagnostic sont donc partie intégrante de la prise en charge de tout patient asthmatique. Sa prise en charge permet la prévention de facteurs déclenchants éventuels des exacerbations de l'asthme, et repose sur des mesures environnementales et sur l'immunothérapie spécifique, voire une biothérapie lorsque l'asthme est sévère.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96466 [article] Allergie respiratoire chez l'enfant [texte imprimé] . - 2015 . - 4-069-H-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ALLERGIE RESPIRATOIRE ; ASTHME ; ENFANT ; RHINITE ALLERGIQUE Résumé :
L'allergie respiratoire peut se manifester par un asthme allergique et/ou par une rhinite allergique. La rhinite allergique est à l'origine d'une altération importante de la qualité de vie, de déformations du massif facial chez l'enfant, de syndrome d'apnée du sommeil, voire d'une évolution secondaire vers un asthme. L'allergie respiratoire est associée à l'asthme chez 50 à 80 % des enfants asthmatiques. Il s'agit du premier facteur de risque de persistance de l'asthme au cours de l'enfance. L'allergie respiratoire est associée à un moins bon contrôle de l'asthme et à une utilisation accrue du système de soins. Son dépistage et son diagnostic sont donc partie intégrante de la prise en charge de tout patient asthmatique. Sa prise en charge permet la prévention de facteurs déclenchants éventuels des exacerbations de l'asthme, et repose sur des mesures environnementales et sur l'immunothérapie spécifique, voire une biothérapie lorsque l'asthme est sévère.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96466 Exemplaires
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DisponibleÉvaluation de la douleur chez l'enfant in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-170-A-10
Titre : Évaluation de la douleur chez l'enfant Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-170-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : DOULEUR ; ECHELLE ; ENFANT ; EVALUATION Résumé :
Prendre en charge la douleur des enfants nécessite tout d'abord d'en avoir fait une évaluation précise ; or, cette étape pose souvent problème aux soignants, et la sous-évaluation est fréquente. En effet, divers obstacles existent. Ils sont en bonne partie liés aux difficultés de communication avec l'enfant et aux spécificités de l'expression de la douleur chez lui. Notamment, le tableau d'atonie psychomotrice, qui apparaît particulièrement rapidement chez les plus jeunes, est trompeur et peut faire totalement ignorer une douleur pourtant intense. Le niveau de développement cognitif de l'enfant rentre en jeu, mais de nombreux facteurs interviennent, tels que le vécu antérieur, la relation avec l'environnement familial et social. Il convient donc d'essayer de cerner ces éléments pour ajuster l'évaluation. Une bonne évaluation de la douleur, pour être efficace, doit donc être systématique, répétée et rigoureuse : elle doit utiliser des outils validés, adaptés à la situation de l'enfant. On cherchera à obtenir une autoévaluation, car elle est la plus fiable, quand le niveau de compréhension de l'enfant et la situation le permettent ; plusieurs outils sont disponibles. Le soignant montre et explique quelques-uns d'entre eux à l'enfant, qui choisit celui utilisé. Dans le cas contraire, le soignant fait une hétéroévaluation, en utilisant une échelle dite comportementale, à choisir également selon l'âge de l'enfant et la situation : douleur aiguë, postopératoire, ou prolongée, enfant sédaté, non communiquant. Dans tous les cas, au cours du suivi, le soignant mentionne le score de douleur obtenu et l'outil utilisé, de manière à améliorer la traçabilité de la mesure de la douleur. Il utilisera le même outil lors des mesures ultérieures. Ce procédé permet de suivre de façon fiable l'évolution de la douleur, participant à l'efficacité de sa prise en charge.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96467 [article] Évaluation de la douleur chez l'enfant [texte imprimé] . - 2015 . - 4-170-A-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : DOULEUR ; ECHELLE ; ENFANT ; EVALUATION Résumé :
Prendre en charge la douleur des enfants nécessite tout d'abord d'en avoir fait une évaluation précise ; or, cette étape pose souvent problème aux soignants, et la sous-évaluation est fréquente. En effet, divers obstacles existent. Ils sont en bonne partie liés aux difficultés de communication avec l'enfant et aux spécificités de l'expression de la douleur chez lui. Notamment, le tableau d'atonie psychomotrice, qui apparaît particulièrement rapidement chez les plus jeunes, est trompeur et peut faire totalement ignorer une douleur pourtant intense. Le niveau de développement cognitif de l'enfant rentre en jeu, mais de nombreux facteurs interviennent, tels que le vécu antérieur, la relation avec l'environnement familial et social. Il convient donc d'essayer de cerner ces éléments pour ajuster l'évaluation. Une bonne évaluation de la douleur, pour être efficace, doit donc être systématique, répétée et rigoureuse : elle doit utiliser des outils validés, adaptés à la situation de l'enfant. On cherchera à obtenir une autoévaluation, car elle est la plus fiable, quand le niveau de compréhension de l'enfant et la situation le permettent ; plusieurs outils sont disponibles. Le soignant montre et explique quelques-uns d'entre eux à l'enfant, qui choisit celui utilisé. Dans le cas contraire, le soignant fait une hétéroévaluation, en utilisant une échelle dite comportementale, à choisir également selon l'âge de l'enfant et la situation : douleur aiguë, postopératoire, ou prolongée, enfant sédaté, non communiquant. Dans tous les cas, au cours du suivi, le soignant mentionne le score de douleur obtenu et l'outil utilisé, de manière à améliorer la traçabilité de la mesure de la douleur. Il utilisera le même outil lors des mesures ultérieures. Ce procédé permet de suivre de façon fiable l'évolution de la douleur, participant à l'efficacité de sa prise en charge.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96467 Exemplaires
