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Auteur Corentin Tanné
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Affiner la rechercheActivités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses, 6 (Mise à jour régulière)
[article]
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Titre : Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 4-104-B-10 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 [article] Activités physiques et sportives de l'enfant et de l'adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2015 . - 4-104-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC Pédiatrie / Maladies infectieuses > 6 (Mise à jour régulière) . - 4-104-B-10
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; ENTRAINEMENT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé :
Pour préserver la santé des jeunes de la classe d'âge 5-17 ans, l'Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d'activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d'activité physique d'intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d'âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d'activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L'éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l'activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose-réponse » entre le niveau d'activité physique et l'impact sur la santé n'est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l'inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d'obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n'y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d'épuisement au cours d'efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L'enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu'il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d'équipe, l'enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n'advient généralement qu'entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d'être vigilant et réactif dès l'apparition des prodromes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=72396 Exemplaires
Cote Support Localisation Disponibilité EMC Périodique I.F.P.S. (Tilleroyes) Archives (à demander aux documentalistes)
DisponibleActivités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires / Corentin Tanné in Journal de pédiatrie et puériculture, Vol.29 - N°2 (Avril 2016)
[article]
in Journal de pédiatrie et puériculture > Vol.29 - N°2 (Avril 2016) . - pp57-68
Titre : Activités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Corentin Tanné, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp57-68 Langues : Français (fre) Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé : Pour préserver la santé des jeunes de la classe d’âge 5–17 ans, l’Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d’activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d’âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d’activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L’éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l’activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose–réponse » entre le niveau d’activité physique et l’impact sur la santé n’est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l’inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d’obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n’y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d’épuisement au cours d’efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L’enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu’il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d’équipe, l’enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n’advient généralement qu’entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d’être vigilant et réactif dès l’apparition des prodromes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80796 [article] Activités physiques et sportives de l’enfant et de l’adolescent : des croyances aux recommandations sanitaires [texte imprimé] / Corentin Tanné, Auteur . - 2016 . - pp57-68.
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et puériculture > Vol.29 - N°2 (Avril 2016) . - pp57-68
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE ; ADOLESCENT ; BENEFICE ; BLESSURE ; ENFANT ; SEDENTARITE ; SPORT Résumé : Pour préserver la santé des jeunes de la classe d’âge 5–17 ans, l’Organisation mondiale de la santé recommande des niveaux d’activité physique consistant à accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue. En France, les jeunes forment le groupe d’âge le plus actif et sont globalement en bonne santé, mais leur niveau d’activité physique et/ou sportive demeure insuffisant et baisse de génération en génération. L’éducation physique et sportive et les pratiques sportives de loisirs ne suffisent pas à compenser la baisse de l’activité physique dans la vie quotidienne. La relation « dose–réponse » entre le niveau d’activité physique et l’impact sur la santé n’est pas aussi clairement établie chez les jeunes que chez les adultes. Les analyses démontrent que l’inactivité est un fort contributeur de la surcharge pondérale et d’obésité, facteurs qui eux sont délétères sur la santé. Les filles et les garçons ont les mêmes aptitudes physiques avant la puberté. Leur potentiel en endurance aérobie étant très élevé, il n’y a pas lieu de les brider par crainte de fatigue ou d’épuisement au cours d’efforts inférieurs à 10 à 15 minutes. En revanche, leur potentiel de force reste modeste, et le potentiel de résistance est faible. L’enfant est « prêt » à la compétition sportive lorsqu’il recherche de lui-même à comparer ses habiletés à celles de ses pairs. Pour les sports d’équipe, l’enfant doit de plus comprendre ce qui est sous-jacent au processus compétitif : stratégie et coopération au sein du groupe. Cela n’advient généralement qu’entre 10 et 12 ans. Blessures de surutilisation, syndrome de surentraînement, voire burnout sont possibles chez le jeune sportif. Les séquelles de ces troubles pouvant être importantes sur la croissance osseuse et le développement psychologique du jeune. Il convient d’être vigilant et réactif dès l’apparition des prodromes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80796