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DisponibleSituations particulières : douleur liée aux soins / C-O SAKIROGLU in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-170-C-50
Titre : Situations particulières : douleur liée aux soins Type de document : texte imprimé Auteurs : C-O SAKIROGLU, Auteur ; Laurence TEISSEYRE, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-170-C-50 Langues : Français (fre) Catégories : ANTALGIQUE ; DOULEUR ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; IATROGENIE ; SOINS ; THERAPIE:THERAPEUTIQUE NON MEDICAMENTEUSE Résumé :
Les soins médicaux et paramédicaux génèrent très fréquemment anxiété et douleur chez les enfants. Toutes deux sont sources de détresse, chez l'enfant, ses parents et le soignant, et peuvent générer chez l'enfant des comportements inadaptés lors des gestes suivants. Or, elles sont prévisibles, et doivent donc être anticipées et prévenues, de manière systématique. Dans cet article sont passés en revue les principes d'une bonne prise en charge des gestes. L'évaluation de la pertinence du geste et de ses modalités pratiques est un préalable indispensable. Il faut ensuite apporter du soin à l'information que l'on livre à l'enfant et sa famille, à la place donnée aux parents, à l'installation de chacun. Dans l'immense majorité des cas, il est nécessaire d'associer moyens médicamenteux et non médicamenteux : antalgiques généraux et/ou locaux, anxiolytiques, ainsi que différentes méthodes de distraction sont évoqués. Des attitudes concrètes sont proposées pour les gestes les plus courants. Afin de prévenir la douleur pour les gestes suivants, il est essentiel de tracer la méthode utilisée et son résultat. Les explications pratiques et les détails des prescriptions sont précisés dans les « appels ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96468 [article] Situations particulières : douleur liée aux soins [texte imprimé] / C-O SAKIROGLU, Auteur ; Laurence TEISSEYRE, Auteur . - 2015 . - 4-170-C-50.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-170-C-50
Catégories : ANTALGIQUE ; DOULEUR ; ENFANT MALADE:PEDIATRIE ; IATROGENIE ; SOINS ; THERAPIE:THERAPEUTIQUE NON MEDICAMENTEUSE Résumé :
Les soins médicaux et paramédicaux génèrent très fréquemment anxiété et douleur chez les enfants. Toutes deux sont sources de détresse, chez l'enfant, ses parents et le soignant, et peuvent générer chez l'enfant des comportements inadaptés lors des gestes suivants. Or, elles sont prévisibles, et doivent donc être anticipées et prévenues, de manière systématique. Dans cet article sont passés en revue les principes d'une bonne prise en charge des gestes. L'évaluation de la pertinence du geste et de ses modalités pratiques est un préalable indispensable. Il faut ensuite apporter du soin à l'information que l'on livre à l'enfant et sa famille, à la place donnée aux parents, à l'installation de chacun. Dans l'immense majorité des cas, il est nécessaire d'associer moyens médicamenteux et non médicamenteux : antalgiques généraux et/ou locaux, anxiolytiques, ainsi que différentes méthodes de distraction sont évoqués. Des attitudes concrètes sont proposées pour les gestes les plus courants. Afin de prévenir la douleur pour les gestes suivants, il est essentiel de tracer la méthode utilisée et son résultat. Les explications pratiques et les détails des prescriptions sont précisés dans les « appels ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96468 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleMode d'accueil de jour des jeunes enfants / A FENIERES in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-180-B-10
Titre : Mode d'accueil de jour des jeunes enfants Type de document : texte imprimé Auteurs : A FENIERES, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-180-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACCUEIL ; ASSISTANT(E) MATERNEL(LE) ; AUXILIAIRE DE PUERICULTURE ; CRECHE ; JEUNE ENFANT ; MODE DE GARDE ; MULTI-ACCUEIL Résumé :
En France, les modes d'accueil des jeunes enfants sont un enjeu de l'égalité hommes/femmes puisqu'ils participent au fort taux d'activité des parents. Ils sont collectifs ou individuels, se complètent et/ou se succèdent au gré des organisations des familles. Ils sont répartis de façon différente sur le territoire français. L'accueil collectif en multi-accueil, crèche collective et halte-garderie, jardin d'enfants ou microcrèche et l'accueil chez les assistantes maternelles sont très réglementés alors que d'autres modes d'accueil, comme le recours aux emplois à domicile d'auxiliaire parentale par les parents employeurs ne le sont pas. Le fonctionnement des établissements a suivi l'évolution de l'organisation du travail et favorise l'accueil de tous les enfants, que leurs parents travaillent tous les deux ou pas. Le financement de cette activité par les collectivités et par la caisse d'allocations familiales a permis de multiplier les places d'accueil, conformément à la demande politique en faveur de la petite enfance mais aussi de l'emploi des femmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97441 [article] Mode d'accueil de jour des jeunes enfants [texte imprimé] / A FENIERES, Auteur . - 2015 . - 4-180-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-180-B-10
Catégories : ACCUEIL ; ASSISTANT(E) MATERNEL(LE) ; AUXILIAIRE DE PUERICULTURE ; CRECHE ; JEUNE ENFANT ; MODE DE GARDE ; MULTI-ACCUEIL Résumé :
En France, les modes d'accueil des jeunes enfants sont un enjeu de l'égalité hommes/femmes puisqu'ils participent au fort taux d'activité des parents. Ils sont collectifs ou individuels, se complètent et/ou se succèdent au gré des organisations des familles. Ils sont répartis de façon différente sur le territoire français. L'accueil collectif en multi-accueil, crèche collective et halte-garderie, jardin d'enfants ou microcrèche et l'accueil chez les assistantes maternelles sont très réglementés alors que d'autres modes d'accueil, comme le recours aux emplois à domicile d'auxiliaire parentale par les parents employeurs ne le sont pas. Le fonctionnement des établissements a suivi l'évolution de l'organisation du travail et favorise l'accueil de tous les enfants, que leurs parents travaillent tous les deux ou pas. Le financement de cette activité par les collectivités et par la caisse d'allocations familiales a permis de multiplier les places d'accueil, conformément à la demande politique en faveur de la petite enfance mais aussi de l'emploi des femmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97441 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleCicatrisation chez l'enfant / I James in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-116-A-10
Titre : Cicatrisation chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : I James, Auteur ; S LA MARCA, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-116-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : CICATRISATION ; ENFANT Résumé :
La cicatrisation de l'enfant présente un certain nombre de différences par rapport à l'adulte ; l'origine des traumatismes génère des plaies ou des pertes de substance différentes. À côté des facteurs cellulaires et humoraux qui révèlent plus d'inflammation, d'exsudation et de mobilisation de facteurs de croissance que chez l'adulte, l'évolution est dominée par une augmentation des taux de rétraction et d'hypertrophie, ce qui motive une prise en charge adaptée et de longue durée sur un organisme en croissance. Les auteurs décrivent les différentes phases de la cicatrisation, les moyens pour l'activer, en améliorer les séquelles, et donnent des indications thérapeutiques dans des cas représentatifs de la cicatrisation de l'enfant : morsures, brûlures, doigts de porte, enfant en aplasie, extravasation de perfusion, prévention des escarres de décubitus. La plaie de l'enfant ne doit pas être négligée, ni dans son temps et son mode de cicatrisation, ni dans ses origines - pour lesquelles la maltraitance doit être gardée à l'esprit.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99011 [article] Cicatrisation chez l'enfant [texte imprimé] / I James, Auteur ; S LA MARCA, Auteur . - 2015 . - 4-116-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-116-A-10
Catégories : CICATRISATION ; ENFANT Résumé :
La cicatrisation de l'enfant présente un certain nombre de différences par rapport à l'adulte ; l'origine des traumatismes génère des plaies ou des pertes de substance différentes. À côté des facteurs cellulaires et humoraux qui révèlent plus d'inflammation, d'exsudation et de mobilisation de facteurs de croissance que chez l'adulte, l'évolution est dominée par une augmentation des taux de rétraction et d'hypertrophie, ce qui motive une prise en charge adaptée et de longue durée sur un organisme en croissance. Les auteurs décrivent les différentes phases de la cicatrisation, les moyens pour l'activer, en améliorer les séquelles, et donnent des indications thérapeutiques dans des cas représentatifs de la cicatrisation de l'enfant : morsures, brûlures, doigts de porte, enfant en aplasie, extravasation de perfusion, prévention des escarres de décubitus. La plaie de l'enfant ne doit pas être négligée, ni dans son temps et son mode de cicatrisation, ni dans ses origines - pour lesquelles la maltraitance doit être gardée à l'esprit.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99011 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponiblePathologies congénitales en ophtalmologie / V PROMELLE in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-F-10
Titre : Pathologies congénitales en ophtalmologie Type de document : texte imprimé Auteurs : V PROMELLE, Auteur ; B DEMEER, Auteur ; S MILAZZO, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-120-F-10 Langues : Français (fre) Catégories : MALFORMATION ; MALVOYANCE ; OEIL:GLOBE OCULAIRE Résumé :
Les pathologies congénitales en ophtalmologie peuvent concerner l'ensemble du globe avec les anomalies du développement oculaire comme les anophtalmies-microphtalmies ou les colobomes, ou chacun des segments de l'œil et/ou des annexes oculaires : anomalies palpébrales (ptosis congénital), orbitaires (tumeurs congénitales orbitaires), des voies lacrymales (dacryocystocèle, obstruction du canal lacrymonasal). Le segment antérieur est fréquemment atteint, que ce soit par une dystrophie héréditaire de la cornée, une dysgénésie du segment antérieur (anomalie de Peters, de Rieger, aniridie, sclérocornée), une cataracte congénitale, un déplacement congénital du cristallin, un glaucome congénital primitif ou secondaire. Le segment postérieur peut être le siège d'atteintes rétiniennes infectieuses (toxoplasmose, rubéole) ou de dystrophies rétiniennes héréditaires telles que l'amaurose congénitale de Leber, l'achromatopsie congénitale, l'héméralopie congénitale, ou de pathologies comme l'albinisme. Les anomalies les plus fréquentes de la papille et du nerf optique sont l'hypoplasie du nerf optique et la papille en morning glory. Enfin les pathologies oculomotrices congénitales sont représentées par les nystagmus, les formes de strabismes précoces, les paralysies oculomotrices congénitales, les syndromes dysinnervationnels comme le syndrome de Stilling-Duane ou le syndrome de Brown. Toutes ces pathologies peuvent être isolées ou associées entre elles et/ou à des anomalies extraoculaires, syndromiques ou non. Elles ne se manifestent pas toujours en période néonatale. Leur retentissement fonctionnel et leur sévérité sont très variables, mais peuvent aboutir à une situation de handicap visuel. Dans ces cas sévères, un diagnostic précoce est souhaitable pour mettre en place un suivi et une prise en charge pluridisciplinaire et sociale lorsqu'elle est nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101831 [article] Pathologies congénitales en ophtalmologie [texte imprimé] / V PROMELLE, Auteur ; B DEMEER, Auteur ; S MILAZZO, Auteur . - 2015 . - 4-120-F-10.
Langues : Français (fre)
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Catégories : MALFORMATION ; MALVOYANCE ; OEIL:GLOBE OCULAIRE Résumé :
Les pathologies congénitales en ophtalmologie peuvent concerner l'ensemble du globe avec les anomalies du développement oculaire comme les anophtalmies-microphtalmies ou les colobomes, ou chacun des segments de l'œil et/ou des annexes oculaires : anomalies palpébrales (ptosis congénital), orbitaires (tumeurs congénitales orbitaires), des voies lacrymales (dacryocystocèle, obstruction du canal lacrymonasal). Le segment antérieur est fréquemment atteint, que ce soit par une dystrophie héréditaire de la cornée, une dysgénésie du segment antérieur (anomalie de Peters, de Rieger, aniridie, sclérocornée), une cataracte congénitale, un déplacement congénital du cristallin, un glaucome congénital primitif ou secondaire. Le segment postérieur peut être le siège d'atteintes rétiniennes infectieuses (toxoplasmose, rubéole) ou de dystrophies rétiniennes héréditaires telles que l'amaurose congénitale de Leber, l'achromatopsie congénitale, l'héméralopie congénitale, ou de pathologies comme l'albinisme. Les anomalies les plus fréquentes de la papille et du nerf optique sont l'hypoplasie du nerf optique et la papille en morning glory. Enfin les pathologies oculomotrices congénitales sont représentées par les nystagmus, les formes de strabismes précoces, les paralysies oculomotrices congénitales, les syndromes dysinnervationnels comme le syndrome de Stilling-Duane ou le syndrome de Brown. Toutes ces pathologies peuvent être isolées ou associées entre elles et/ou à des anomalies extraoculaires, syndromiques ou non. Elles ne se manifestent pas toujours en période néonatale. Leur retentissement fonctionnel et leur sévérité sont très variables, mais peuvent aboutir à une situation de handicap visuel. Dans ces cas sévères, un diagnostic précoce est souhaitable pour mettre en place un suivi et une prise en charge pluridisciplinaire et sociale lorsqu'elle est nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101831 Exemplaires
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DisponibleScabiose, pédiculoses et piqûres d'arthropodes / Ludovic GENTILE (De) in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-114-B-10
Titre : Scabiose, pédiculoses et piqûres d'arthropodes Type de document : texte imprimé Auteurs : Ludovic GENTILE (De), Auteur ; F CARSUZAA, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-114-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : GALE ; PEDICULOSE ; PIQURE ; SCABIOSE Résumé :
Les arthropodes appartiennent au règne animal, ils sont caractérisés par un squelette externe imposant une croissance par mues successives. Un grand nombre d'arthropodes sont impliqués en pathologie humaine en raison, soit de leur rôle de vecteurs d'un agent pathogène, soit de leur comportement parasitaire. Parmi les acariens, Sarcoptes scabiei est l'agent responsable de la gale. Cette maladie dermatologique prurigineuse est connue de très longue date. Les lésions caractéristiques sont composées de la triade prurit-vésicules-sillons, témoin de la présence du parasite. Sur le plan nosologique, on reconnaît deux grandes formes cliniques : d'une part la gale commune, banale et peu contagieuse en dehors d'un contact cutané étroit et prolongé, elle est parfois intégrée dans le spectre des infections sexuellement transmises, et d'autre part la gale hyperkératosique survenant chez les personnes âgées ou immunodéprimées. Cette forme est particulièrement contagieuse en raison du grand nombre de parasites présents dans l'épiderme. Entre ces deux entités, il existe de nombreuses présentations cliniques atypiques qui peuvent en imposer pour une autre affection dermatologique et faire errer le diagnostic. Ces formes cliniques hyperkératosiques ou atypiques peuvent être à l'origine d'épidémies intrafamiliales ou dans les établissements de soins ou les collectivités. La prise en charge de la gale nécessite toujours un diagnostic de certitude précoce et la prise en charge du patient implique le traitement du linge et la recherche des sujets contacts. Les agents des démodécies (Demodex folliculorum et Demodex brevis) ont une niche écologique très étroite, colonisant le follicule pilaire et les glandes sébacées. Leur rôle pathogène est discuté par certains auteurs. Parmi les insectes, pou et morpion représentent des nuisances importantes. À côté de ces arthropodes, il en existe de nombreux autres qui peuvent piquer l'homme et être à l'origine de lésions maculopapuleuses plus ou moins nombreuses et étendues, associées à un prurit. L'origine des lésions est difficile à retrouver si on omet l'enquête épidémiologique incluant l'analyse de l'environnement du patient.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107917 [article] Scabiose, pédiculoses et piqûres d'arthropodes [texte imprimé] / Ludovic GENTILE (De), Auteur ; F CARSUZAA, Auteur . - 2015 . - 4-114-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-114-B-10
Catégories : GALE ; PEDICULOSE ; PIQURE ; SCABIOSE Résumé :
Les arthropodes appartiennent au règne animal, ils sont caractérisés par un squelette externe imposant une croissance par mues successives. Un grand nombre d'arthropodes sont impliqués en pathologie humaine en raison, soit de leur rôle de vecteurs d'un agent pathogène, soit de leur comportement parasitaire. Parmi les acariens, Sarcoptes scabiei est l'agent responsable de la gale. Cette maladie dermatologique prurigineuse est connue de très longue date. Les lésions caractéristiques sont composées de la triade prurit-vésicules-sillons, témoin de la présence du parasite. Sur le plan nosologique, on reconnaît deux grandes formes cliniques : d'une part la gale commune, banale et peu contagieuse en dehors d'un contact cutané étroit et prolongé, elle est parfois intégrée dans le spectre des infections sexuellement transmises, et d'autre part la gale hyperkératosique survenant chez les personnes âgées ou immunodéprimées. Cette forme est particulièrement contagieuse en raison du grand nombre de parasites présents dans l'épiderme. Entre ces deux entités, il existe de nombreuses présentations cliniques atypiques qui peuvent en imposer pour une autre affection dermatologique et faire errer le diagnostic. Ces formes cliniques hyperkératosiques ou atypiques peuvent être à l'origine d'épidémies intrafamiliales ou dans les établissements de soins ou les collectivités. La prise en charge de la gale nécessite toujours un diagnostic de certitude précoce et la prise en charge du patient implique le traitement du linge et la recherche des sujets contacts. Les agents des démodécies (Demodex folliculorum et Demodex brevis) ont une niche écologique très étroite, colonisant le follicule pilaire et les glandes sébacées. Leur rôle pathogène est discuté par certains auteurs. Parmi les insectes, pou et morpion représentent des nuisances importantes. À côté de ces arthropodes, il en existe de nombreux autres qui peuvent piquer l'homme et être à l'origine de lésions maculopapuleuses plus ou moins nombreuses et étendues, associées à un prurit. L'origine des lésions est difficile à retrouver si on omet l'enquête épidémiologique incluant l'analyse de l'environnement du patient.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107917 Exemplaires
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DisponibleAlopécie de l'enfant / Koupaia Legal in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-114-A-15
Titre : Alopécie de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Koupaia Legal, Auteur ; PLANTIN (P), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-114-A-15 Langues : Français (fre) Catégories : ALOPECIE ; DERMOSCOPIE Résumé :
Le diagnostic positif et étiologique d'une alopécie chez l'enfant est important pour différencier les causes bénignes (également les plus fréquentes) pouvant prétendre à un traitement et ne devant pas inquiéter les parents à tort, des alopécies qui peuvent être le reflet d'une cause interne ou le premier signe clinique orientant vers une maladie syndromique. Nous proposons une classification en différenciant les alopécies de survenue congénitale ou précoce qui sont spécifiques de la période infantile, et les alopécies plus tardives survenant au cours de l'enfance ou de l'adolescence que l'on peut également retrouver chez l'adulte. Les signes dermoscopiques et histologiques des pathologies seront évoqués, ainsi que les anomalies cutanées ou atteintes d'autres organes permettant de poser le diagnostic.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111733 [article] Alopécie de l'enfant [texte imprimé] / Koupaia Legal, Auteur ; PLANTIN (P), Auteur . - 2015 . - 4-114-A-15.
Langues : Français (fre)
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Catégories : ALOPECIE ; DERMOSCOPIE Résumé :
Le diagnostic positif et étiologique d'une alopécie chez l'enfant est important pour différencier les causes bénignes (également les plus fréquentes) pouvant prétendre à un traitement et ne devant pas inquiéter les parents à tort, des alopécies qui peuvent être le reflet d'une cause interne ou le premier signe clinique orientant vers une maladie syndromique. Nous proposons une classification en différenciant les alopécies de survenue congénitale ou précoce qui sont spécifiques de la période infantile, et les alopécies plus tardives survenant au cours de l'enfance ou de l'adolescence que l'on peut également retrouver chez l'adulte. Les signes dermoscopiques et histologiques des pathologies seront évoqués, ainsi que les anomalies cutanées ou atteintes d'autres organes permettant de poser le diagnostic.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111733 Exemplaires
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DisponibleAnaphylaxie aux urgences / Guillaume POUESSEL in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-129-A-10
Titre : Anaphylaxie aux urgences Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume POUESSEL, Auteur ; Elisabeth BEAUDOIN, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-129-A-10 Langues : Français (fre) Catégories : ADRENALINE ; ALIMENT ; ANAPHYLAXIE ; DEMOGRAPHIE:MORTALITE ; URGENCE Résumé :
L'anaphylaxie est une urgence médicale de plus en plus fréquente, notamment chez l'enfant et pour les causes alimentaires. Les principales étiologies d'anaphylaxie sont les aliments (notamment l'arachide, les fruits à coque, les laits de mammifères) chez l'enfant et, chez l'adulte, les venins d'hyménoptères et les médicaments. La mortalité par anaphylaxie reste cependant rare. D'après toutes les recommandations scientifiques, l'adrénaline administrée par voie intramusculaire pour toutes les situations en dehors de l'urgence périopératoire est le traitement de première ligne de l'anaphylaxie. L'injection doit être réalisée dès les premiers signes d'anaphylaxie, dans la partie moyenne de la face antéroexterne de la cuisse. Les auto-injecteurs d'adrénaline permettent une administration sécurisée, par tous, y compris les soignants, dans le contexte de l'urgence. Les autres traitements (antihistaminiques, bronchodilatateurs inhalés, etc.) sont de deuxième voire de troisième ligne. Les corticoïdes n'ont pas fait la preuve de leur intérêt dans le traitement de l'anaphylaxie. La surveillance en milieu hospitalier avec un monitoring étroit est au minimum de 6 à 8heures en cas de résolution rapide des signes ; elle doit être cependant prolongée 24heures en cas d'atteinte respiratoire ou cardiovasculaire initiale plus sévère. Les réactions biphasiques ou réfractaires à l'adrénaline sont rares. Après la phase de soins médicaux aigus, la prise en charge d'un patient avec une anaphylaxie aux urgences implique aussi la prescription d'une trousse d'urgence avec des auto-injecteurs d'adrénaline et une notice d'utilisation, en accord avec les recommandations, une éducation thérapeutique a minima avec la manipulation de dispositifs factices, et l'orientation vers une consultation d'allergologie avec, dans l'idéal, une filière de soins organisée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111749 [article] Anaphylaxie aux urgences [texte imprimé] / Guillaume POUESSEL, Auteur ; Elisabeth BEAUDOIN, Auteur . - 2015 . - 4-129-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-129-A-10
Catégories : ADRENALINE ; ALIMENT ; ANAPHYLAXIE ; DEMOGRAPHIE:MORTALITE ; URGENCE Résumé :
L'anaphylaxie est une urgence médicale de plus en plus fréquente, notamment chez l'enfant et pour les causes alimentaires. Les principales étiologies d'anaphylaxie sont les aliments (notamment l'arachide, les fruits à coque, les laits de mammifères) chez l'enfant et, chez l'adulte, les venins d'hyménoptères et les médicaments. La mortalité par anaphylaxie reste cependant rare. D'après toutes les recommandations scientifiques, l'adrénaline administrée par voie intramusculaire pour toutes les situations en dehors de l'urgence périopératoire est le traitement de première ligne de l'anaphylaxie. L'injection doit être réalisée dès les premiers signes d'anaphylaxie, dans la partie moyenne de la face antéroexterne de la cuisse. Les auto-injecteurs d'adrénaline permettent une administration sécurisée, par tous, y compris les soignants, dans le contexte de l'urgence. Les autres traitements (antihistaminiques, bronchodilatateurs inhalés, etc.) sont de deuxième voire de troisième ligne. Les corticoïdes n'ont pas fait la preuve de leur intérêt dans le traitement de l'anaphylaxie. La surveillance en milieu hospitalier avec un monitoring étroit est au minimum de 6 à 8heures en cas de résolution rapide des signes ; elle doit être cependant prolongée 24heures en cas d'atteinte respiratoire ou cardiovasculaire initiale plus sévère. Les réactions biphasiques ou réfractaires à l'adrénaline sont rares. Après la phase de soins médicaux aigus, la prise en charge d'un patient avec une anaphylaxie aux urgences implique aussi la prescription d'une trousse d'urgence avec des auto-injecteurs d'adrénaline et une notice d'utilisation, en accord avec les recommandations, une éducation thérapeutique a minima avec la manipulation de dispositifs factices, et l'orientation vers une consultation d'allergologie avec, dans l'idéal, une filière de soins organisée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111749 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleDysménorrhées de l'adolescente / C BOUVATTIER in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-107-B-25
Titre : Dysménorrhées de l'adolescente Type de document : texte imprimé Auteurs : C BOUVATTIER, Auteur ; AS LAMBERT, Auteur ; L DURANTEAU, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-107-B-25 Langues : Français (fre) Catégories : DOULEUR:DOULEUR PELVIENNE ; DYSMENORRHEE ; ENDOMETRIOSE ; MALFORMATION ; VAGIN Résumé : Les douleurs pelviennes liées aux règles, appelées dysménorrhées, touchent 50 à 90 % des adolescentes, qui s'en plaignent, mais consultent peu spécifiquement pour ce motif. Elles s'installent après l'apparition des cycles ovulatoires, normalement dans les 1 à 3 ans qui suivent les premières règles. Chez l'adolescente, elles sont le plus souvent fonctionnelles et ne nécessitent pas d'explorations complémentaires. Ces douleurs et leurs symptômes associés sont responsables d'un absentéisme scolaire non négligeable et de l'interruption répétée des activités sportives, et, à ce titre, doivent être dépistés et traités efficacement. L'inefficacité d'un traitement médical bien conduit doit faire évoquer une dysménorrhée secondaire et évoquer, en premier lieu, le diagnostic d'endométriose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112690 [article] Dysménorrhées de l'adolescente [texte imprimé] / C BOUVATTIER, Auteur ; AS LAMBERT, Auteur ; L DURANTEAU, Auteur . - 2015 . - 4-107-B-25.
Langues : Français (fre)
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Catégories : DOULEUR:DOULEUR PELVIENNE ; DYSMENORRHEE ; ENDOMETRIOSE ; MALFORMATION ; VAGIN Résumé : Les douleurs pelviennes liées aux règles, appelées dysménorrhées, touchent 50 à 90 % des adolescentes, qui s'en plaignent, mais consultent peu spécifiquement pour ce motif. Elles s'installent après l'apparition des cycles ovulatoires, normalement dans les 1 à 3 ans qui suivent les premières règles. Chez l'adolescente, elles sont le plus souvent fonctionnelles et ne nécessitent pas d'explorations complémentaires. Ces douleurs et leurs symptômes associés sont responsables d'un absentéisme scolaire non négligeable et de l'interruption répétée des activités sportives, et, à ce titre, doivent être dépistés et traités efficacement. L'inefficacité d'un traitement médical bien conduit doit faire évoquer une dysménorrhée secondaire et évoquer, en premier lieu, le diagnostic d'endométriose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112690 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleConsultation préadoption / F SORGE in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-179-T-60
Titre : Consultation préadoption : Màj 2021 Type de document : texte imprimé Auteurs : F SORGE, Auteur ; M-C Miller, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-179-T-60 Langues : Français (fre) Catégories : ATTACHEMENT ; ENFANT:ENFANT ADOPTE ; FILIATION ; HYGIENE:INFECTION ; PARENTS:PARENTALITE ; PREADOPTION ; VACCIN Résumé :
Les futurs parents adoptants sont conduits à évaluer le dossier d'un enfant proposé à l'adoption. Ils peuvent consulter le pédiatre ou le médecin généraliste pour obtenir un avis médical sur l'état de santé présumé de cet enfant selon les éléments à leur disposition. De telles consultations sont particulières car elles se réalisent en l'absence de l'enfant et avec des données le concernant dont la fiabilité est variable d'un pays, voire d'une région à l'autre. Il est important pour le médecin de disposer d'un minimum de prérequis concernant les enfants orphelins afin de conseiller les futurs parents dans leur analyse du dossier, et parfois de l'observation de l'enfant, pour leur donner des éclaircissements sur des informations médico-psycho-sociales plus ou moins précises, et leur fournir une grille de lecture afin d'étayer leur choix d'adopter ou non un enfant en connaissance de son état de santé et de ses potentialités évolutives.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115598 [article] Consultation préadoption : Màj 2021 [texte imprimé] / F SORGE, Auteur ; M-C Miller, Auteur . - 2015 . - 4-179-T-60.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-179-T-60
Catégories : ATTACHEMENT ; ENFANT:ENFANT ADOPTE ; FILIATION ; HYGIENE:INFECTION ; PARENTS:PARENTALITE ; PREADOPTION ; VACCIN Résumé :
Les futurs parents adoptants sont conduits à évaluer le dossier d'un enfant proposé à l'adoption. Ils peuvent consulter le pédiatre ou le médecin généraliste pour obtenir un avis médical sur l'état de santé présumé de cet enfant selon les éléments à leur disposition. De telles consultations sont particulières car elles se réalisent en l'absence de l'enfant et avec des données le concernant dont la fiabilité est variable d'un pays, voire d'une région à l'autre. Il est important pour le médecin de disposer d'un minimum de prérequis concernant les enfants orphelins afin de conseiller les futurs parents dans leur analyse du dossier, et parfois de l'observation de l'enfant, pour leur donner des éclaircissements sur des informations médico-psycho-sociales plus ou moins précises, et leur fournir une grille de lecture afin d'étayer leur choix d'adopter ou non un enfant en connaissance de son état de santé et de ses potentialités évolutives.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115598 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleTroubles ophtalmologiques chez l'enfant / Emmanuel Bui Quoc in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-A-10
Titre : Troubles ophtalmologiques chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Bui Quoc, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-120-A-10 Note générale : Màj 2021 Langues : Français (fre) Catégories : DEVELOPPEMENT ; OEIL ; OPHTALMOLOGIE ; OPHTALMOLOGIE:AMBLYOPIE ; VISION Résumé : Les troubles de la vision sont multiples : réfractifs et anatomiques, d'origine centrale ou périphérique, innés ou acquis, pouvant entraîner la malvoyance ou la cécité. Chez l'enfant, la perturbation de l'expérience visuelle au cours de la période sensible du développement visuel pendant la première décennie de la vie entraîne de surcroît par rapport à l'adulte la problématique de l'amblyopie. Cette revue présente différentes situations cliniques ophtalmologiques chez un enfant, et présente les différentes maladies des yeux, sensorielles et motrices. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115599 [article] Troubles ophtalmologiques chez l'enfant [texte imprimé] / Emmanuel Bui Quoc, Auteur . - 2015 . - 4-120-A-10.
Màj 2021
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-120-A-10
Catégories : DEVELOPPEMENT ; OEIL ; OPHTALMOLOGIE ; OPHTALMOLOGIE:AMBLYOPIE ; VISION Résumé : Les troubles de la vision sont multiples : réfractifs et anatomiques, d'origine centrale ou périphérique, innés ou acquis, pouvant entraîner la malvoyance ou la cécité. Chez l'enfant, la perturbation de l'expérience visuelle au cours de la période sensible du développement visuel pendant la première décennie de la vie entraîne de surcroît par rapport à l'adulte la problématique de l'amblyopie. Cette revue présente différentes situations cliniques ophtalmologiques chez un enfant, et présente les différentes maladies des yeux, sensorielles et motrices. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115599 Exemplaires
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DisponibleAnalgésie postopératoire en chirurgie pédiatrique / Olivier Gall in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-0170-C-60
Titre : Analgésie postopératoire en chirurgie pédiatrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Gall, Auteur ; Nathalie Bourdaud, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-0170-C-60 Note générale : Màj 2021 Langues : Français (fre) Catégories : ANALGESIE ; DOULEUR:DOULEUR POSTOPERATOIRE ; ENFANT ; EPARGNE MORPHINIQUE Résumé :
Une part croissante des interventions de chirurgie pédiatrique est aujourd'hui réalisée en ambulatoire ou en hospitalisation de courte durée. Dans ce contexte, l'analgésie postopératoire poursuit des objectifs de récupération fonctionnelle rapide. Les points suivants nous semblent être importants : le rôle actif des parents ; l'intérêt des blocs périnerveux et des infiltrations complétés par une sédation ou une anesthésie générale légère permettant une reprise immédiate des boissons et de l'alimentation ; la prévention systématique des nausées/vomissements ; la validation du traitement antalgique par voie orale avant la sortie et à J+1 (appel du lendemain) ; la communication avec le médecin traitant et les autres intervenants.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115600 [article] Analgésie postopératoire en chirurgie pédiatrique [texte imprimé] / Olivier Gall, Auteur ; Nathalie Bourdaud, Auteur . - 2015 . - 4-0170-C-60.
Màj 2021
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Catégories : ANALGESIE ; DOULEUR:DOULEUR POSTOPERATOIRE ; ENFANT ; EPARGNE MORPHINIQUE Résumé :
Une part croissante des interventions de chirurgie pédiatrique est aujourd'hui réalisée en ambulatoire ou en hospitalisation de courte durée. Dans ce contexte, l'analgésie postopératoire poursuit des objectifs de récupération fonctionnelle rapide. Les points suivants nous semblent être importants : le rôle actif des parents ; l'intérêt des blocs périnerveux et des infiltrations complétés par une sédation ou une anesthésie générale légère permettant une reprise immédiate des boissons et de l'alimentation ; la prévention systématique des nausées/vomissements ; la validation du traitement antalgique par voie orale avant la sortie et à J+1 (appel du lendemain) ; la communication avec le médecin traitant et les autres intervenants.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115600 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleSyndrome du bébé secoué / Marion Bailhache in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-175-A-20
Titre : Syndrome du bébé secoué Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Bailhache, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-175-A-20 Note générale : Màj 2022 Langues : Français (fre) Catégories : ENFANT EN DANGER ; MALTRAITANCE ; PROTECTION ; SIGNALEMENT ; SYNDROME DU BEBE SECOUE Résumé :
Le syndrome du bébé secoué (SBS) fait partie des traumatismes crâniens infligés, dont le secouement, seul ou associé à un impact, provoque le traumatisme. Les secouements peuvent être multiples et répétés. Les nourrissons de sexe masculin, les prématurés, les nourrissons issus d'une grossesse multiple sont surreprésentés parmi les victimes. Le SBS peut toucher tous les milieux socioéconomiques. L'isolement social est cependant un facteur de vulnérabilité, ainsi qu'une séparation parent-nourrisson en période néonatale. Les pleurs du nourrisson sont l'élément déclencheur du passage à l'acte. L'auteur est le plus souvent un proche du nourrisson. Celui-ci présente immédiatement après les secouements des symptômes qui arrêtent les pleurs, mais il peut récupérer un état clinique dans les limites de la norme lors des premiers secouements. Les symptômes sont aspécifiques et de gravité variable : malaise, modification du comportement, difficulté pour téter, apnée, pâleur, vomissements, convulsion jusqu'à des symptômes d'atteinte neurologique grave tels qu'un coma. La courbe du périmètre crânien augmentant initialement plus vite qu'attendu peut être un précieux indice. Devant toute suspicion, le nourrisson doit être pris en charge en milieu hospitalier et hospitalisé. Le scanner cérébral et le fond d'œil font partie des examens de première intention d'urgence. Les deux lésions les plus spécifiques du SBS sont un ou des hématomes sous-duraux et des hémorragies rétiniennes. Les hémorragies rétiniennes ne sont cependant pas indispensables au diagnostic. Les diagnostics différentiels doivent être envisagés : un traumatisme crânien accidentel de haute cinétique, des lésions consécutives à l'accouchement dans le 1er mois de vie, des troubles de l'hémostase, ainsi que, dans certains cas, des maladies métaboliques rares. Un signalement judiciaire est à effectuer lors de toute suspicion de SBS. La prise en charge est multidisciplinaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115601 [article] Syndrome du bébé secoué [texte imprimé] / Marion Bailhache, Auteur . - 2015 . - 4-175-A-20.
Màj 2022
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-175-A-20
Catégories : ENFANT EN DANGER ; MALTRAITANCE ; PROTECTION ; SIGNALEMENT ; SYNDROME DU BEBE SECOUE Résumé :
Le syndrome du bébé secoué (SBS) fait partie des traumatismes crâniens infligés, dont le secouement, seul ou associé à un impact, provoque le traumatisme. Les secouements peuvent être multiples et répétés. Les nourrissons de sexe masculin, les prématurés, les nourrissons issus d'une grossesse multiple sont surreprésentés parmi les victimes. Le SBS peut toucher tous les milieux socioéconomiques. L'isolement social est cependant un facteur de vulnérabilité, ainsi qu'une séparation parent-nourrisson en période néonatale. Les pleurs du nourrisson sont l'élément déclencheur du passage à l'acte. L'auteur est le plus souvent un proche du nourrisson. Celui-ci présente immédiatement après les secouements des symptômes qui arrêtent les pleurs, mais il peut récupérer un état clinique dans les limites de la norme lors des premiers secouements. Les symptômes sont aspécifiques et de gravité variable : malaise, modification du comportement, difficulté pour téter, apnée, pâleur, vomissements, convulsion jusqu'à des symptômes d'atteinte neurologique grave tels qu'un coma. La courbe du périmètre crânien augmentant initialement plus vite qu'attendu peut être un précieux indice. Devant toute suspicion, le nourrisson doit être pris en charge en milieu hospitalier et hospitalisé. Le scanner cérébral et le fond d'œil font partie des examens de première intention d'urgence. Les deux lésions les plus spécifiques du SBS sont un ou des hématomes sous-duraux et des hémorragies rétiniennes. Les hémorragies rétiniennes ne sont cependant pas indispensables au diagnostic. Les diagnostics différentiels doivent être envisagés : un traumatisme crânien accidentel de haute cinétique, des lésions consécutives à l'accouchement dans le 1er mois de vie, des troubles de l'hémostase, ainsi que, dans certains cas, des maladies métaboliques rares. Un signalement judiciaire est à effectuer lors de toute suspicion de SBS. La prise en charge est multidisciplinaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115601 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
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EMC | Périodique | I.F.P.S. (Tilleroyes) | Archives (à demander aux documentalistes) Disponible |